Jours de juillet

La guerre d'Espagne éclate en 1936. En trois actes, Dimitri Analis nous entraîne auprès des intellectuels et  d'hommes politiques espagnols de l'époque. Des antichambres du pouvoir à la prison, ces personnages laissent libre  cours à leurs impressions sur la révolution, la liberté et le difficile exercice du pouvoir. Comment concilier foi et  pouvoir ? Idéaux et devoir ? Et, surtout, quelle société construire ? Autant de questions essentielles, aussi valables  dans l'Espagne de 1936 que dans l'Europe d'aujourd'hui.

Du théâtre politique et intemporel. La désillusion des hommes face à la confrontation des idéaux et du  pouvoir. 24 illustrations de Milos Sobaïc.

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Pays exclusif

La Grèce, Hors Saison

AUTEURS: Analis, Astruc, Beloff, Besse, Besson, Bled, Domenach, Dutourd, Dutourd, Foran de Saint-Bar, Frydman, Haldas, Hallier, Heers, Hoffmann, Leroy, Limonov, Lugan, Martin-Chauffier, Matzneff, Mezzadri, Musso, Nokovitch, Paucard, Raspail, Rivais, Schiffer, Séchan, Volkoff, Xenakis, ZinovievDes personnalités prennent leur plume pour réclamer justice et vérité! Du coup de griffe à l’analyse historique, de l’indignation à l’ironie, tous les registres et les opinions se conjuguent ici dans un même rejet des dogmes simplificateurs qui ont fait d’un peuple le bouc émissaire du monde entier, et qui ont étouffé, en Occident, la raison et la réflexion libre.

Les Serbes et nous

Composé de six nouvelles, ce recueil de Dimitri T. Analis nous parle de l'instant où l'homme, en poursuivant sa quête d'absolu, s'arrache aux contingences. Les " histoires " sont vraies ; c'est la réalité qui, souvent, semble une illusion d'optique - parce qu'elle tente d'être, au-delà des simulacres, une réalité " réelle ". Dans L'Habit vide, les tracasseries administratives et policières ne peuvent avoir raison du tailleur aux doigts de fée, car vient le moment où son regard se pose sur l'autre rive... Que peut saisir le journaliste qui invite à une émission de télévision, La Soirée du peintre, l'artiste pour qui la ville et ses monuments deviennent la toile qu'il est en train de peindre ?.... Ce sont les odeurs de la Grèce qui reviennent au soir de la vie du Greco, après tant d'années passées à Tolède... Et le livre s'achève par Celia ou The Golden Sixties, antithèse des cinq autres nouvelles, qui met en évidence à quel point nous sommes faits d'invisible et d'impalpable - et que nous l'avons oublié.

Jours de juillet

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