La citation analysée
Elisabeth, encore une fois, pendant qu'elle l'éloge, est si loin de cacher la gloire divine, qu'elle attribue tout à Dieu. Et pourtant, bien qu'elle reconnaisse la supériorité de Marie à elle-même et aux autres, elle ne lui envoie pas la distinction plus élevée, mais déclare modestement qu'elle avait obtenu plus qu'elle ne le méritait.
Elisabeth, encore une fois, pendant qu'elle l'éloge, est si loin de cacher la gloire divine, qu'elle attribue tout à Dieu. Et pourtant, bien qu'elle reconnaisse la supériorité de Marie à elle-même et aux autres, elle ne lui envoie pas la distinction plus élevée, mais déclare modestement qu'elle avait obtenu plus qu'elle ne le méritait.