Quelque part sur Terre, existe un pays totalement isolé et composé uniquement de femmes. Depuis 2000 ans, elles construisent une société bienveillante, paisible, écologique dont le seul enjeu est celui du bien-être des futures générations. 
Trois jeunes explorateurs, de tempéraments différents, partent à la découverte de ce pays avec, dans leurs bagages, tous les clichés du monde moderne et leurs a priori sur la gent féminine. La rencontre de ce peuple et de cet univers improbable mettra à terre toutes leurs convictions ! 
Les femmes d'Herland, elles, se questionnent sur cet autre monde d'où viennent ces étrangers, humains comme elles... Quelle sera la conclusion de ces « retrouvailles » ?

Herland ou l'épopée de trois hommes au royaume des femmes

In dieser Kritik der "androzentrischen Kultur" untersucht die Pionierin und Feministin Charlotte Perkins Gilman mit Witz und Einfühlungsvermögen die vielen negativen Auswirkungen der männlichen Vorherrschaft auf die Frauen sowie das Wohlergehen der Menschheit als Ganzes. Die lange Geschichte der männlichen Vorherrschaft und der weiblichen Unterordnung in unserer Gesellschaft hat die natürlichen Qualitäten der menschlichen Rasse nicht verbessert, sondern eher verzerrt, so Gilman. Dies zeigt sich in vielen Institutionen unserer Gesellschaft. In separaten Kapiteln behandelt sie Familie, Kunst, Literatur, Spiel und Sport, Ethik und Religion, Bildung, Mode, Recht und Regierung, Verbrechen und Strafe, Politik und Kriegsführung sowie Industrie und Wirtschaft. In jedem Fall zeigt sie, wie der herrschende männliche Einfluss zu schwerwiegenden Problemen geführt hat. 

Der Leser und die Leserin erhalten wertvolle Ratschläge, wie man die gesellschaftliche Unterdrückung durch die männliche Vorherrschaft beseitigen kann. Absolut lesenswert!

Die von Männern geschaffene Welt

Dans un coin reculé de la Terre, une société de femmes vit depuis deux mille ans dans un monde idéal. Elles se reproduisent par parthénogenèse et poursuivent tranquillement leur existence jusqu'au jour où trois mâles américains arrivent et amènent le désordre.

Herland

Amarrant sa raison entre folie et écriture, l'auteure cherche les preuves de son enfermement dans la forêt des signes que lui renvoie le motif du papier peint. Elle y découvre, métamorphosée, la réalité de son esclavage, et se voit elle-même, prisonnière derrière le dessin déformé en barreaux monstrueux...

« Pendant longtemps, je n'ai pas compris ce qu'était cette forme dérobée derrière le motif, mais maintenant, je suis certaine que c'est une femme.
À la lumière du jour, elle est calme, immobile. J'imagine que c'est le motif qui la bride. C'est si troublant... Et je m'y absorbe des heures...
Parfois, je me dis qu'elles sont des multitudes, parfois qu'elle est seule.
Elle fait le tour en rampant à une vitesse folle, ébranlant chaque motif.
Elle s'immobilise dans les zones de lumière et, dans les zones d'ombre, elle s'agrippe aux barreaux qu'elle secoue avec violence.
Sans fin, elle tente de sortir. Impossible d'échapper à ce dessin ? Il serre à la gorge. » C.P.G.

Le papier peint jaune

Amarrant sa raison entre folie et écriture, l'auteure cherche les preuves de son enfermement dans la forêt des signes que lui renvoie le motif du papier peint. Elle y découvre, métamorphosée, la réalité de son esclavage, et se voit elle-même, prisonnière derrière le dessin déformé en barreaux monstrueux.

« Pendant longtemps, je n'ai pas compris ce qu'était cette forme dérobée derrière le motif, mais maintenant, je suis certaine que c'est une femme.

À la lumière du jour, elle est calme, immobile. J'imagine que c'est le motif qui la bride. C'est si troublant. Et je m'y absorbe des heures.

Parfois, je me dis qu'elles sont des multitudes, parfois qu'elle est seule.

Elle fait le tour en rampant à une vitesse folle, ébranlant chaque motif.

Elle s'immobilise dans les zones de lumière et, dans les zones d'ombre, elle s'agrippe aux barreaux qu'elle secoue avec violence.

Sans fin, elle tente de sortir. Impossible d'échapper à ce dessin ? Il serre à la gorge. » C. P. G.

The family is older than humanity, and therefore cannot be called a human institution. A post office, now, is wholly human; no other creature has a post office, but there are families in plenty among birds and beasts; all kinds permanent and transient; monogamous, polygamous and polyandrous.

We are now to consider the growth of the family in humanity; what is its rational development in humanness; in mechanical, mental and social lines; in the extension of love and service; and the effect upon it of this strange new arrangement-a masculine proprietor.

Like all natural institutions the family has a purpose; and is to be measured primarily as it serves that purpose; which is, the care and nurture of the young. To protect the helpless little ones, to feed and shelter them, to ensure them the benefits of an ever longer period of immaturity, and so to improve the race-this is the original purpose of the family.

When a natural institution becomes human it enters the plane of consciousness. We think about it; and, in our strange new power of voluntary action do things to it. We have done strange things to the family; or, more specifically, men have.

Androcentric Culture

Through a series of journal entries, a woman records her thoughts and feelings over the course of a summer, shortly after giving birth to her child. Confined to her bedroom on the advice of her husband, a physician, "The Yellow Wallpaper" chronicles the woman's increasing instability, as she becomes obsessed with the yellow wallpaper covering the walls of her room."The Yellow Wallpaper" is considered one of the earliest American feminist works of fiction and is unique for author Charlotte Perkins Gilman's deft handling of the delicate subject of contemporary attitudes about women's bodies, emotions, and mental health. The story is considered to be semi-autobiographical, and is based on Gilman's own experiences with postpartum depression and rest cures. HarperCollins brings great works of literature to life in digital format, upholding the highest standards in ebook production and celebrating reading in all its forms. Look for more titles in the HarperCollins short-stories collection to build your digital library.

The Yellow Wallpaper

The Yellow Wallpaper is a short story by American writer Charlotte Perkins Gilman, first published in January 1892 in The New England Magazine.

It is regarded as an important early work of American feminist literature, due to its illustration of the attitudes towards mental and physical health of women in the 19th century.

(from wikipedia.org)

The yellow Wallpaper

INTRODUCED BY MAGGIE O'FARRELL
'A great work of literature, the product of a questing, burning intellect' MAGGIE O'FARRELL 
'Even if the themes being explored might seem irrelevant . . . that this is not the case' GUARDIAN
'I loved the unnerving, sarcastic tone, the creepy ending' PARIS REVIEW 
'It is stripped off - the paper - in great patches . . . The colour is repellent . . . In the places where it isn't faded and where the sun is just so - I can see a strange, provoking, formless sort of figure, that seems to skulk about . . . '
Based on the author's own experiences, The Yellow Wallpaper is the chilling tale of a woman driven to the brink of insanity by the 'rest cure' prescribed after the birth of her child. Isolated in a crumbling colonial mansion, in a room with bars on the windows, the tortuous pattern of the yellow wallpaper winds its way into the recesses of her mind.
Charlotte Perkins Gilman was America's leading feminist intellectual of the early twentieth century. In addition to her masterpiece The Yellow Wallpaper, this edition includes a selection of her best short fiction and extracts from her autobiography.

Herland ou l'épopée de trois hommes au royaume des femmes

Résumé

Plus de livres de Charlotte Perkins Gilman

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques