Rouen, Nouveaux Talents N° 1 : Le Ticket Doux

Nouvelle histoire du Cango : mélanges africains offerts à Frans Bontinck

Le goût de Diderot version Lausane

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Crimes allemands : le martyre de Buchères (Aube), 24 août 1944

Ce livre est publié par l'Association Sainte-Marie-Madeleine en Provence, qui est attachée aux traditions apostoliques provençales, tout particulièrement à celle suivant laquelle la Provence a été évangélisée au premier siècle par Marie, la pécheresse de Magdala, la soeur de Marthe et de Lazare, les amis du Seigneur. Le seul centre d'intérêt de l'association à savoir la personne de Marie-Madeleine, la sainte pénitente, comme Marie, Mère de Jésus, est la sainte Immaculée. Le lecteur partira de l'Evangile ; il pourra accorder quelque attention aux controverses dont on ne parle incidemment que par souci de défendre la vérité attaquée ; il reviendra pour finir aux témoignages vécus. Partout, cependant, nous l'espérons, il rencontrera sainte Marie-Madeleine.

Ste Marie-Madeleine en Provence

« J'ai toujours rêvé de jouer avec un masque.La gloire ne me fait pas peur, elle me terrifie. »Pourquoi le masque ?
Parce que le football professionnel est impitoyable et cruel. Rien ne doit filtrer des secrets de vestiaires, des excès en tous genres, des scandales, des dessous-de-table, du pouvoir des agents, des escort-girls et des soirées. Bref, rien ne doit filtrer de ce qu'est vraiment le football, ni de ce qu'est une vie de footballeur : « un personnage ordinaire qui fait quelque chose d'extraordinaire ».
EN BONUS, UN CHAPITRE INÉDIT : 
LE FOOTBALLEUR MASQUÉ RACONTE COMMENT IL A VÉCU LA SORTIE DE SON LIVRE...
Vous pensiez que le foot pro était scruté de toutes parts et en pleine lumière ? Mais l'essentiel reste dans l'ombre, inaccessible. Et c'est cette part d'ombre que nous révèle le Footballeur masqué. 
Il prend des risques, et il le sait. 
Car très vite, sa tête sera mise à prix.

Je suis le footballeur masqué -Nouveau chapitre inédit-

Simone Weil, Hannah Arendt : deux " femmes de pensée ", deux philosophes du XXe siècle, toutes deux traversées par l'exigence d'une intelligence du politique et de l'humain qui soit à hauteur de leur temps et des urgences de l'action. Simone Weil, Hannah Arendt : avant guerre, après guerre. L'œuvre de Simone Weil se clôt, avec sa vie, en 1943 ; mise à part sa thèse sur Augustin, l'œuvre de Hannah Arendt prend naissance avec la guerre. Entre les deux, le climax de l'extermination des Juifs d'Europe. Différence d'époque, donc, qui se marque dans leurs analyses du totalitarisme, dans leur appréciation de l'antisémitisme nazi et leur réflexion sur la condition juive et leur condition de juives ; et dans leurs stratégies de femmes intellectuelles au sein d'un univers où le rôle d'intellectuel est traditionnellement masculin et où règne, par ailleurs, " la honteuse division entre le travail manuel et le travail intellectuel " (S. Weil). Deux œuvres, deux démarches, deux expériences entre lesquelles se déploient cependant plusieurs dénominateurs communs comme autant de signes d'époque. Avec Simone Weil et Hannah Arendt s'ébauche peut-être ainsi une compréhension catégoriale de l'universalité de la condition humaine. Actes du colloque " Les catégories de l'universel, Simone Weil et Hannah Arendt ", organisé à Paris, à l'Ecole Normale Supérieure de la rue d'Ulm, les 29 et 30 Mars 1996, par Geneviève Fraisse, Robert Chenavier, Michel Narcy et Etienne Tassin, avec le concours du Collège International de philosophie et de l'URA 1394 du CNRS.

Les catégories de l'universel. - Simone Weil et Hannah Arendt

Prier avec mère Teresa

Le temps des messianismes : Deux mille ans après le Christ, le triomphe de la " fin de l'histoire " et de la globalisation démocratique ne prend-il pas des allures de millénarisme ? Les attentes messianiques qui ont couru tout au long de l'histoire ne sont pas seulement la manifestation d'une espérance eschatologique, plus ou moins teintée de délires utopiques. De nos jours, elles trouvent une expression totalement sécularisée à travers les promesses des idéologies. Un messianisme d'autant plus pervers qu'il revêt tous les aspects de l'imposture religieuse.
Le siècle de Thérèse : Neuf années de cloître sans relief feront de la petite carmélite de Lisieux une des plus grandes figures posthumes du XXe siècle. Thérèse de l'Enfant-Jésus sera proclamée patronne des missions et docteur de l'Eglise. Un paradoxe auquel s'ajoute un mystère : le visage de la petite carmélite est souvent associé dans le monde à l'image de la France. Un message pour le XXIe siècle ?

Rouen, Nouveaux Talents N° 1 : Le Ticket Doux

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