One of the most beautiful pieces of the Romantic cello literature - edited and provided with fingerings by the famous cellist Prof. Maria Kliegel. The orchestral accompaniment is easy to play - even for amateur and good school orchestras. Instrumentation : cello and orchestra op. 43

Edition Schott

There are very few composers who have left such a comprehensive oeuvre covering all genres as Camille Saint-Saëns. His vocal music, however, has rather fallen into oblivion - if one leaves aside his 'indestructible' Christmas oratorio (Oratorio de Noël, Opus 12). But apart from that, Saint-Saëns, who worked as an organist at various churches from 1852, composed a number of little church music works : settings for different instrumentations, certainly destined to be used in services, including his Ave verum for four-part choir (including organ without pedal ad lib.). It is a simple, yet harmonically rich setting which constitutes a valuable addition to the choral repertoire and an evocative alternative to the common Ave settings. Instrumentation : mixed choir (SATB) and organ (ad libitum)

Ave verum - mixed choir (SATB) and organ (ad libitum). Partition de chœur.

La célèbre musique de Camille Saint-Saëns à regarder et écouter pour découvrir les différents instruments de l'orchestre associés à des animaux

Le carnaval des animaux

Camille Saint-Saëns, dont on célébrera en décembre 2021 le centenaire de la mort, n'a pas seulement été un pianiste et organiste virtuose et un compositeur de tout premier plan. Ce fut aussi un critique dont les articles, publiés de 1870 à 1921, reflètent bien l'éclectisme et une curiosité quasi encyclopédique. Au fil de sa plume, il égrène souvenirs personnels, portraits de musiciens, opinions sur la vie artistique de son temps, il détaille genèse et histoire des oeuvres, parfois les analyse - tout cela en un joyeux vagabondage intellectuel. Lui-même avait déjà de son vivant regroupé plusieurs de ses articles en volumes. Parmi cette foison de textes, Karol Beffa a sélectionné ceux qui parlent de musique.

Saint-Saëns au fil de la plume

This is a reproduction of a book published before 1923. This book may have occasional imperfections such as missing or blurred pages, poor pictures, errant marks, etc. that were either part of the original artifact, or were introduced by the scanning process. We believe this work is culturally important, and despite the imperfections, have elected to bring it back into print as part of our continuing commitment to the preservation of printed works worldwide. We appreciate your understanding of the imperfections in the preservation process, and hope you enjoy this valuable book.

Les barbares: tragédie lyrique en 3 actes et un prologue

In November 1885 Camille Saint-Saëns set out on a concert tour with the Cuban violinist Diaz Albertini which led him to the north of France on his way to Germany. On a cold and damp evening, the crackling of an open fire in a dreary hotel is supposed to have given him the melodic idea which he incorporated in his Havanaise two years later. He dedicated this composition to his companion Albertini. It was printed for the first time in 1888 ; the original piano part was orchestrated by the composer too. In the habanera, a Spanish dance of Cuban origin, the composer lets the violin indulge in beguiling melodies, but also gives the performers ample opportunity for a sparkling display of brilliant technique - a very effective bravura piece. Instrumentation : violin and piano op. 83

Fauré est adolescent lorsqu’il rencontre Camille Saint-Saëns venu enseigner le piano à l’école Niedermeyer ; entre le maître et l’élève, que dix années seulement séparent, s’établit un climat de confiance et d’affection qui ne s’altéra jamais durant les soixante années que dura leur amitié. Le jeune maître transforme sa classe en un vrai séminaire où l’on lit « hors programme » les œuvres les plus avancées de ce temps : Schumann, Liszt ou Wagner ; chacun apporte ses nouvelles compositions. Lorsque, en 1865, Fauré quitte l’école Niedermeyer, Saint-Saëns le fait connaître auprès de ses amis musiciens : Pauline Viardot, Anton Rubinstein, Pablo de Sarasate ou Franz Liszt. À chaque pas de la carrière de Fauré se devine désormais la présence discrète de l’aîné, qu’il s’agisse de places d’organistes qu’il lui procure – il l’introduit en particulier à la Madeleine – ou de professeur au Conservatoire, jusqu’à la consécration suprême de l’entrée à l’Institut, avec une courte majorité. Sur le plan musical et esthétique, une certaine parenté lie, jusqu’à un certain point, les deux musiciens : là où Saint-Saëns demeure farouchement attaché aux valeurs du XIXe siècle, Fauré prend nettement le tournant du XXe siècle, démarche que l’aîné avouera en toute humilité ne pouvoir comprendre pleinement. C’est l’histoire de cette amitié et les chemins créatifs de ces deux grandes personnalités que retrace leur correspondance, familière, badine, professionnelle et musicale tout à la fois. Elle est ici publiée intégralement dans une édition complétée et révisée.

Correspondance (1862-1920)

Saint-Saëns a rédigé cette parodie irrespectueuse et hilarante de Pelléas et Mélisande à l'intention d'une amie. Il n'avait par ailleurs pas beaucoup d'affection pour Debussy, ni pour Maeterlinck...

Edition Schott

Résumé

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Critiques

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