La citation analysée
Un Dieu qui châtie notre manque de foi, nos vices, le peu d'estime dans laquelle nous tenons la dignité et les vertus civiques. Nous tolérons le vice, nous nous en faisons les complices, parfois nous l'applaudissons, et il est juste, très juste que nous en subissions les conséquences, que nos enfants les subissent. C'est le Dieu de la liberté... qui nous oblige à l'aimer, en nous rendant le joug pesant - un Dieu de miséricorde, d'équité, qui tout en nous châtiant nous améliore et n'accorde la prospérité qu'à celui qui l'a méritée par ses efforts. L'école de la souffrance tempère, l'arène du combat fortifie l'âme.
Un Dieu qui châtie notre manque de foi, nos vices, le peu d'estime dans laquelle nous tenons la dignité et les vertus civiques. Nous tolérons le vice, nous nous en faisons les complices, parfois nous l'applaudissons, et il est juste, très juste que nous en subissions les conséquences, que nos enfants les subissent. C'est le Dieu de la liberté... qui nous oblige à l'aimer, en nous rendant le joug pesant - un Dieu de miséricorde, d'équité, qui tout en nous châtiant nous améliore et n'accorde la prospérité qu'à celui qui l'a méritée par ses efforts. L'école de la souffrance tempère, l'arène du combat fortifie l'âme.