Canal du midi et le canal latéral à la Garonne ; de Bordeaux à Sète au fil de l'eau

Du Mont-Saint-Michel à l'embouchure de la Loire, la Bretagne développe 2 000 kilomètres de côtes. Pour qui veut les suivre au plus près, à pied, l'idéal est de partir sur le GR 34, le sentier des douaniers. Magnifique, mais très long. Pour qui préfère rouler - sans être un as du guidon -, ou tout bonnement dispose de moins de temps, Jean-Yves Grégoire a concocté un Tour de la Bretagne à vélo (à VTC) qui, ignorant pourtant les pistes boueuses et les chemins caillouteux, de même que les routes les plus encombrées, se faufile au plus juste entre terre et mer, privilégiant les routes vicinales et les départementales à faible trafic, mais n'ignorant ni les pointes rocheuses, ni les plages sauvages, les villas cossues et les allées couvertes. Les mains sur le guidon, les yeux sur la côte d'Emeraude, de Penthièvre, du Goëlo, du Trégor, de Granit Rose... Ce volume un (d'une série qui en comptera trois) comporte 10 étapes ; chaque descriptif - sous forme de road book - est augmenté de plusieurs alinéas patrimoniaux.

Le tour de la Bretagne à vélo - Volume 1 : Par la côte du Mont-Saint-Michel à Roscoff

Qui ne rêve pas à l'évocation de ces noms : Lucques, San Giminiano, Sienne, Rome ? Qui ne s'imagine traversant à pied les campagnes environnantes ? Paysages superbes, trésors patrimoniaux...

Arrivant de Briançon, dépassant Turin et traversant la plaine du Pô, musardant, donc, en Toscane avant de s'achever au coeur de la Ville Eternelle, la Via Francigena se développe sur 38 étapes et environ 900 km.

Aux premiers temps du christianisme, les pèlerins se rendaient sur les tombes de saint-Pierre et de saint-Paul en suivant la Via Romea, la voie de Rome. L'appellation Via Francigena, la voie des Francs, désigne un itinéraire très emprunté par des voyageurs ayant transité par la France et traversant l'Italie à des fins politiques ou commerciales, ou tout simplement se rendant à Rome en pèlerinage. Son axe principal fut "défini" en 990 par Sigéric, archevêque de Canterbury, reliant l'Angleterre à Rome.

L'itinéraire retenu dans ce guide est varié et permet de découvrir des sites d'une richesse inestimable. Bien balisé, il suit tantôt des petites routes peu passantes ou, le plus souvent, des pistes. La traversée de la Toscane du nord au sud, par des chemins blancs, offre de purs moments de bonheur. L'approche de Rome est aussi très émouvante, car à plusieurs reprises, dans le Latium, le parcours suit les gros blocs de basalte de l'antique Via Cassia. Après l'architecture romano-lombarde de l'Italie du Nord, les dômes de marbre de la Toscane et les cités prestigieuses, il y a bien sûr Rome, à la fois capitale de la chrétienté, ancien épicentre d'un vaste empire disparu, cité exubérente, baroque et sensuelle...

Le chemin de Rome ; via Francigena

De la Bourgogne aux Pyrénées basques, via le Berry, le Limousin, le Périgord, la Gascogne, se déroule l'un des quatre grands chemins de pèlerinage traversant le territoire français et s'en allant vers Saint-Jacques de Compostelle. Cette édition, totalement revue et mise à jour, comporte deux originalités : un départ à Avallon, pour un prologue de 20 km jusqu'à la colline de Vézelay ; deux itinéraires décrits : l'un s'adressant aux marcheurs, pèlerins dans la tradition du mot et du faire ; l'autre aux cyclistes. Ils se superposent parfois, divergent souvent, se retrouvant dans les villes étapes. L'itinéraire suit parfois des parcours balisés, parfois les ignore. Au final, 39 étapes pour plus de 900 km de parcours où les marcheurs de la foi côtoient dorénavant des randonneurs inspirés par la nature et la culture, des chercheurs en quête d'eux-mêmes sur des chemins où l'effort physique peut devenir acte spirituel. Espace et recueillement vous donnent rendez-vous sur cette voie vers Saint-Jacques.

Le Chemin de Vézelay vers Saint-Jacques-de-Compostelle - Guide pratique du pèlerin

Avoir les pieds sur terre - ou plus exactement sur le pavé et le bitume - et les yeux accrochés au ciel, aux arches des ponts, aux détails d'un porche ou d'une façade, aux gargouilles des édifices religieux, aux volutes d'un balcon, aux frondaisons des platanes. Se sentir le pas vagabond et l'humeur curieuse, se risquer à l'échappée belle, être attentif aux bonnes fortunes d'une vitrine ou d'un comptoir. Tel est le bagage simple du piéton de Paris, d'une rive à l'autre, qui, par ce guide, trouvera confirmation qu'une ville peut en cacher bien d'autres. En quinze itinéraires au goût de flânerie (mais pouvant requérir jusqu'à une petite journée de marche), mariant histoire et dérive légère, l'auteur trace dans la cité d'aujourd'hui des parcours où authenticité et insolite se combinent en une urbanité nouvelle, à la fois rêveuse et exigeante. Des mondes inattendus se dessinent là où le citadin se déplaçait par habitude. Errance informée, découverte ludique (on y trouve même le dernier vrai chemin de la ville), regard original sur les strates du Paris d'hier et d'aujourd'hui. Philippe Starck l'écrit dans sa préface : le piéton va de nouveau exister, telle est la loi du marcher...

Le Piéton de Paris

Après des siècles de léthargie et presque d'oubli, les vieux 
Chemins de Compostelle se sont réveillés. Depuis plus de 
quinze années, ils répondent à un engouement qui ne se tarit 
pas et va même s'amplifiant. Le phénomène fascine ! II 
dérange aussi parce qu'il suscite des interrogations, des 
remises en cause de nos modes de vie contemporains. Mais 
pourquoi faudrait-il nécessairement aller à pied à 
Compostelle ? Aujourd'hui, les pèlerins vont à Rome ou à 
Jérusalem en utilisant tous les moyens de locomotion. Alors, 
pourquoi pas Saint-Jacques ? Pour cette raison, Les Routes de 
Compostelle en France (volume 2) sont destinées à des 
pèlerins ou de simples visiteurs, mais motorisés. Cet ouvrage 
inventorie en détail le patrimoine au fil des étapes ; il permet 
aussi de profiter des merveilleux paysage des grandes voies 
(Domitia, Arles et Vézelay) en suivant d'aussi près que 
possible leurs tracés "historiques", le long des routes 
secondaires ou vicinales toutes proches. L'aspect pédestre n'est 
pas pour autant oublié. Sur chaque itinéraire décrit, quelques 
étapes emblématiques du parcours ont été choisies afin que 
chacun ait un aperçu concret du cheminement à pied vers 
Saint-Jacques. Les étapes retenues sont assez courtes et 
praticables par des marcheurs peu entraînés. Du milieu des 
années 1980 à aujourd'hui, les pèlerins allant à Compostelle 
sont passés de quelques centaines à 180 000 par an ! La 
plupart d'entre eux s'y rendent à pied ; on y compte des 
croyants, des athées, agnostiques, hédonistes, sportifs, accros 
du patrimoine, branchés du new age ou du bouddhisme, etc. 
Certains accomplissent le périple d'une traite, d'autres le 
morcèlent en raison de contingences personnelles… sachant 
qu'à chaque fois partir pour un si long voyage est susceptible 
de provoquer des transformations profondes à l'intérieur de 
soi. Le voyage vers Compostelle n'est jamais anodin et laisse 
des traces ! Fureteurs de grands espaces et curieux d'histoire, 
de sites, d'oeuvres bâties ou symboliques trouveront dans cet 
ouvrage matière à suivre l'intégralité des voies historiques ici 
évoquées.

Les routes de Compostelle en France - Volume 2, A la rencontre du patrimoine sur la Via Domitia, le Chemin d'Arles et le Chemin du Vézelay

Chemin primitif, chemin du nord, chemin côtier L'itinéraire décrit dans ce guide permet de rallier Bayonne, à l'embouchure de l'Adour, au Cap Finistère, extrême pointe occidentale de la Galice. Passant par Saint-Sébastien, Bilbao, Santander Oviedo, et bien entendu à Saint-Jacques-de-Compostelle, il enchaîne quarante étapes enter terre, ciel et mer, dans un décor somptueux et sauvage. Petit et grand patrimoine jacquaire, paysages d'exception, villes d'art et d'histoire :parcours s'adresse tant aux marcheurs de la foi qu'aux chercheurs d'un ailleurs qui même intérieur - se révélera au fil de ce chemin de liberté.
Aujourd'hui bien balisé entretenu, il constitue une remarquable ale ! alternative au chemin "classique" Ce guide en décrit, avec précision le déroulé et propose un riche répertoire d'hébergements, vérifié et mis à jour, Les notices patrimoniales rédigées par François Pinguet en font un outil de connaissance autant qu'un outil de pérégrination.

Le chemin côtier ; camino del norte vers Saint Jacques de Compostelle ; de Bayonne au Cap Finisterre

1978, la Route des Zindes... Les babas cool suivent pour la dernière fois, une voie qu'ils ont rendue célèbre en allant rechercher les paradis artificiels du côté de Katmandou. Jean-Yves Grégoire emprunte ce même itinéraire pour d'autres raisons : partir vers l'Orient, sur les traces d'Alexandre Le Grand, sur la route des épices, sur la Route de la Soie. Lente progression en bus, en camion et en train. La magie opère avec les steppes de l'Anatolie, puis les villes caravanières de l'Iran, mais son cœur s'enflamme à l'arrivée en Afghanistan. Ce pays engendre une bascule complète des valeurs avec son monde à part où la grandeur des hommes côtoie sans cesse la beauté des paysages. Fin 1978, la révolution islamique coupe l'Iran du reste du monde. Fin 1979, l'Afghanistan entre dans l'Histoire contemporaine avec l'invasion des troupes soviétiques. L'Histoire brise des vies et coupe une nouvelle fois les Chemins d'Orient. 2000, la Route de la Soie... Avec les taliban au pouvoir à Kaboul, l'Afghanistan fermé depuis vingt ans n'est pas prêt de s'ouvrir au monde. De son côté, le Pakistan a mauvaise presse, car il est pour une large part responsable de la situation chez son voisin. Mais les paysans et lés montagnards du Karakorum sont-ils fautifs des agissements de leurs dirigeants ? Jean-Yves Grégoire décide de partir pour Islamabad retrouver ses souvenirs d'Asie Centrale. Il remonte les hautes vallées du Nord Ouest par Gilgit et Hunza, puis longe le Pamir pour déboucher sur les hauts plateaux du Xinjiang en Chine. Variante importante de la Route de la Soie, l'itinéraire ancestral aboutit à Kashgar, la plus célèbre des étapes caravanières à la croisée des Chemins d'Orient. Automne 2001, la région focalise tous les médias après les événements de septembre aux USA. Les Chemins d'Orient appartiennent-ils définitivement au passé ou seront-ils à nouveau des lieux d'échanges entre les hommes ?

Chemins d'Orient

Aller à pied - mieux : à vélo - de la porte de l'Atlantique (Bordeaux) à la Méditerranée (Sète), via Toulouse, en suivant le fil des canaux (le canal latéral
à la Garonne et le canal du Midi), en s'en éloignant également quand si près de là se niche une autre beauté... Tel est le propos de ce guide détaillant les 615 km allant du bleu au bleu, en vingt-quatre étapes pédestres ou dix étapes pour vélos tous chemins.
Différents menus, compatibles entre eux : l'histoire et l'architecture, parce que l'itinéraire passe par la citadelle de Rions, les murailles de Saint-Macaire, l'abbaye de Pondaurat, la bastide de Damazan, Auvillar et sa halle, l'abbatiale Saint-Pierre et le cloître de Moissac, l'abbaye de Saint-Papoul, la cité de Carcassonne... Les paysages : collines de l'Agenais, pays de cocagne du Lauragais, platanes entre Aude et Hérault, étang de Thau. La technique : pente d'eau de Montech, ouvrages du Libron, écluses de Fonsérannes, écluse ronde d'Agde. Les plaisirs du palais : vignobles de l'Entre-deux-Mers, de Sainte-Croix-du-Mont, de Loupiac, de Buzet, de Fronton, du Minervois, de Picpoul, pruneaux d'Agen, cassoulet de Castelnaudary, huîtres et moules à Bouzigues... Cette longue traversée du Sud-Ouest et du Languedoc, au plus près des chemins d'eau, entre soleil et ombre, est praticable par tous. L'Occitanie y marie les souffles d'Orient et d'Occident ; ce lent voyage brasse les songes au sein d'un monde paisible, à la lisière du quotidien, mais loin, si loin de son agitation.

Canal du midi et le canal latéral à la Garonne ; de Bordeaux à Sète au fil de l'eau

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