Le 29 juin de chaque année le passé revient, si rien ne l'arrête il devient une habitude, avec le masque de l'araignée et celui de la stupeur.

Meta donna

«Ce livre est un précis d'architecture inversée. Il se demande comment déconstruire une maison, sachant que là où je peux être somnambule sans erreur, elle commence.»

Vak Spectra

TOTEM

Comme celui qui le traverse, le paysage se transforme, les perspectives se défont - des images fantômes. Des épreuves supposées, une initiation au terme de laquelle on ne sait rien de plus ni de moins. Des textes courts où les mots et les images s'entrecroisent, se font écho, forment une trame étrange, dessinent le trajet aléatoire d'un homme à travers un panorama qui se métamorphose, tremble, se diffracte, tourne, devient carrefour, luna park, labyrinthe, chambre noire... Il y croise des figures légendaires, le golem, le dibbouk, enfourche un tapis volant, rétrécit à l'infini.

Le pré est vénéneux

Le monde est rond - (Autour de l'encyclopédie)

«Une bulle a été soufflée par un jeune homme assisté de son cadet et son mouvement est comme rien ou comme une ritournelle.»

Rien à cette magie

's'ils réussissent, elle se mettra à bouger et même à tourner, la table astronomique de la plus grande aberration, en longitude et latitude des étoiles fixes'

La plus grande aberration

Mais l'air dès que vient le jour est plein d'images mobiles auxquelles l'oeil sert de cible ou d'aimant.

Meta donna

Résumé

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Critiques

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