Cette brève « autobiographie », parue en 1906, est l’un des textes politiques de Jack London les plus marquants. Dans ce récit personnel, il retrace le chemin qui le mena à devenir socialiste. Crieur de journaux, pilleur d’huîtres, ouvrier dans une conserverie, employé d’une teinturerie, électricien, vagabond… il nous livre ici les voies qui firent de lui l’auteur engagé si longtemps méconnu. Une plongée au cœur du destin d’un des écrivains américains les plus ambigus.

Ce que la vie signifie pour moi

Martin Eden est un jeune marin au long cours. Sa vie est faite d'aventures, il aime la boisson, les filles, les bagarres. Jusqu'au jour où il rencontre Ruth Morse, jeune femme de la bonne bourgeoisie. Pour la séduire, il renonce à ses mauvaises habitudes, à ses mauvaises fréquentations. À force de travail, il se forge un savoir encyclopédique, et découvre qu'il a un réel talent pour l'écriture. Mais la famille de Ruth voit d'un mauvais œil la liaison de leur fille avec Martin. Celui-ci se donne deux ans pour réussir, faire publier ses écrits, afin d'épouser Ruth. Martin Eden aspire à cette ascension sociale, plus dure sera la chute...Ce roman est considéré comme le meilleur et le plus autobiographique des romans de Jack London. À l'instar de son héros, Jack London se donnera la mort sept ans plus tard.

Martin Eden

Era la legge della vita, ed era giusta. Egli era nato vicino alla terra, era vissuto, e la legge perciò non gli era nuova. Era la legge di tutti gli animali. La natura non è buona col singolo. Non si preoccupa dell'essere chiamato individuo. Terribili corse verso improbabili salvezze, in luoghi dove la natura conserva rare tracce umane; il contrasto del mondo dei bianchi con quello dei nativi e la reciproca inspiegabilità; luoghi che lasciano intravedere le forze che regolano il rapporto dell'uomo con i suoi simili e con la natura in cui la posta in gioco è sempre altissima, la vita. L'ambiente dei territori di frontiera, primitivi e remoti, consente a London di sottolineare la brutalità della Natura, vera protagonista dei suoi racconti, e come essa venga accettata pacificamente.

La legge della vita

Jack London (1876-1916) ist weltberühmt für seine spannenden und zeitlosen Abenteuerromane wie "Ruf der Wildnis", "Wolfsblut" und "Der Seewolf". Zu Lebzeiten war Jack London der erfolgreichste Schriftsteller der Welt - und noch heute begeistern seine meisterhaften Erzählungen junge und alte Leser gleichermaßen.

In seiner stark autobiographisch gefärbten Erzählung "König Alkohol" (1913) berichtet Jack London von seinen Jugendjahren als Matrose und Abenteurer - und spannt dabei immer wieder den Bogen zu seinem späteren Leben als erfolgreicher Autor. Die zentralen Themen sind dabei natürlich Londons Abenteuer und Reisen, aber auch Freundschaften und der Fluch und Segen des Alkohols, der London zeitlebens begleitet hat: Es geht um die Freuden des Rauschs und zugleich um die zerstörerische Sucht und die gesundheitlichen Folgen des Alkoholismus.

Das vorliegende Buch wurde sorgfältig editiert und enthält Jack Londons Erzählung "König Alkohol" im ungekürzten Original-Wortlaut der deutschen Übersetzung.

König Alkohol - Roman

Il 7 gennaio del 1904 Jack London si imbarca sul piroscafo Siberia alla volta della Corea, per seguire come corrispondente del "San Francisco Examiner" il conflitto tra Russia e Giappone. Per London, che ha appena raggiunto una certa fama come scrittore di avventura e di romanzi a sfondo sociale grazie a capolavori come Il richiamo della foresta e Il popolo degli abissi è giunto il momento di misurarsi con il mestiere di reporter. Corrispondenze di guerra riunisce ventidue articoli, tradotti e pubblicati per la prima volta in Italia, che fanno parte a pieno titolo della proficua e complessa tradizione del reportage di guerra americano. Ma c'è di più. Lontani dall'essere semplici rapporti di avvenimenti bellici, gli scritti di London ci restituiscono il confronto tra lo scrittore autentico e lo spazio circoscritto del resoconto giornalistico. L'esperienza diretta della crudeltà della guerra vissuta anche come scontro razziale e non soltanto imperialistico, si fa metodo. Eroe moderno in lotta con la sconcertante violenza umana, il London reporter, non più rappresentato attraverso le sue controfigure letterarie, vive in prima persona il viaggio come movente della rappresentazione di sé.

Corrispondenze di guerra

C'est entre 1899 et 1902, au retour de son équipée dans le Grand Nord canadien - Klondike et Alaska - que Jack London compose ces nouvelles qui seront ses premières oeuvres publiées.

   Aux confins de cette « dernière frontière » qui fascine alors l'imaginaire des lecteurs américains, il a  forgé une thématique qui alimentera son oeuvre pour longtemps : l'envoûtement d'une nature impitoyable, l'espace  infini du Silence blanc, lieu d'aventures et de dangers, et, dans ce décor, le surgissement  des passions - la violence ou l'esprit de justice, la force ou la ruse, la convoitise, le courage - à l'état élémentaire, primitif.

   Le rôle central revient aux Indiens : ceux du village proche de l'âge de pierre que rencontre Nam-Bok le menteur  ; les « Indiens blancs »  pris au piège de l'intégration (La Ligue des vieillards) ; les femmes, aussi, soumises comme Ruth  ou révoltées comme l'El-Soo du jugement de Porportuk. Face à eux, les Blancs apparaissent partagés  entre le sentiment de leur supériorité et la peur que suscite la rencontre de l'autre. Romancier du vécu,  London porte sur cette Amérique encore proche du temps des pionniers un regard attentif aux données  les plus concrètes de l'existence, qui confère à ses récits un réalisme à la fois minutieux et puissant.

Le silence blanc et autres nouvelles

Pour la première fois réunis en édition pédagogique : le récit de Jack London et la nouvelle de Poe qui l'a inspiré, sur une thématique d'actualité Une épidémie de peste dévaste la contrée : le prince Prospero et ses courtisans échapperont-ils à la Mort rouge ?
En 2073, un vieillard se souvient de ce que fut autrefois l'Amérique... Avant le terrible fléau de 2013.
Pour la première fois réunis en édition pédagogique, le récit postapocalyptiques de Jack London et la nouvelle d'Edgar Allan Poe qui l'a inspiré permettent de s'interroger sur notre rapport au progrès. En lien avec les programmes de 4e et 3e, ces cauchemardesques dystopies trouvent une résonnance toute particulière avec ce que vit l'humanité aujourd'hui. Elles interrogent sur les valeurs de la civilisation contemporaine et offrent une réflexion sur le monde de demain : le possible retour à la nature n'est-il qu'un mirage effrayant ?
4e : Regarder le monde, inventer le monde : la fiction pour interroger le réel 3e : Vivre en société, participer à la société : dénoncer les travers de la société 3e : Progrès et rêves scientifiques

La peste écarlate ; masque de la mort rouge

Fils d'une louve et d'un chien de traîneau, Croc-Blanc grandit dans le Wild, le grand désert blanc. Il y apprend sa dure loi: manger ou être mangé. Sa rencontre avec les hommes, les dieux faiseurs de feu, sera décisive. Il se soumet d'abord à l'autorité de l'Indien Castor-Gris, et devient chien de traîneau. Mais un autre maître, Beauty Smith, sanguinaire et brutal, l'engage dans des combats sans merci et réveille en lui toute la sauvagerie du Wild. Du loup ou du chien, lequel de ses instincts finira par l'emporter?

Croc-Blanc

Jack London : 1876-1916 a eu une vie exceptionnelle. Par la densité de son œuvre : cinquante-deux volumes écrits dans ses seize dernières années. Par la densité de son existence, remplie d'événements et d'aventures.
De toutes ses aventures, il en est une plus décisive que les autres car elle l'a révélée à lui-même et lui a permis d'accomplir sa vocation d'écrivains. C'est la Ruée ver l'or : le gold rush qui de 1897 à 1899 a vu près de cent mille hommes, venus des quatre coins du monde, affluer au Klondike, aux confins du nord-ouest du Canada et de l'Alaska.
C'est le thème central de ces Histoires qu'a choisies et réunies pour nous, Francis Lacassin.
Jack London, en effet, a ramené du pays des neiges un bien beaucoup plus précieux que du métal jaune : l'inspiration.

Ce que la vie signifie pour moi

Résumé

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