@albertBandura
Les évaluations comparatives de l'efficacité nécessitent non seulement l'évaluation de la propre performance de l'une mais aussi la connaissance de la façon dont les autres font, la connaissance des déterminants de non-capacité de leurs performances, et certains comprenant que ce sont les autres, comme lui, qui fournissent le critère social le plus informatif pour la comparaison
@albertBandura
Des dysfonctionnements peuvent se produire dans chacune des sous-fonctions d'autorégulation dans la façon dont les expériences personnelles sont auto-surveillées et traitées cognitivement, dans les autoportages évaluatifs qui sont adoptés, et dans les auto-réactions évaluatives à son propre comportement. Problèmes à tout autre L'un de ces points peut créer de l'auto-dissatisfaction et le découragement. Les dysfonctionnements dans tous les aspects de l'auto-système sont les plus susceptibles de produire l'auto-dépréciation et le découragement les plus chroniques
@albertBandura
Les résultats attendus contribuent à la motivation indépendamment des croyances d'auto-efficacité lorsque les résultats ne sont pas complètement contrôlés par la qualité des performances. Cela se produit lorsque des facteurs étrangers affectent également les résultats, ou que les résultats sont socialement liés à un niveau minimum de performance afin que certaines variations de qualité de performance au-dessus et en dessous de la norme ne produisent pas de résultats différentiels
@albertBandura
À l'exception des événements qui ont beaucoup de poids, ce n'est pas une expérience en soi, mais comment ils correspondent aux attentes qui régissent leur impact émotionnel
@albertBandura
Pour de nombreuses activités, les gens ne peuvent pas compter uniquement sur eux-mêmes dans l'évaluation de leur niveau de capacité, car de tels jugements nécessitent des inférences des indicants probabilistes de talents sur lesquels ils peuvent avoir des connaissances limitées. Les auto-évaluations sont donc en partie basées sur les opinions d'autres personnes qui possèdent probablement une compétence évaluative
@albertBandura
Du point de vue cognitif social, il est principalement perçu de l'inefficacité de faire face à des événements potentiellement aversifs qui les rend redoutables. Dans la mesure où les gens pensent qu'ils peuvent empêcher, résilier ou réduire la gravité des événements aversifs, ils ont peu de raisons d'être perturbés par eux. Mais s'ils croient qu'ils ne sont pas en mesure de gérer les menaces en toute sécurité, ils ont beaucoup de motifs d'appréhension.
@albertBandura
Il semble que ce soit un aperçu de ses motivations sous-jacentes, c'est plus comme une conversion de croyance qu'un processus de découverte de soi
@albertBandura
Étant donné un niveau suffisant d'auto-efficacité perçue pour prendre des tâches menaçantes, les phobiques les effectuent avec des quantités variables de peur de la peur en fonction de la force de leur auto-efficacité perçue
@albertBandura
Si l'auto-efficacité fait défaut, les gens ont tendance à se comporter inefficaces, même s'ils savent quoi faire.
@albertBandura
Dans la théorie cognitive sociale, l'auto-efficacité perçue résulte de diverses sources d'informations transmises par procuration et par évaluation sociale, ainsi que par expérience directe
@albertBandura
De plus, les occurrences conjointes ont tendance à être mieux rappelées que les cas où l'effet ne se produit pas. La prévision de se souvenir de confirmer les cas, mais d'oublier celles qui confirment, sert en outre à convertir, dans la pensée, aux coïncidences en causalités.
@dalaiLama
Une fois que vous avez développé la confiance dans vos propres capacités, vous pourrez apporter une réelle contribution à la création d'un monde meilleur. La confiance en soi est très importante. Pas dans le sens de la fierté aveugle, mais comme une conscience réaliste de ce que vous pouvez faire. En tant qu'êtres humains, nous pouvons nous transformer par nos bonnes qualités et réduire nos défauts. Notre intelligence nous permet de juger de ce qui est bon d'après ce qui est nocif.
@dalaiLama
Une fois que vous avez développé la confiance dans vos propres capacités, vous pourrez apporter une réelle contribution à la création d'un monde meilleur. La confiance en soi est très importante. Pas dans le sens de la fierté aveugle, mais comme une conscience réaliste de ce que vous pouvez faire. En tant qu'êtres humains, nous pouvons nous transformer par nos bonnes qualités et réduire nos défauts. Notre intelligence nous permet de juger de ce qui est bon d'après ce qui est nocif.
@albertBandura
Les gens sont beaucoup plus susceptibles d'agir sur leur perception auto-perception d'efficacité déduite de nombreuses sources d'information plutôt que de s'appuyer principalement sur des indices viscéraux. Cela n'est pas surprenant car les connaissances en auto basées sur des informations sur les compétences d'adaptation, les réalisations passées et la comparaison sociale sont considérablement plus indicatives de capacité que les agitations indéfinies des viscères
@albertBandura
Les conceptions des gens sur eux-mêmes et la nature des choses sont développées et vérifiées à travers quatre processus différents: l'expérience directe des effets produits par leurs actions, l'expérience par procuration des effets produits par les actions de quelqu'un d'autre, les jugements exprimés par les autres et la dérivation de connaissances supplémentaires à partir de nouvelles connaissances provenant de Ce qu'ils savent déjà en utilisant des règles d'inférence
@albertBandura
Les gens qui sont accablés par des réticences aiguës au sujet de leurs capacités d'adaptation souffrent beaucoup de détresse et consacrent beaucoup d'efforts à l'action défensive ... ils ne peuvent pas faire des choses qu'ils trouvent subjectivement menaçant même s'ils sont objectivement sûrs. Ils peuvent même éviter les activités facilement gérables, car ils les voient comme conduisant à des événements plus menaçants sur lesquels ils ne pourront pas faire preuve de contrôle adéquat.
@albertBandura
Les gens déduisent une auto-efficacité élevée des succès obtenus grâce à un minimum d'effort sur des tâches difficiles, mais ils déduisent une faible auto-efficacité s'ils devaient travailler dur dans des conditions favorables pour maîtriser des tâches relativement faciles
@albertBandura
L'auto-efficacité perçue façonne également la pensée causale. En recherchant des solutions à des problèmes difficiles, ceux qui se sont perçus comme très efficaces sont enclins à attribuer leurs échecs à des efforts insuffisants, tandis que ceux des compétences comparables mais une auto-efficacité perçue plus faible attribuent leurs échecs à une capacité déficiente
@albertBandura
Les personnes qui ont une vision faible d'eux-mêmes [créditeront] leurs réalisations à des facteurs externes, plutôt qu'à leurs propres capacités.
@albertBandura
Les gens qui ne sont pas sûrs d'eux-mêmes éviteront les comparaisons sociales qui menacent potentiellement leur estime de soi
@albertBandura
L'évaluation raisonnablement précise de ses propres capacités est donc d'une valeur considérable dans le fonctionnement réussi. De grands erreurs d'efficacité personnelle dans les deux sens ont des conséquences. Les personnes qui surestiment largement leurs capacités entreprennent des activités qui sont clairement hors de leur portée. En conséquence, ils se font des difficultés considérables, sapent leur crédibilité et souffrent de défaillances inutiles. Certains des faux pas, bien sûr, peuvent produire un préjudice grave et irréparable
@albertBandura
Les croyances d'auto-efficacité diffèrent des attentes des résultats, des jugements de la conséquence probable [que] le comportement produira.
@albertBandura
L'auto-perception favorise les actions qui génèrent des informations et servent de mécanisme de filtrage pour les informations auto-référentes dans le processus d'auto-entretien
@albertBandura
L'auto-perception favorise les actions qui génèrent des informations et servent de mécanisme de filtrage pour les informations auto-référentes dans le processus d'auto-entretien
@albertBandura
La théorie cognitive sociale rejette la conception dichotomique de soi en tant qu'agent et soi comme objet. Agir sur l'environnement et agir sur soi-même implique de déplacer la perspective du même agent plutôt que de se réifier différents se réguler ou de transformer l'auto de l'agent à l'objet
@albertBandura
Le succès et l'échec sont largement auto-définis en termes de normes personnelles. Plus les normes soient élevées, plus il est probable que les réalisations soient considérées comme des échecs, peu importe ce que les autres pourraient penser.
@albertBandura
De telles doutes auto-référentes créent un stress et sape l'utilisation efficace des compétences que les gens possèdent en détournant l'attention de la meilleure façon de se soucier des défaillances personnelles et des accidents possibles
@albertBandura
La condition humaine est mieux améliorée en modifiant les circonstances préjudiciables et les perspectives personnelles qu'en essayant de modifier les perspectives personnelles, tout en ignorant les circonstances mêmes qui servent à les nourrir
@albertBandura
La présence de nombreuses influences en interaction, y compris les réalisations des autres, crée une nouvelle marge de manœuvre dans la façon dont ses performances et ses résultats sont évalués cognitivement
@albertBandura
Accorder une efficacité causale à la réflexion, c'est ne pas invoquer un état mental désincarné