![auteur Aldous Huxley de la citation Un tiers, plus ou moins, de tout le chagrin que la personne que je pense que je suis doit endurer est inévitable. C'est le chagrin inhérent à la condition humaine, le prix que nous devons payer pour être des organismes sensibles et conscients, aspirants à la libération, mais soumis aux lois de la nature et sous les ordres de continuer à marcher, à travers un temps irréversible, à travers un monde entièrement indifférent à notre bien-être, vers la décrépitude et la certitude de la mort. Les deux tiers restants de toute la douleur sont faits maison et, en ce qui concerne l'univers, inutile.](/_next/image?url=https%3A%2F%2Fs3.eu-west-3.amazonaws.com%2Fstatic.jardin-des-citations.com%2Fauthors%2Fimages%2Faldous-huxley-pyYi3Yy51ApUQFpOySHxH6iOppfab0ly8AdhXpl9rp2Mj98FNXwXZImw6ju0kRcnHfGwDz1kgjqp5Oo3W8MXzQSEWrceTOGqNghSQrXaeNPKWBDnhZxR5BqTd4pXx5LG.jpg&w=3840&q=100)
Aldous Huxley
@aldousHuxley
Un tiers, plus ou moins, de tout le chagrin que la personne que je pense que je suis doit endurer est inévitable. C'est le chagrin inhérent à la condition humaine, le prix que nous devons payer pour être des organismes sensibles et conscients, aspirants à la libération, mais soumis aux lois de la nature et sous les ordres de continuer à marcher, à travers un temps irréversible, à travers un monde entièrement indifférent à notre bien-être, vers la décrépitude et la certitude de la mort. Les deux tiers restants de toute la douleur sont faits maison et, en ce qui concerne l'univers, inutile.