"Tu sais, j'en ai assez de ces abysses froids, gris et lugubres... Je rêve de plus en plus de lagons, d'un ciel bleu sans l'ombre d'un nuage et d'une eau chaude..." [Quatrième de couverture]

Aquaviva (Agito Cosmos, #1)

Le jeune Sebastian Melmoth est un détective de l’étrange ! Son agence occulte, « Pépin Cadavre », a pour mission de chasser les esprits du monde parallèle d’Asper qui sèment la panique dans le monde réel. Et grâce à sa large connaissance des remèdes, de la science et de la magie, il n’y en a pas beaucoup qui lui résistent ! Sauf que Sebastian déchante un peu lorsqu’il apprend qu’il va devoir renvoyer le redoutable Caramantran : un esprit divin qui, à l’approche de flammes, devient force primitive, chaos et renaissance brute par la désolation... tout un programme !

Caramantran (Pépin cadavre, #1)

Bouillon

La notion d'antimonde, développée par Roger Brunet depuis les années 1980, se présente, selon ses termes, "à la fois comme le négatif du monde et comme son double indispensable". Elle permet d'attirer la réflexion sur toute une série de phénomènes sociaux, plus ou moins troubles, parallèles ou ignorés, qui sont cependant essentiels au fonctionnement de nos sociétés. Le monde de l'illégal, de la répression et de la marge doit également être cartographié, ses zones obscures et les zones de contact avec le monde également. Les lieux de l'antimonde posent également au chercheur des problèmes particuliers, en termes méthodologiques (comment accéder aux données, quelles sont la validité et la scientificité du propos ?) et éthiques (possibles retombées de la recherche, respect et anonymat des personnes interrogées, engagement politique du chercheur). A partir de populations (demandeurs d'asile, réfugiés) et de lieux emblématiques (la prison, les Caraïbes), ce numéro montre l'intérêt heuristique de l'idée d'antimonde : elle permet d'aborder des lieux souvent à l'écart du discours scientifique ; d'explorer les liens multiples qui s'établissent entre le monde et l'antimonde ainsi que la façon dont ils fonctionnent en symbiose ; de dégager des sentiers d'accès pour étudier ces phénomènes. Les auteurs montrent que l'antimonde fonctionne avec une visibilité ambiguë : ses contours et ses figures se montrent (le mur de la prison, les prostituées de l'Est, les camps de réfugiés), son fonctionnement reste opaque. Et ce sont les limites, les lignes de contact entre monde et antimonde qui nous en disent le plus sur notre société. Au-delà de phénomènes sociaux emblématiques, ce numéro explore aussi l'application de la notion d'antimonde à la relation que les hommes entretiennent avec la nature, dans la longue durée, et à quoi peut ressembler un monde qui exclut toute manifestation de l'antimonde.

Géographie et Cultures N° 57

Le monde du silence et celui des étoiles se sont donné rendez-vous dans TCHÔ ! L'AVENTURE...D'un côté, les membres d'équipage du SS Robin Suzumiya. Embarqués par le capitaine Sporing dans une mission d'exploration des fonds marins et de collecte des vestiges de la civilisation humaine, cela fait déjà quelques temps qu'ils sont en mission sans en connaître le véritable but. 
Loin à la surface, dans son village sur pilotis, le jeune Alfonsino s'apprête à passer l'épreuve initiatique du gratte-coque. Au fond de la mer, il est attiré par une pierre luminescente qui scellera son destin... 
Il y a aussi la jolie Agnès, tenue en vie dans une sphère de liquide par un savant peu scrupuleux, et que tente de sauver Duncan Dimanche.Ils ne le savent pas encore, mais les destins de ces héros vont bientôt se croiser... Avec Agito Cosmos, Olivier Milhaud et Fabien Mense nous font rentrer de plain-pied dans une surprenante saga, entre imaginaire débridé, personnages inédits et intrigues sophistiquées. 
Vite, la suite !

Agito Cosmos Tome 1 : acquaviva

1987-2007 : l'Europe fête les vingt ans du programme Erasmus, avec plus d'un million d'étudiants et des dizaines de milliers d'enseignants partis à la découverte d'un nouveau pays ! Voici enfin une réflexion méthodologique et un guide pratique à leur service. A travers la présentation des systèmes d'enseignement supérieur et des pratiques pédagogiques et disciplinaires dans les principaux pays européens, le guide entend répondre aux besoins : des étudiants en histoire, géographie et sociologie à la recherche d'informations pratiques sur l'étude de leur discipline à l'étranger, des enseignants et chercheurs qui veulent confronter les traditions disciplinaires des sociologies, géographies et histoires en Allemagne, Espagne, France, Grande-Bretagne, Italie et République tchèque, des citoyens européens intéressés par l'européanisation des universités. Clair, lisible et informé, cet ouvrage constitue le guide indispensable pour réussir son séjour dans une université européenne.

Guide de l'étudiant européen en sciences sociales - Erasmus sociologie, géographie, histoire

La prison est une peine géographique : elle punit par l'espace. Elle tient des populations détenues à distance de leurs proches et les confine dans des lieux clos. En même temps, le dispositif carcéral cherche à réinsérer le détenu dans la cité, à maintenir ses liens familiaux. En dépit de proximités avérées entre la plupart des prisons et les bassins de population, les détenus et leurs proches vivent l'incarcération comme une mise à l'écart. Les riverains souhaitent souvent éloigner les nuisances des prisons, voire cacher le stigmate carcéral. L'architecture même des prisons accentue cette obsession séparatrice : démarquer le dedans du dehors et séparer les détenus entre eux. La prison des détenus et celle des architectes, celle des proches et celle de l'Administration pénitentiaire, celle des riverains et celle des élus locaux, composent un dispositif de séparation : la prison coupe les liens sociaux et empêche les détenus de partager un monde commun entre les murs. L'enquête menée par Olivier Milhaud, dans les murs et hors les murs, souligne l'inefficacité d'un tel système, et invite à repenser l'espace de la prison.d

Séparer et punir - Une géographie des prisons françaises

La prison est une peine géographique : elle punit par l'espace.
 Elle tient des populations détenues à distance de leurs proches et les confine dans des lieux clos. En même temps, le dispositif carcéral cherche à réinsérer le détenu dans la cité, à maintenir ses liens familiaux.
 En dépit de proximités avérées entre la plupart des prisons et les bassins de population, les détenus et leurs proches vivent l'incarcération comme une mise à l'écart. Les riverains souhaitent souvent éloigner les nuisances des prisons, voire cacher le stigmate carcéral. L'architecture même des prisons accentue cette obsession séparatrice : démarquer le dedans du dehors et séparer les détenus entre eux.
 La prison des détenus et celle des architectes, celle des proches et celle de l'Administration pénitentiaire, celle des riverains et celle des élus locaux, composent un dispositif de séparation : la prison coupe les liens sociaux et empêche les détenus de partager un monde commun entre les murs.
 L'enquête menée par Olivier Milhaud, dans les murs et hors les murs, souligne l'inefficacité d'un tel système, et invite à repenser l'espace de la prison.

Séparer et punir. Une géographie des prisons Françaises

La prison est une peine géographique : elle punit par l'espace.

 Elle tient des populations détenues à distance de leurs proches et les confine dans des lieux clos. En même temps, le dispositif carcéral cherche à réinsérer le détenu dans la cité, à maintenir ses liens familiaux.

 En dépit de proximités avérées entre la plupart des prisons et les bassins de population, les détenus et leurs proches vivent l'incarcération comme une mise à l'écart. Les riverains souhaitent souvent éloigner les nuisances des prisons, voire cacher le stigmate carcéral. L'architecture même des prisons accentue cette obsession séparatrice : démarquer le dedans du dehors et séparer les détenus entre eux.

 La prison des détenus et celle des architectes, celle des proches et celle de l'Administration pénitentiaire, celle des riverains et celle des élus locaux, composent un dispositif de séparation : la prison coupe les liens sociaux et empêche les détenus de partager un monde commun entre les murs.

 L'enquête menée par Olivier Milhaud, dans les murs et hors les murs, souligne l'inefficacité d'un tel système, et invite à repenser l'espace de la prison.

Aquaviva (Agito Cosmos, #1)

Résumé

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