Ce livre fait revivre les plus grands moments de la fantastique chevauchée de l'étalon sauvage de l'automobile américaine, depuis les classiques hard-top, fastback et convertible, qui ont assuré son succès, jusqu'aux Boss et Match 1 des années soixante-dix, en passant par les légendaires Shelby, ces Mustang mordues par le Cobra.

Mustang. L'Etalon Sauvage

Après l'ouvrage sur les plus rares et les plus belles berlinettes sportives des années 50 publiés en 2017, Xavier de Nombel s'est penché sur la décennie 1960. Il a promené ses appareils photo aux quatre coins du monde pour nous livrer une vision très personnelle de cette période mouvementée au cours de laquelle le style est devenu design. Ces années, marquées par la disparition de nombreux ateliers de carrosserie, ont aussi vu éclore de nouvelles marques emblématiques, ATS, De Tomaso, Iso, Lamborghini, Osca, Serenissima... Des modèles hors série aux concept cars les plus délirants, de la petite Osca rageuse à la révolutionnaire Carabo, des plus sportives aux plus luxueuses, chacune de ces automobiles représente une facette des enjeux de cette période. Autour des coups de coeur du photographe, Christian Descombes retrace les bouleversements qu'a traversés la carrosserie italienne, passant de l'artisanat à l'industrie, abandonnant la clientèle des amateurs fortunés pour mettre son savoir-faire au service des grands constructeurs internationaux. Il détaille les modèles et leur conception, les choix des stylistes et des carrossiers en nous faisant pénétrer dans l'intimité des ateliers de tôlerie et des studios de style. Une plongée dans la grande famille de la carrosserie et du style italien que Giorgetto Giugiaro, qui en fut incontestablement l'un des acteurs majeurs, a accepté de présenter en début d'ouvrage. Sur douze pages, il livre un brillant témoignage de l'intérieur, mettant en lumière les sursauts du style automobile italien depuis l'après-guerre et retraçant son expérience acquise au fil des années auprès des plus grands avant de fonder son propre studio de design Italdesign. Une flamboyante saga.

Berlinetta ‘60s ; coupés d'exception italiens des années soixante

Depuis plus de 90 ans (création en 1922), pour tous les amoureux de belles automobiles, le nom Jaguar évoque immanquablement un style inimitable... Des courbes à la fois agressives, sensuelles et racées, le confort du cuir Connolly, des bois vernis à foison, un remarquable moteur six cylindres à double arbre à cames en tête, des performances de premier ordre. En somme, comme disait la réclame de la maison : « Grace, Space, Pace » - la grâce, l'espace et la vitesse.

Cet ouvrage s'intéresse à l'âge classique des automobiles Jaguar, une période marquée de l'empreinte de William Lyons (son fondateur), l'âme de la marque, et par ses modèles les plus mythiques. L'ouvrage a l'ambition d'éclairer le néophyte sur les principaux épisodes de l'histoire de Jaguar, de lui faire découvrir les modèles les plus emblématiques, mais il n'oublie pas pour autant le Jaguariste aguerri, qui y trouvera de nombreuses anecdotes et le portrait de quelques-unes des personnalités majeures de la firme de Coventry (GB).

Sommaire (13 modèles emblématiques) : SS 100, the first lady. Mark V, à la croisée des chemins. XK 120, l'essence du mythe. Mark VII, à la conquête de l'Amérique. XK 140, XK 150, une glorieuse descendance.  Mark 1, naissance du Sport Saloon. XK SS, du circuit à la route. Mark 2, la plus belle berline du monde ? Type E, sculpture mobile. Mark X, le haut du panier. Type E série 2 et 3, un long chant du cygne. XJ6, XJ12, le dernier chef-d'oeuvre de Sir William. XJ-S, une longévité exceptionnelle.

Jaguar ; l'âge classique

Les années 1950-1960 ont été l'âge d'or de l'automobile. Elles ont permis la démocratisation de ce mode de transport à travers des voitures populaires accessibles à un plus grand nombre. Acheter une voiture dans les années 1950 et même encore aux débuts des années 1960 était un chemin de croix à cause des délais de livraison très longs et du crédit à la consommation balbutiant. Acquérir un véhicule étranger avant l'ouverture du marché commun était bien pire encore ! Hier comme aujourd'hui, certains faisaient davantage rêver que d'autres. Mais à cause de leur prix plus élevé, leur marginalité, leur origine, leur fiscalité, il restait des voitures de rêve. Si le conducteur des années 1950-1960 roulait en 4 CV ou Simca 1000, il rêvait de modèles plus emblématiques, plus sportifs, plus bourgeois, plus élitistes et surtout plus émotionnels. A travers Les voitures dont mon père a toujours rêvé nous vous invitons à prendre le volant de ces voitures des années 1950 et 1960 plus passionnelles, qui ont tant fait rêver nos pères et nos grands-pères. A travers les 192 pages de ce livre, écoutez le bruissement des huit-cylindres de la Vedette ou de la Chambord, l'épais ronflement d'une Traction 15-Six, le râle grave de l'Alfa Romeo Giulia, le grondement d'un flat-twin Panhard gonflé, le martellement tranquille d'un coupé VW Karmann-Ghia, le miaulement d'une DKW deux temps, le feulement d'une Chevrolet Corvair.

Ces belles voitures dont a rêvé mon père

Les années 1950 et 1960 ont été l'âge d'or de l'automobile. Elles ont permis la démocratisation de ce mode de transport à travers des voitures populaires accessibles à un plus grand nombre. Acheter une voiture dans les années 1950, et même encore aux débuts des années 1960, était un chemin de croix à cause des délais de livraison très longs et du crédit à la consommation balbutiant? Acquérir un véhicule étranger avant l'ouverture du marché commun était bien pire encore ! Hier comme aujourd'hui, certains faisaient davantage rêver que d'autres. Mais en raison de leur prix plus élevé, leur marginalité, leur origine, leur fiscalité, les voitures étrangère restaient des voitures de rêve. Si le conducteur des années 1950-1960 roulait en 4 CV ou en SImca 1000, il rêvait de modèles plus emblématiques, plus sportifs, plus bourgeois, plus élitistes et surtout plus émotionnels. À travers cet ouvrage, nous vous invitons à prendre le volant de ces voitures des années 1950 et 1960 plus passionnelles, qui ont tant fait rêver nos pères et nos grands-pères. Écoutez, au détour des pages, le bruissement des huit-cylindres de la Vedette ou de la Chambord, l'épais ronflement d'une Traction 15-Six, le râle grave de l'Alfa Romeo Giulia, le grondement d'un flat-twin Panhard gonflé, le martellement tranquille d'un coupé VW Karmann-Ghia, le miaulement d'une DKW deux temps, le feulement d'une Chevrolet Corvair...

Les sportives 60 et 70 dont a rêvé mon père

" Jaguar ", ce nom magique, apparaît en 1935. A partir de cette date, et même un peu avant, grâce au succès remporté par la SS One dès 1931, la firme fondée par William Lyons en 1922 vogue de triomphe en triomphe. Trois de ses modèles peuvent être considérés comme " immortels " : la XK, déclinée entre 1948 et 1960 en trois versions, XK 120, XK 140 et XK 150, puis la Mark II, entre 1959 et 1968, et, enfin, la Type E, avec les séries 1, 2 et 3 V12, entre 1961 et 1975. Ce livre retrace, en plus de cent photographies, cette extraordinaire aventure industrielle et sportive, de 1931 à 2006, date de sortie de la toute dernière Jaguar : la XK.

Jaguar

Elles ont des tubes d'échappement comme des tuyaux d'orgues, des crêtes pustuleuses comme des dragons de métal, des capots de deux mètres de long et des ailes qui ondulent comme une écharpe dans un courant d'air. Elles sont aveugles
comme des engins blindés ou bien découvertes comme des cockpits d'avion. Elles sont vêtues seulement de leurs armes ou bien leur robe leur colle à la peau. Elles ont des voix de prima-donna ou bien sont belles en silence. Elles sont fascinantes, insupportables et irrésistibles. Ce sont... Les Dames de Fer (48 portraits d'automobile d'exception).

Mustang. L'Etalon Sauvage

Résumé

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