La fidélité ou l'amour à vif

La sera in cui Giada si ammazza, Daria precipita in una sofferenza che nutre con devozione religiosa, perché è tutto ciò che le resta della figlia. Una sofferenza che la letteratura non deve aver paura di affrontare. Per questo siamo disposti a seguire Daria nel suo buio, dove neanche il marito e l'altro figlio riescono ad aiutarla; davanti allo scandalo di una simile perdita, ricominciare a vivere sembra un sacrilegio. Daria si barrica dietro i ricordi: quando non riusciva ad avere bambini e ne voleva uno a ogni costo, quando finalmente ha adottato Giada e il mondo «si è aggiustato», quando credeva di essere una mamma perfetta e che l'amore curasse ogni ferita. Con il calore avvolgente di una melodia, Michela Marzano dà voce a una madre e al suo struggente de profundis. Scavando nella verità delle relazioni umane, parla di tutti noi. Del nostro desiderio di essere accolti e capiti, della paura di essere abbandonati, del nostro ostinato bisogno di amore, perché «senza amore si è morti, prima ancora di morire».

L'Amore Che Mi Resta

Le titre de ce récit autobiographique, dans la lignée du précédent et magnifique livre de Michela Marzano, Légère comme un papillon, vient d'un vers d'Emily Dickinson : That Love is all there is, is all we know of Love. Partant de sa propre vie autant que de ses lectures, l'auteur évoque la recherche du Prince Charmant - un objectif qui se révèle inaccessible -, le désir d'enfant, la maternité, l'absence d'amour qui fonde parfois nos bancales existences, l'acceptation des limites de cet amour. Tournant un regard compréhensif pour chacun mais souvent impitoyable envers elle-même, elle aboutit à un constat personnel, où se reflète toute expérience humaine : « On reste seule avec ses peurs. Seule avec une autre liste, elle aussi sans fin, pleine de questions sans réponses. Cette fois, c'est différent. Car même si je perds tout, je ne me perdrai pas moi-même. Ni cette envie de recommencer. Ni la certitude que personne ne peut plus me voler qui je suis, même si, ensuite, la nuit m'anéantit. »

Tout ce que je sais de l'amour

La società in cui viviamo è dominata dai modelli del successo e della realizzazione personale. Il valore di ciascuno viene misurato in termini di "competenze" e "risultati", in una sovrapposizione di vita professionale e privata, e sempre più spesso si assiste all'estensione dei concetti peculiari del management aziendale alla dimensione più intima dell'esistenza. Sul lavoro vengono richiesti, al tempo stesso, autonomia e conformismo, spirito d'iniziativa e adesione totale alla mission. Ma quale autonomia può avere chi è libero nel modo di realizzare un obiettivo ma non ha alcuna voce in capitolo nella sua definizione? Inoltre, nel momento in cui gli obiettivi prefissati non sono raggiunti, vengono messe in discussione competenze e autonomia. Proprio dall'incoerenza di questi messaggi nasce il disagio della contemporaneità. L'autrice, filosofa e ricercatrice presso il CNRS a Parigi, attacca l'idea diffusa secondo cui l'individuo acquisisce dignità e valore soltanto attraverso il lavoro. Si tratta, in realtà, di un tranello concettuale che consente ai manager di chiedere ai loro impiegati una cosa e il suo contrario: ambiziosi risultati lavorativi e realizzazione personale, impegno e flessibilità, autonomia e conformità alla cultura aziendale. Questa sottile manipolazione spinge le persone a considerare se stesse come gli "imprenditori" di una piccola "azienda" che coincide con la propria vita, sempre in bilico tra un obbligatorio successo e il rischio del fallimento.

Extension du domaine de la manipulation : De l'entreprise à la vie privée

Les philosophes ont souvent préféré méditer sur l'âme et ses passions, faire des enquêtes sur l'entendement humain, ou encore critiquer la raison pure, plutôt que se pencher sur la réalité du corps et sur la finitude de la condition humaine. Pourtant, même si le corps a souvent été considéré comme un fardeau entravant la connaissance et la vertu, aucune philosophie n'a jamais pu faire l'économie de sa présence. C'est dans et avec son corps que chacun de nous naît, vit, meurt ; c'est dans et par son corps qu'on s'inscrit dans le monde et qu'on rencontre autrui. Cet ouvrage analyse les paradoxes de notre rapport au corps et la manière dont chaque époque invite à le repenser.

Philosophie du corps

Dans ce livre intime et émouvant, la philosophe Michela Marzano raconte son histoire d'anorexique, faite de douleurs dérobées, de moments intenses, de secrets familiaux, mais cette histoire personnelle, ce passé qui ne passe pas, c'est aussi la souffrance de beaucoup d'entre nous. Le savoir nous permet-il de triompher du corps ? Ou ne serait-il qu'une science sans conscience ?

Légère comme un papillon

Les philosophes ont souvent préféré méditer sur l’âme et ses passions, faire des enquêtes sur l’entendement humain, ou encore critiquer la raison pure, plutôt que se pencher sur la réalité du corps et sur la finitude de la condition humaine. Pourtant, même si le corps a souvent été considéré comme un fardeau entravant la connaissance et la vertu, aucune philosophie n’a jamais pu faire l’économie de sa présence. C’est dans et avec son corps que chacun de nous naît, vit, meurt ; c’est dans et par son corps qu’on s’inscrit dans le monde et qu’on rencontre autrui.Cet ouvrage analyse les paradoxes de notre rapport au corps et la manière dont chaque époque invite à le repenser.

La philosophie du corps

Le déclin du mariage dans les sociétés contemporaines n'a évidemment pas supprimé la question de la fidélité en amour.
 Peut-on encore promettre d'être fidèle ? peut-on aimer hors d'une telle promesse ? peut-on aujourd'hui être fidèle, quoique volage, alors que d'autres s'enfermaient hier dans une fidélité toute formelle ? refusant les lieux communs, la philosophe michela marzano montre ce qui se cache réellement derrière cette notion complexe. elle distingue trois formes de fidélité que l'on confond souvent : celle qui relève de l'obligation sociale, celle qui appartient au domaine de l'idéal et de la foi, et celle qui permet la rencontre et assure la possibilité de l'amour.
 Au terme de ce parcours, on voit se dessiner une nouvelle fidélité comme présence à soi et à l'autre, comme espace d'accueil et de partage. le mystère de l'amour se trouve ainsi éclairé.

La fidélité ou l'amour à vif

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