![montage citation A ce stade, une question urgente se pose : [...] Est-il de notre devoir de chercher à devenir un être humain complet et complet, se suffisant à lui-même ; ou, au contraire, n'être qu'une partie d'un tout, l'organe d'un organisme ? Bref, la division du travail, en même temps qu'elle est une loi de la nature, est aussi une règle morale de la conduite humaine ; et, s'il a ce dernier caractère, pourquoi et à quel degré ?](/_next/image?url=%2F_next%2Fstatic%2Fmedia%2Fproduct-image-placeholder.1a750412.jpg&w=3840&q=100)
Matthew Zapruder
@matthewZapruder
Les odes de Keats sont parmi mes poèmes préférés. Tout comme Neruda. Alors oui, je pense que mes poèmes sont des odes, bien que je vois vraiment ces titres comme des moyens d'orientation plus ou moins du poème. Je n'y ai jamais pensé jusqu'à présent, mais je suppose que vous pourriez dire qu'un effet de tous les titres, leur omniprésence dans le livre, pourrait être encore une fois, comme le font tant d'autres choses, remettre en question le sens du Le mot «pour», ce que je suppose est l'une des grandes questions humaines: à quoi cela sert-il? Pourquoi et pour qui faisons-nous tout ce que nous faisons?
