Allez donc faire çà plus loin: espèce de roman

Dubois, lui, tout en gobant ses marennes, m'expliquait en détails la gastro-entérite de sa femme de ménage… C'est vous dire si la plus totale harmonie régnait dans la salle à manger de ses bons amis !Et soudain, au moment pile où la mère Dubois se la radinait triomphalement une gigantesque marmitr recélant le cassoulet : vlan ! Ou plutôt " dring"! Le bignou s'est mis à carillonner….

À tue et à toi (San-Antonio #20)

Des dragées sans baptême (San-Antonio, #6)

Là, c'est la guerre froide... Et pour aller chouraver des formules scientifiques de l'autre côté du Mur, faut voir le casse-tête. Ou alors, façon San-Antonio, on peut toujours tenter le coup en épousant de l'autochtone. Sauf que, question petite moujik de nuit, la Natacha, c'est plutôt la grosse caisse. Le seul attrait de cette rombière d'outre-Oural, c'est bien son professeur de papa, l'inventif inventeur d'un tas d'inventions convoitées par les services secrets du monde entier. Pour la noce, ça risque de faire un peu trop de zigs à table, va falloir déblayer...

En avant la moujik

J'ai rencontré à travers le vaste monde et le long de ma vie bien des femmes exigeantes. Des qui me demandaient de remplacer leur mari au pied levé ; des qui réclamaient ceci et d'autres qui sollicitaient cela et toujours je me suis évertué à les satisfaire. Mais la frangine, ce coup-là, attend vraiment l'impossible de votre San-A. chéri... Un impossible réellement... impossible... Mais moi, vous me connaissez ; rien ne peut m'arrêter! Alors, poliment, je me penche sur le décolleté de la poupée et je susurre : " Mais voyons, chère amie, tout le plaisir est pour moi ! "

Tout le plaisir est pour moi (San-Antonio #37)

Moi, vous me connaissez ! Je ne m'embarrasse pas de préjugés. Je connais des esprits chagrins qui me diront : "Dans un sous-marin, ça se passe pas comme ça". Je répondrai à ces pisse-froid que, dans mon sous-marin à moi, ça se passe comme ça. La preuve, j'y étais ! Je connais aussi des esprits non moins chagrins qui me diront : "Au pôle Sud, ça se passe pas comme ça". Je répondrai à ces autres pisse-froid que, dans mon pôle Sud à moi, ça se passe comme ça. La preuve, c'est que nous y étions, Béru et moi ! Allez lui demander, vous verrez ce qu'il vous répondra. Mais de toute façon, pour les incrédules et les ci-dessus mentionnés : zéro pour la question !

Zéro pour la question

Je ne pouvais pas imaginer qu'un jour je verrais un jour un spectacle pareil ! Bérurier évoluant parmi l'élite mondiale, cohabitant avec tout ce que la Terre a pu produire comme rois, reines, présidents, milliardaires, sommités artistiques...Je vous jure qu'il faut avoir vu ça au moins une fois dans son existence !Et si tout ce gratin (dont nous étions) n'avait pas été à deux doigts de l'anéantissement atomique, j'aurais ri, mais ri à m'en mettre la rate au court-bouillon !

La rate au court-bouillon (San-Antonio #58)

Quel genre de particulier, recevant chaque semaine deux millions (d'anciens francs) par la poste, viendrait s'en plaindre à la police ? Franchement ?
San-Antonio fait pourtant face à l'oiseau rare : Gérald Fouassa, asthmatique et hôtelier en retraite. Il n'en peut plus, le bonhomme, de tout ce pognon incompréhensible. Et son patronyme ne courant pas les bottins, on peut directement écarter l'erreur de livraison.
Aussi, lorsque la gouvernante du plaignant se fait égorger dans la foulée, ça se confirme : il y a un loup, là-dessous. Et probablement un sacré pot de confiture...

Allez donc faire çà plus loin: espèce de roman

Plus de livres de San Antonio

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques