Rabih Alameddine
@rabihAlameddine
Quand j'écris, je ne ressens aucune pression. C'est après avoir fini que je commence à paniquer. Mais vraiment, quand je suis au Liban, je n'écris pas beaucoup parce que je suis entouré de famille. Je me sens immergé ou enchevêtré dans trop de courants. J'adore ça, mais ce n'est pas propice à l'écriture. À San Francisco, rien n'interfère avec moi que mes chats.