Rothko : pour s'y perdre
Les couilles d'Adam - Sur une fresque de Masaccio, une sculpture de Rodin et un pastel de Picasso
Publié par Sens&Tonka, le 13 juin 2007
80 pages
Résumé
Sans lui, Michel-Ange n'aurait pas été ce qu'il a été. Le grand Léonard de Vinci, Botticelli, Raphaël, et bien d'autres, l'ont reconnu pour maître. Comme Cézanne, il aurait pu dire : " Il y a deux sortes de peinture : la peinture bien " couillarde " - la mienne - et celle des autres " ! Né près de Florence tout juste avec le Xve siècle, on l'appelait Masaccio, parce qu'il était fou de peinture. Il est mort à vingt-sept ans et n'a peint que pendant... huit ans à peine ! Et pourtant ce sont bien les braises laissées par celui que l'on a surnommé " Le Rimbaud de la peinture ", et sur lesquelles ont soufflé, entre autres, Michel-Ange, Rodin et Picasso, qui ont mis le feu à tout l'art occidental.
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