Michael Moss
@michaelMoss
Alors que je parlais avec des scientifiques de la façon dont les graisses se comportent, je n'ai pas pu m'empêcher de faire une analogie avec le domaine des stupéfiants. Si le sucre est la méthamphétamine des ingrédients alimentaires transformés, avec son assaut rapide et contondant sur notre cerveau, alors la graisse est l'opiacé, un opérateur doux dont les effets sont moins évidents mais non moins puissants.