La citation analysée
Les vents qui prennent parfois quelque chose que nous aimons sont les mêmes qui nous apportent quelque chose que nous apprenons à aimer. Par conséquent, nous ne devons pas pleurer sur quelque chose qui nous a été pris, mais, oui, aime ce qu'on nous a donné. Parce que ce qui est vraiment le nôtre n'est jamais parti pour toujours.
Les vents qui prennent parfois quelque chose que nous aimons sont les mêmes qui nous apportent quelque chose que nous apprenons à aimer. Par conséquent, nous ne devons pas pleurer sur quelque chose qui nous a été pris, mais, oui, aime ce qu'on nous a donné. Parce que ce qui est vraiment le nôtre n'est jamais parti pour toujours.