Theatre complet t.3

THE TRAGEDY OF HAMLET, PRINCE OF DENMARK

THE SONNETS

THE TEMPEST.

ROMEO AND JULIET

A MIDSUMMER NIGHT'S DREAM

TWELFTH NIGHT

"Two households, both alike in dignity, 

In fair Verona, where we lay our scene, 

From ancient grudge break to new mutiny, 

Where civil blood makes civil hands unclean. 

From forth the fatal loins of these two foes 

A pair of star-cross'd lovers take their life; 

Whose misadventur'd piteous overthrows 

Doth with their death bury their parents' strife. 

The fearful passage of their death-mark'd love, 

And the continuance of their parents' rage, 

Which but their children's end naught could remove, 

Is now the two hours' traffic of our stage; 

The which, if you with patient ears attend, 

What here shall miss, our toil shall strive to mend. "

William Shakespeare Collection

I. 1 Scene I. Windsor. Before Page's house.

Enter Justice Shallow, Slender, and Sir Hugh Evans.

Shal. Sir Hugh, persuade me not; I will make a Star-chamber matter of it: if he were twenty Sir John Falstaffs, he shall not abuse Robert Shallow, esquire.

Slen. In the county of Gloucester, justice of peace 5 and "Coram."

Shal. Ay, cousin Slender, and "Custalorum."

Slen. Ay, and "Rato-lorum" too; and a gentleman born, master parson; who writes himself "Armigero, " in any bill, warrant, quittance, or obligation, "Armigero."

Shal. Ay, that I do; and have done any time these three hundred years.

Slen. All his successors gone before him hath done't; and all his ancestors that come after him may: they may 15 give the dozen white luces in their coat.

Shal. It is an old coat.

Evans. The dozen white louses do become an old coat well; it agrees well, passant; it is a familiar beast to man, and signifies love.

Shal. The luce is the fresh fish; the salt fish is an old coat.

Slen. I may quarter, coz.

Shal. You may, by marrying.

Evans. It is marring indeed, if he quarter it.

Shal. Not a whit.

The Merry Wives of Windsor

Coriolan" de William Shakespeare. William Shakespeare, dramaturge et poete anglais (1564-1616).

Coriolan

CYMBERLINE

Voici deux volumes d'un créateur génial servi par un homme de théâtre considérable, Jean Gillibert. Le même souci de la réalité théâtrale de William Shakespeare - et non la seule " dramaturgie " de ses pièces - a guidé Gillibert et l'a obligé. Que l'anglais soit la plus latine des langues saxonnes, au nom secret de cette ambiguïté, a su servir ce tragique d'un réel poétique et lyrique étonnant.

Oeuvres Tome 1 ; la tempête, le viol de Lucrèce, Macbeth, le deux nobles cousins

After the exotic eroticism of Antony and Cleopatra, Shakespeare returned to Rome for one of his final tragedies, and the change could not have been more dramatic. Coriolanus is one of Shakespeare's harshest and most challenging studies of power, politics and masculinity, based around the life of Caius Marcius.  Based on the Roman chronicles of Plutarch's Lives and Livy's History of Rome, the play is set in the early years of the Roman Republic. Its famous opening scene, particularly admired by Bertolt Brecht, portrays its citizens as starving and rebellious, and horrified by the arrogant and dismissive attitude of Caius Marcius, one of Rome's most valiant but also political naive soldiers. Spurred on by his ambitious mother Volumnia, Caius takes the city of Corioles, is renamed Coriolanus in honour of his victory, and is encouraged to run for senate. However, his contempt for the citizens, who he calls "scabs" and "musty superfluity" ultimately leads to his exile and destructive alliance with his deadly foe, Aufidius. Despite its relative unpopularity, Coriolanus is a fascinating study of both public and personal life. Its language is dense and complex, as its representation of the tensions built into the fabric of Roman political life. Yet it also contains extraordinarily intimate scenes between Coriolanus and both his mother, who ultimately proves "most mortal" to her own son, and his enemy Aufidius, whose "rapt heart" is happier to see Coriolanus than his own wife. One of Shakespeare's darker and more disturbing plays. --Jerry Brotton

Nouvelle édition 2019 sans DRM de Titus Andronicus de William Shakespeare augmentée d'annexes (Biographie).

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Titus Andronicus – suivi d'annexes - Nouvelle édition Arvensa

Christopher Sly se fait jeter, ivre, hors de la taverne et s'endort sous un buisson. Un lord et sa suite le découvrent. Le lord décide de s'amuser à ses dépens ; il le fait emmener chez lui dans sa plus belle chambre. On fait croire à Sly qu'il se réveille de quinze années de désordre mental, et qu'il est un noble et riche lord... 
Pour poursuivre son plaisir, le lord a engagé une troupe de comédiens et offre à Sly le spectacle d'une pièce de théâtre. Baptista, vieil aristocrate de Padoue a deux filles : Catarina, la mégère, au caractère revêche et faisant fuir tout prétendant éventuel et la douce Bianca que convoitent bien des gentilshommes dont Hortensio et Gremio. Lorsque le jeune seigneur Lucentio débarque de Pise, il en tombe immédiatement amoureux et décide de la conquérir. Mais, pour cela, il faut d'abord que Catarina trouve un prétendant ; mais qui voudrait d'une jeune fille au caractère aussi épouvantable ? C'est alors que Petruchio se présente au père des deux jeunes filles et déclare vouloir épouser Catarina...
Shakespeare présente un bel exemple de mise en abyme : les premiers personnages, Sly et le lord, deviennent spectateurs d'une autre pièce de théâtre, ce qui met le vrai spectateur à la marge de la représentation et le force à dédoubler son attention puisque la première pièce continue subrepticement. 
La tromperie est à l'honneur dans cette comédie : le lord se joue de Sly et Lucentio prend la place de son valet pour mieux arriver à ses fins. La pièce toute entière se joue du spectateur et des repères classiques.

Theatre complet t.3

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