Une jeunesse sensuelle et intempérante livre un corps usé à la vieillesse.
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Nous travaillons actuellement sur cette fonctionnalité. Ne vous inquiétez pas, elle sera bientôt disponible.
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@davidOlusoga
Lorsque les historiens écrivent les dernières pages de leurs livres et que les producteurs de documentaires d'histoire s'assoient pour modifier les dernières minutes de leurs programmes, il y a souvent une forte envie de se tourner vers l'avenir et de souligner le positif.
@yasmineHamdan
Quand j'imagine des personnages féminins dans mes chansons, ils sont souvent audacieux, forts, passionnés, militants, pleins d'esprit, sensuels, dangereux. Je vois ces personnages comme des témoins habiles, des chiffres du changement et du réveil.
@maryGrandpre
Quand j'illustre une couverture ou un livre, je m'appuie sur ce que l'auteur me dit; C'est ainsi que je vois ma responsabilité en tant qu'illustrateur. J.K. Rowling est très descriptive dans son écriture - elle donne beaucoup d'illustratrice avec laquelle travailler. Chaque histoire est remplie de riches descriptions visuelles de l'atmosphère, de l'humeur, du cadre et de toutes les différentes créatures et personnes. Elle me facilite la tâche. Les images se développent simplement lorsque je esquisse et retrace jusqu'à ce qu'elle se sente bien et correspond à sa vision.
@mia
Quand je suis sorti pour la première fois, j'étais étudiant en cinéma et ma mère a cousu des vêtements. Je faisais déjà un million de choses à l'époque, quoi qu'il fallait pour survivre. Si je devais tresser les cheveux de quelqu'un pour obtenir une livre pour mon déjeuner, c'est ce que j'ai fait. Mais je l'ai fait de la manière la plus créative possible.
@sherryTurkle
Quand j'ai grandi, j'ai vécu dans un quartier qui avait des clubs sociaux. Ce n'est jamais délicieux de glamour sa jeunesse. Mon quartier était pauvre. Mais les gens se sont sentis partie du quartier. C'était à Rockaway Beach, Long Island.
@mikeVogel
Quand j'ai obtenu mon diplôme d'études secondaires, j'ai pesé 125 livres à cause de la lutte. Soudain, j'ai réalisé que je pouvais manger ce que je voulais - en plus, la créatine était nouvelle à l'époque. Je suis passé de 125 à 175 livres, travaillant comme un fou. J'ai été à la joie. Mais je ne buvais pas assez de liquides et je me suis retrouvé avec une pierre rénale - et 3 semaines d'enfer pur.
@souravGanguly
Lorsque je suis devenu capitaine de l'équipe indienne de cricket en 2000, de nombreux sympathisants et amis journalistes m'ont offert le livre classique de Mike Brearley, «The Art of Captaincy». Je veux dire sans respect pour le livre ou M. Brearley, que j'admire beaucoup, mais les livres ou les réunions d'équipe ne font pas de vous de bons capitaines.
@jamesIvory
Quand je faisais le scénario, les gens qui lisaient le livre m'appellent par votre nom, "Oh mon Dieu, qu'est-ce que tu vas faire sur la scène de la pêche?" Je dirais: "Je ne sais pas, mais je ferai quelque chose." Et finalement, j'ai compris qu'il y avait une façon de le faire sans être totalement graphique. Vous pouvez le faire d'une manière où le public l'obtient et l'accepte.
@mia
Quand je suis sorti pour la première fois, j'étais étudiant en cinéma et ma mère a cousu des vêtements. Je faisais déjà un million de choses à l'époque, quoi qu'il fallait pour survivre. Si je devais tresser les cheveux de quelqu'un pour obtenir une livre pour mon déjeuner, c'est ce que j'ai fait.
@dougStanton
Quand j'écrivais mon premier livre, «en danger», j'ai été témoin du sens du sacrifice que les vétérans de la Seconde Guerre mondiale possédaient. J'ai été surpris que parfois leurs petits-enfants ne leur aient pas parlé des événements historiques de cette nuit en juillet 1945, lorsque l'USS Indianapolis est tombé.
@ronnieColeman
Quand j'ai obtenu mon diplôme universitaire, j'ai fait de mon mieux pour trouver un emploi dans un cabinet comptable, et ce n'était tout simplement pas censé l'être. J'ai fini par livrer des pizzas et des journaux. Je savais que ma vie était craquelée pour être un peu plus.
@stephenRGeorge
Quand j'ai décidé de prendre l'écriture au sérieux, j'ai fait beaucoup de lecture et d'analyse des livres que j'aimais et j'ai trouvé ce que je pensais être un complot et une structure assez solides.
@scottSnyder
Quand j'obtiens la possibilité d'utiliser un personnage comme Bruce Wayne ou Dick Grayson, j'essaie de réfléchir à ce qui est le plus excitant ou intéressant à leur sujet en tant que personne, alors j'essaie de penser à ce qu'ils sont à la base, ou quel morceau de leur psychologie Dois-je graviter vers cela que je respecte, et je suis excité par cela quand je lis des livres à leur sujet.
@brighamYoung
Quand je regarde les visages des êtres intelligents, je regarde l'image du Dieu que je sert. Il n'y a que ce qui a une certaine partie de la divinité en eux; Et bien que nous soyons vêtus de corps qui sont à l'image de notre Dieu, cette mortalité se rétrécit devant cette partie de la divinité que nous héritons de notre Père.
@andreiArlovski
Quand j'ai découvert que je combatais Tim Sylvia, c'était le meilleur jour de ma vie. Je ne l'aime pas, je ne le respecte pas et je n'aurai aucun problème à lui donner un coup de pied dans la tête et à piétiner son corps. Ça va être amusant.
@davidOlusoga
Lorsque les historiens écrivent les dernières pages de leurs livres et que les producteurs de documentaires d'histoire s'assoient pour modifier les dernières minutes de leurs programmes, il y a souvent une forte envie de se tourner vers l'avenir et de souligner le positif.
@rabindranathTagore
Quand je vais donc, que ce soit mon mot d'adieu, que ce que j'ai vu est insurpassable. J'ai goûté au miel caché de ce lotus qui se développe sur l'océan de la lumière, et donc je suis béni - que ce soit mon mot de séparation. Dans cette maison de jeu de formes infinies, j'ai eu mon jeu et je l'ai aperçu de celui qui est sans forme. Mon corps entier et mes membres ont ravi de son toucher qui est au-delà du toucher; Et si la fin vient ici, laissez-la venir - que ce soit mon mot d'adieu.
@ericClapton
Quand j'étais à Nashville, Tennessee en 1970 avec Derek et les dominos, je suis allé dans cette boutique et ils avaient un rack de Strats et de Teles - tous pour 100,00 $ chacun. J'ai acheté une poignée et j'ai fait Blackie hors du corps de l'un, le cou d'un autre, et ainsi de suite
@alanLightman
Quand je jouais au golf. C'est un jeu misérable terrible. C'est incroyablement frustrant. En 18 trous, vous faites 150 tirs horribles dans les bois, dans l'eau ... vous faites un bon coup et cela vous ramène la prochaine fois. Avec l'écriture d'un long livre, il doit y avoir au moins un bit qui contient de la magie à laquelle vous pouvez revenir.
@mohsenMakhmalbaf
Quand je suis sorti, et pendant de nombreuses années après, il était devenu une habitude pour moi de m'asseoir, de lire et de lire et de lire, comme une obsession. Je prendrais 20 livres et je ne sortirais pas avant que je ne les ai terminés. Il m'a fallu un certain temps pour changer cette habitude.
@noahHawley
Quand j'ai vendu mon premier livre, «A Conspiracy of Tall Men», cela faisait partie d'un accord de deux livres. Ce n'était pas extrêmement lucratif, mais c'était assez d'argent pour que je quitte le travail parajuriste que j'avais à San Francisco.
@taraBrach
Quand je regarde cet attachement se produire, je vois les croyances que j'ai autour de lui. Si quelqu'un ne fait pas attention à moi d'une certaine manière, dans mon esprit, cela signifie qu'il ne m'aime pas ou qu'il ne me respecte pas. Faire prendre conscience aux croyances qui sont sous l'attachement et sensibiliser à la façon dont mon corps et mon cœur se resserrent, m'aide à me réveiller et à réhabter un plus grand espace d'être. Tenir et repousser pourrait se poursuivre, mais je suis plus libre pour répondre de manière saine.
@sarahSon
Quand j'étais adolescent, je n'ai jamais vraiment été dans le capitaine de l'équipe de football ou le président du corps étudiant. Les gars que j'aimais étaient excentriques et différents: ils ont écouté de la musique que je n'avais jamais entendu parler, n'avaient jamais eu de l'argent pour le déjeuner ou le gaz et pouvaient toujours vous faire rire.
@peterHitchens
Quand je lis plutôt avec culpabilité les livres sur lesquels la série télévisée «Game of Thrones» est basée, j'ai été frappé par une chose. L'intérêt de cette saga est que l'impitoyabilité paie, que le mal gagne généralement, que la justice est inexistante et que le cynisme total la seule sagesse. C'est le Moyen Âge sans la grâce salvatrice du christianisme.
@gwynethPaltrow
Quand j'avais 21 ans, un ami m'a donné un livre intitulé Diet for a New America par John Robbins, qui a exposé les pratiques brutales des fermes d'usine américaines. Cela, associé à une conférence de Leonardo DiCaprio (quand il avait dix-neuf ans et que j'avais 21 ans) sur la façon dont ces animaux sont conservés et traités, m'a fait perdre mon désir de porc agricole et de bœuf d'usine.
@anthonyMccarten
Quand j'ai grandi, ma maison ne contenait que deux livres: la Bible et le livre de cuisine «Edmonds». Nous étions un ménage de la classe ouvrière. Les livres étaient une pauvre seconde à la télévision, qui était toujours allumée, généralement avec moi devant.
@linwoodBarclay
Quand j'étais au début de la vingtaine, mon rêve était d'écrire des romans mystères. Je voulais faire ce que mon écrivain de crime préféré, Ross MacDonald, a fait - lance un livre par an. Le seul problème - et c'était considérable - était que je pose.
@matthewWoodringStover
Quand j'écris un livre, je mets tout ce que j'ai dedans; Donc, plus j'en ai, plus les livres deviennent. Certaines personnes sont paniquées par eux: surtout les gens qui croient, à tort, que la fantaisie consiste à échapper à la réalité. Je dis à eux: si vous avez un problème avec la réalité, vous devriez passer plus de temps à gérer votre vie et moins de temps à lire le fantasme de pop-corn.
@jeffreyEugenides
Elle pensait qu'un écrivain devrait travailler plus dur pour écrire un livre qu'elle ne l'avait lu.
@steveJobs
Quand j'étais jeune, il y avait une publication incroyable appelée The Whole Earth Catalog, qui était l'une des Bibles de ma génération. Il a été créé par un camarade nommé Stewart Brand non loin d'ici à Menlo Park, et il l'a donné vie avec sa touche poétique. C'était à la fin des années 1960, avant les ordinateurs personnels et l'édition de bureau, donc tout a été fait avec des machines à écrire, des ciseaux et des caméras Polaroid. C'était un peu comme Google sous forme de livre de poche, 35 ans avant l'arrivée de Google: c'était idéaliste et débordant d'outils soignés et de bonnes notions.
