La citation analysée
Je n'ai jamais eu de chien qui montrait une peur humaine de la mort. La mort, pour un chien, est la finale de contrainte inévitable, l'odeur la moins inéluctable sur un sentier redoutable, mais ils aiment y faire face seuls, sortant dans les bois, parmi les feuilles, s'il y a des feuilles lorsque leur temps arrive, durable Sans distraction humaine sentimentale, la dernière solitude, qu'ils sont assez sages pour savoir ne peuvent être partagées par personne.
Je n'ai jamais eu de chien qui montrait une peur humaine de la mort. La mort, pour un chien, est la finale de contrainte inévitable, l'odeur la moins inéluctable sur un sentier redoutable, mais ils aiment y faire face seuls, sortant dans les bois, parmi les feuilles, s'il y a des feuilles lorsque leur temps arrive, durable Sans distraction humaine sentimentale, la dernière solitude, qu'ils sont assez sages pour savoir ne peuvent être partagées par personne.