Double Dan is a 1924 crime novel by the British writer Edgar Wallace. It released in the United States under the alternative title of Diana of Kara Kara.

In 1927 it was adapted into a stage play of the same name by Wallace.

Diana of Kara-Kara

Le capitaine Michel Brixan du Foreign Office se voit confier par son supérieur Staines, la recherche de celui que l'on appelle « Le Coupe-Têtes ». il se retrouve dans le monde du cinéma, le metteur en scène tourne un scénario sur les lieux de deux châteaux voisins l'un de l'autre où demeurent deux êtres tout à fait énigmatiques, Sir Gregory Penne et Sampson Longvale. Adèle, actrice est aussi la nièce de l'une des victimes de l'assassin. Après bien des rebondissements, Brixan arrivera à ses fins.

Le Vengeur

"I am afraid I don't understand you, Mr. Lyne."

Odette Rider looked gravely at the young man who lolled against his open desk. Her clear skin was tinted with the faintest pink, and there was in the sober depths of those grey eyes of hers a light which would have warned a man less satisfied with his own genius and power of persuasion than Thornton Lyne.

He was not looking at her face. His eyes were running approvingly over her perfect figure, noting the straightness of the back, the fine poise of the head, the shapeliness of the slender hands.

He pushed back his long black hair from his forehead and smiled. It pleased him to believe that his face was cast in an intellectual mould, and that the somewhat unhealthy pastiness of his skin might be described as the "pallor of thought."

The Daffodil Mystery

Das Werk "Sanders" ist ein 1951 veröffentlichter Afrikaroman von Edgar Wallace. Der Originaltitel lautet "Sanders".

Richard Horatio Edgar Wallace (geboren 1. April 1875 in Greenwich, London; gestorben 10. Februar 1932 in Hollywood, Kalifornien) war ein englischer Schriftsteller, Drehbuchautor, Regisseur, Journalist und Dramatiker. Wallace gehört zu den erfolgreichsten englischsprachigen Kriminalschriftstellern.

Sanders

Edgar Wallace. Tome 1

Edgar Wallace (1875-1932) 
 
"Il n'existait pas à Siangtan de maison identique à celle de Joe Bray. À cet égard, Joe était même unique en Chine, où tant d'originaux en dérive ont abordé depuis l'époque de Marco Polo.
La maison était de pierre et elle avait été conçue par un certain Pinto Huello, ivrogne, Portugais et architecte, qui avait quitté le Portugal dans des circonstances dégradantes et échoué, via Canton et Wuchan, dans cette ville immense et débraillée. 
L'opinion admise était que Pinto avait dessiné ses plans après une nuit de délire dans un paradis de fumée et les avait corrigés dans une crise de remords. La transformation s'était opérée quand l'édifice était à moitié construit, si bien que la partie Nord, pareille à la Tour de porcelaine, représentait Pinto dans ses transports, et tout ce qui rappelait une pente au bord de l'eau marquait assez bien la période de réaction de l'excentrique Portugais. 
Joe était grand et pourvu de multiples mentons, un colosse épris de la Chine, du gin et des longs rêves qu'il faisait éveillé. Il rêvait de choses merveilleuses et la plupart du temps irréalisables. C'était sa joie et ses délices de sentir que, de ce coin perdu du monde, il pouvait agir sur des leviers et aiguiller la destinée humaine vers de profonds changements. 
Tel un Haroun-al-Raschid en état de somnambulisme, il se promenait, déguisé, parmi les pauvres, prêt à répandre de l'or sur ceux qui le méritaient. Seulement il ne découvrait jamais l'espèce de pauvres qu'il cherchait." 
 
Que ne ferait-on pas, quand on est escroc sans morale et qu'on a besoin d'argent, pour entrer en possession d'un héritage promis par un vague cousin milliardaire et original vivant en Chine ?

Le serpent jaune

If a man is not eager for adventure at the age of twenty-two, the enticement of romantic possibilities will never come to him.

The chairman of the Ukraine Oil Company looked with a little amusement at the young man who sat on the edge of a chair by the chairman's desk, and noted how the eye of the youth had kindled at every fresh discouragement which the chairman had put forward. Enthusiasm, reflected the elder man, was one of the qualities which were most desirable in the man who was to accept the position which Malcolm Hay was at that moment considering.

"Russia is a strange country, " said Mr. Tremayne. "It is one of the mystery places of the world. You hear fellows coming back from China who tell you amazing stories of the idiosyncrasies of the Chink. But I can tell you, from my own personal observations, that the Chinaman is an open book in words of one syllable compared with the average Russian peasant. By the way, you speak Russian, I understand?"

Hay nodded.

The Book Of All Power

The Man Who Knew is a 1918 British thriller novel by Edgar Wallace. A detective investigates the death of a South Africa diamond magnate in London.

The Man who knew

Edgar Wallace (1875-1932) 

"Le docteur Arnold Eversham, assis devant son bureau, parcourait un livre, la tête appuyée sur sa main blanche et fine. 

La pièce était obscure. Elle était meublée d'une petite bibliothèque et d'un bureau, d'un fauteuil confortable devant une cheminée garnie de fleurs, et de deux chaises. Les murs étaient ornés de tentures de Perse, d'estampes italiennes aux cadres foncés, et de reproductions de Corot, de Van Meer, et de la Mona Lisa de Léonard de Vinci. 

Quelques coups discrets frappés à la porte, firent lever la tête au docteur. C'était un homme distingué dont les tempes grisonnantes accusaient la cinquantaine mais dont le visage aux yeux profonds avait gardé l'expression et l'éclat de la jeunesse. 

Une femme de chambre entra et lui tendit un plateau où il prit une carte. 

« Miss Gwendda Guildford... de Sacramento », lut le docteur. Après avoir réfléchi un instant, il fit introduire la visiteuse qui s'arrêta un moment sur le pas de la porte. Elle avait la grâce et la sveltesse d'une enfant et son visage, dans la pénombre, semblait annoncer une extrême jeunesse. Mais lorsque le docteur eut allumé le grand lustre, il s'aperçut que la jeune fille devait être plus âgée qu'il ne l'avait pensé tout d'abord ; le contour des lèvres était ferme, les yeux qui fixaient ceux du docteur exprimaient de la décision et de l'énergie. 

- Veuillez vous asseoir, miss Gwendda... vous venez sans doute d'arriver à Londres ?" 

Qu'est devenu Oscar Trevors ? Plus personne n'a de ses nouvelles : est-il mort ? ou fou quelque part ? Il a disparu. Mais sa nièce Gwendda reçoit une inquiétante lettre codée de sa part. Elle traverse l'Océan pour aller à Londres d'où a été postée la lettre...

Diana of Kara-Kara

Résumé

Plus de livres de Edgar Wallace

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques