Des dragées sans baptême (San-Antonio, #6)

"Je n'ai, jusqu'à ce jour, reçu que deux lettres de Sa Majesté britannique Elisabeth II. La première date de plusieurs années, et concerne mon livre "Baise-ball à la Baule". La chère souveraine m'y faisait quelques remontrances parce que j'y avais assez lourdement brocardé un membre de sa royale family. L'envoi de deux douzaines de roses rouges (nous n'étions pas encore en régime socialiste), accompagnant un billet d'excuses, me valut son absolution. Mais voici que la cousine récidive, ayant entendu parler du présent ouvrage. Grâce à une indiscrétion de ma femme de ménage, elle me pria, par l'intermédiaire de l'ambassadeur de Grande-Bretagne à Berne, de lui adresser une copie de mon manuscrit. Je le fis. Ce qui motiva la seconde lettre royale. Madame Deux s'y déclare indignée de la manière dont je traite l'Intelligence Service dans ces pages et me somme de ne pas publier cette oeuvrette. Passant outre cet interdit, mon éditeur et moi avons décidé de la faire paraître tout de même. Nous verrons bien."

Va donc m'attendre chez plumeau (San-Antonio #112)

Quel intérêt une organisation terroriste peut-elle trouver à une petite île perdue du Grand Nord canadien ? Pourquoi San-Antonio s'y retrouve-t-il abandonné ? Comment peut-il s'en sortir alors que le reste du monde le croit mort ?
Mais ce n'est pas tout. Que venait faire Marie-Marie dans cette galère ? Pourquoi est-elle restée dans l'avion qui a explosé ? San-Antonio et Bérurier retrouveront-ils ses meurtriers ?
Deux aventures en une seule, ça n'est pas de trop pour répondre à toutes ces questions. Tabernacle !

San-Antonio ; ma cavale au Canada

Y-a-t'il un français dans la salle?

Une lettre et un chiffre rédigés hâtivement sur un petit bout de papier : K 2. Ça pouvait vouloir dire beaucoup de choses... Ça pouvait ne rien signifier

Les anges se font plumer (San-Antonio #25)

"Dans le numéro spécial de Lire(plus de 800 pages) qu'il a consacré à San-Antonio et qui s'intitule: SAN-ANTONIO, son vit, son oeuvre,Bernard Pivot a écrit dans sa brillante introduction que San-Antonio était le plus grand écrivain de langue française après Shakespeare.Le célèbre journaliste, monarque incontesté de la littérature actuelle, vient de nous adresser un rectificatif pour nous dire sa crainte de voir cet "après" mal interprété et créer une notion de subalternité dont San-Antonio aurait à souffrir par rapport à Shakespeare ; il préférerait substituer à son "après" la préposition "depuis", qu'il juge moins équivoque.Nous le remercions pour sa grande probité morale et espérons que le présent ouvrage renforcera encore son admiration pour l'immense écrivain."

Galantine de volaille pour dames frivoles (San-Antonio #133)

Chérie, passe-moi tes microbes

Une pluie malade brouille le ciel du port d'Hambourg, et Lisa attend. Voilà cinq ans, précisément, qu'elle attend ce moment. Celui de retrouver Frank, son grand amour et tueur de flic, condamné à perpète. Pour le faire évader, elle a su convaincre ses anciens compagnons, Paulo, Freddy, et même son avocat, le très exemplaire, le très bourgeois Gessler. Ces quatre-là ont tout prévu. Tout sauf les liens qu'ils ont tissés malgré eux, tout sauf la jalousie de l'homme, qu'on ne sort pas impunément du tombeau.

Des dragées sans baptême (San-Antonio, #6)

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