La citation analysée
Prenez de mes paumes, pour apaiser votre cœur, un peu de miel, un peu de soleil, en obéissance aux abeilles de Perséphone. Vous ne pouvez pas détacher un bateau qui n'a jamais été amarré, ni entendre une ombre dans ses fourrures, ni se déplacer à travers une vie épaisse sans crainte. Pour nous, il ne reste plus que des baisers en lambeaux comme les petites abeilles qui meurent quand elles quittent la ruche. Au fond de la nuit transparente, ils fredonnent toujours, à la maison dans le bois noir sur la montagne, dans la menthe et la poumonde et le passé. Mais posez-vous à votre cœur mon cadeau rugueux, ce collier d'abeilles mortes sans dérangement qui a autrefois fait un soleil de miel.
Prenez de mes paumes, pour apaiser votre cœur, un peu de miel, un peu de soleil, en obéissance aux abeilles de Perséphone. Vous ne pouvez pas détacher un bateau qui n'a jamais été amarré, ni entendre une ombre dans ses fourrures, ni se déplacer à travers une vie épaisse sans crainte. Pour nous, il ne reste plus que des baisers en lambeaux comme les petites abeilles qui meurent quand elles quittent la ruche. Au fond de la nuit transparente, ils fredonnent toujours, à la maison dans le bois noir sur la montagne, dans la menthe et la poumonde et le passé. Mais posez-vous à votre cœur mon cadeau rugueux, ce collier d'abeilles mortes sans dérangement qui a autrefois fait un soleil de miel.