Sous la plume de Walter Scott, nous parcourons l'Angleterre des années 1575, sous le règne d'Élisabeth et nous côtoyons nombres de ses courtisans, par le biais de l'histoire romanesque d'une jeune fille qui quitte la maison paternelle pour faire un mariage secret avec le brillant comte de Leicester. Après un imbroglio d'intrigues menées par un homme des plus malfaisants, l'issue de ce roman sera tragique pour la pauvre fille.

Kenilworth

Walter Scott (Sir Walter Scott, 1er baronnet) est un poète et écrivain écossais né le 15 août 1771 à Édimbourg et mort le 21 septembre 1832 à Abbotsford. Scott a été un précurseur pour deux tendances majeures qui se sont affirmées avec le temps : le roman historique, dont le succès lui a valu d'innombrables imitateurs au XIXe siècle, et la culture des Hautes Terres de l'Écosse, après le cycle d'Ossian de James Macpherson, dans ses romans écossais comme dans les usages vestimentaires, puisqu'il a rétabli l'usage du kilt et des tartans. En son honneur, la gare centrale d'Édimbourg a été nommée Waverley en 1854 et son image apparaît sur les billets émis par la banque d'Écosse. Extrait : La joie que M. Inglewood éprouva de voir se terminer si facilement une affaire qui lui eût donné beaucoup de trouble et d'embarras fut un peu tempérée par la réflexion que son clerc pourrait bien n'être pas trop content à son retour. Je vais avoir Jobson sur les épaules pour ces papiers. Peut-être n'aurais-je pas dû les brûler, après tout. Mais, bah ! j'en serai quitte pour lui payer ce qu'un procès eût pu lui valoir, et tout sera fini. À présent, miss Vernon, quoique je sois dans mon jour d'indulgence et que je n'aie voulu faire arrêter personne, j'ai bien envie de décerner une prise de corps contre vous et de vous confier à la garde de la mère Blakes, ma vieille femme de charge ; nous enverrions chercher ma voisine mistress Musgrave, les miss Dawkins et vos voisins ; et, pendant que le violon s'accorderait, Frank Osbaldistone et moi nous viderions ensemble quelques bouteilles pour nous mettre en train.

Rob-Roy

Ivanhoé

Walter Scott

Texte intégral. Cet ouvrage a fait l'objet d'un véritable travail en vue d'une édition numérique. Un travail typographique le rend facile et agréable à lire.

Ivanhoé est le premier roman de l'écrivain écossais Walter Scott consacré au Moyen Âge. Au xiie siècle, Cédric de Rotherwood, dit le Saxon, un thane (ou vavasseur, pour les Normands) nostalgique de l'Angleterre saxonne vaincue en 1066, rêve de rétablir sur le trône de l'Angleterre un monarque autochtone en la personne d'Athelstane de Coningsburgh, un voisin, descendant des derniers rois saxons. Dans ce but, il envisage de l'unir avec sa pupille, Lady Rowena de Hargottstandstede, princesse saxonne descendant du roi Alfred. Toutefois, cette dernière est amoureuse et aimée du fils de Cédric, Wilfrid. Renié et déshérité par son père, Wilfrid s'est mis au service de Richard Cour de Lion, qui lui a accordé en fief le manoir d'Ivanhoé, et l'a accompagné en Terre Sainte, pour participer à la croisade. Source Wikipédia.

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Ivanhoé

Extrait : "Chaque quartier d'Edimbourg à quelque objet particulier dont il est fier ; de sorte que cette ville réunie dans cette enceinte, si vous voulez croire les habitants sur parole, autant de variété que de beauté, autant d'intérêt historique que de sites pittoresques."

La Jolie Fille de Perth

L'action se déroule en l'année 1651 durant la guerre civile anglaise. Charles II est en fuite après la bataille de Worcester. Sir Henry Lee est Garde de la Loge Royale de Woodstock et un ardent défenseur de la monarchie. Il s'oppose à l'union de sa fille Alice avec Markam Everard qui a pris parti pour le parlement de Cromwell. Everard est en mesure d'empêcher la mise sous séquestre de Woodstock grâce à son influence auprès de Cromwell qui espère en outre que le fugitif Charles II choisisse de s'y cacher. Charles en effet s'y réfugie déguisé en page du fils de Sir Henry...

Woodstock ou Le Cavalier

Banished from England for seeking to marry against his father's wishes, Ivanhoe joins Richard the Lion Heart on a crusade in the Holy Land. On his return, his desire is to be reunited with the lady Rowena, but he soon finds himself playing a dangerous game as he is drawn into a struggle between the noble King Richard and scheming brother John.

Ivanhoe

Excerpt from L'Abbé, Suite du Monastère, Vol. 3: The Abbot, Being The Sequel Of The MonasteryOn se tromperait beaucoup si l'on cherchait à se faire une idée de ce spectacle d'après nos théâtres modernes. Il y avait moins de différence entre les grossiers essais de Thespis et les brillantes représentations du théâtre d'athènes, lorsqu'on y jouait des tragédies d'euripide avec toute la pompe des costumes et des décorations. Ici l'on ne voyait ni décorations, ni machines, ni théâ tre ni parterre ni loges ni galerie -ui foyer; mais ce qui pouvait, dans la pauvre Écosse consoler de l'ab sence de tous ces accessoires c'est qu'on ne demandait pas d'argent à la porte comme la troupe du magnanime Bottom I). Les acteurs avaient un tapis de verdure pour théâtre et leur foyer était derrière un buisson d'aubé pine. Les spectateurs étaient rangés sur un amphithéâtre de gazon élevé sur les trois quarts du cercle, le der nier quart étant réservé pour l'entrée et la sortie des ac teurs. Le chambellan était au centre de l'auditoire, comme le personnage le plus éminent du canton; le plaisir et l'admiration qui remplissaient tous les coeurs n'y laissaient aucune place à la critique.

L'Abbé, Suite du Monastère, Volume 3 of 3

The ideal being who is here presented as residing in solitude, and haunted by a consciousness of his own deformity, and a suspicion of his being generally subjected to the scorn of his fellow-men, is not altogether imaginary. An individual existed many years since, under the author's observation, which suggested such a character. This poor unfortunate man's name was David Ritchie, a native of Tweeddale. He was the son of a labourer in the slate-quarries of Stobo, and must have been born in the misshapen form which he exhibited, though he sometimes imputed it to ill-usage when in infancy. He was bred a brush-maker at Edinburgh, and had wandered to several places, working at his trade, from all which he was chased by the disagreeable attention which his hideous singularity of form and face attracted wherever he came. The author understood him to say he had even been in Dublin.

Tired at length of being the object of shouts, laughter, and derision, David Ritchie resolved, like a deer hunted from the herd, to retreat to some wilderness, where he might have the least possible communication with the world which scoffed at him. He settled himself, with this view, upon a patch of wild moorland at the bottom of a bank on the farm of Woodhouse, in the sequestered vale of the small river Manor, in Peeblesshire. The few people who had occasion to pass that way were much surprised, and some superstitious persons a little alarmed, to see so strange a figure as Bow'd Davie (i.e. Crooked David) employed in a task, for which he seemed so totally unfit, as that of erecting a house. The cottage which he built was extremely small, but the walls, as well as those of a little garden that surrounded it, were constructed with an ambitious degree of solidity, being composed of layers of large stones and turf; and some of the corner stones were so weighty, as to puzzle the spectators how such a person as the architect could possibly have raised them.

The Black Dwarf

The Talisman is Sir Walter Scott's tale of the Crusades -- a tale of chivalry, of violence, of virtue, romance, and deceit. In Scott's own words: ...the warlike character of Richard I, wild and generous, a pattern of chivalry, with all its extravagant virtues, and its no less absurd errors, was opposed to that of Saladin, in which the Christian and English monarch showed all the cruelty and violence of an Eastern sultan, and Saladin, on the other hand, displayed the deep policy and prudence of a European sovereign, whilst each contended which should excel the other in the knightly qualities of bravery and generosity. This singular contrast afforded, as the author conceived, materials for a work of fiction possessing peculiar interest.

Kenilworth

Résumé

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