Vincent Gallo
@vincentGallo
Je parle à un journaliste et je n'ai plus rien à dire, c'est déjà inconfortable. Je sens déjà la douleur. La douleur brutale, quand un jour je devrais lire votre modification de tout ce que je dis, car peu importe ce que je dis, peu importe comment je le dis, peu importe son ton, sa gamme de fréquences, son niveau de décibels ou la façon dont je mets Les mots ensemble, peu importe mes intentions et peu importe la vérité. Ce que je vais lire un jour sera un avortement réprimandé et manipulé de vos malentendus, vos manipulations, votre agenda et votre utilisation amateur de la langue anglaise.