Annie Besant
@annieBesant
La mort se compose, en effet, dans un processus répété de démêlage ou de non-désaction. La partie immortelle de l'homme s'échappe de lui-même, l'une après l'autre, ses enveloppes extérieures, et - comme le serpent de sa peau, le papillon de sa chrysalis - émerge de l'un après l'autre, passant dans un état de conscience supérieur.