Quelques adieux

La cérémonie des anges

Florent (Le goût du bonheur, #3)

Les turbulences de la vie et de la guerre ont brisé Adélaïde. Seule l'affection de Florent éclaire encore ses journées. Ce dernier, à présent couturier célèbre, n'a pas été épargné non plus : il entretient désormais une liaison agitée avec un acteur. Il va devoir une fois encore soutenir sa vieille amie car Adélaïde finit par tout apprendre sur son défunt mari... Mais est-il encore temps de souffrir ?
 Les destins se heurtent et se conjuguent à la recherche d'une sérénité incertaine et toujours dérobée. Même si le sort en est jeté, les personnages ballottés par la vie conservent, envers et contre tout, le goût du bonheur...
 
  On s'y jette avec ferveur, on pleure, on rit, on aime, on tremble avec ces héros. Et on souffre de les quitter la dernière page avalée.  Marie L'Hermet - Phosphore

Le goût du bonheur Tome 3 ; Florent

Sept ans que Diane n'avait plus vu sa mère. Sept ans de ressentiment, de colère, de dégoût envers cette femme trop sensuelle – femme de plaisir et de secrets. C'est ce corps, ce corps exultant, qui repose aujourd'hui à la morgue. Yseult s'est suicidée. Pour Diane, qui ne l'accepte pas, c'est l'heure de la dérive, de l'alcool, des nuits d'oubli et des questions sans réponses.

Le Poids des Ombres

Dans un monde qui veut encadrer l'amour dans des règles bien précises, la passion s'inscrit toujours comme une transgression, un éclatement, une rupture. Un roman où M. Laberge rend un hommage à sa ville natale, Québec.

Annabelle a 13 ans. Elle porte un appareil orthodontique, elle est maladroite et a le visage qui s'empourpre au moindre regard. Elle souffre du divorce de ses parents et de mille autres drames du quotidien. Bref, elle est atteinte d'un mal que tout le monde connaît : la crise d'adolescence.  Avec la simplicité et l'habileté narrative qui la caractérisent, Marie Laberge évoque les terreurs et les espoirs dont est peuplée cette période de l'existence dans un roman de près de 500 pages intituléAnnabelle, du nom de son héroïne en mal d'identité. On reconnaît ici la dramaturge d'expérience qui, dans des dialogues vivants et des scènes courtes et mouvementées, montre Annabelle en colère ou en larmes, mais le plus souvent étrangère aux gestes et aux paroles de son entourage. L'idée d'avoir en sa possession une masse suffisante de médicaments rassure énormément Annabelle. Ça n'a rien à voir avec l'acte en lui-même. C'est l'intense liberté que le choix réel lui donnerait. Elle pourrait s'échapper, elle en aurait les moyens. Elle aurait dans ses poches la certitude qu'elle peut agir, contrôler sa vie.  Auteure chérie du public québécois, Marie Laberge a reçu de nombreuses récompenses, dont le Prix du public du Salon du livre de Montréal pour sa trilogie Le goût du bonheur, dont les trois tomes sont des best-sellers. Elle signe ici un grand roman de l'adolescence dans lequel chaque lecteur se retrouvera avec émotion. --Julie Sergent

Quelques adieux

Plus de livres de Marie Laberge

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques