Matisse

Peinture contemporaine au Mexique ; collection Jacques et Natasha Gelman

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

L'unique source

Cet ouvrage fait le pari d'isoler le poivre noir des autres épices et d'en esquisser une histoire globale menée sur la longue durée. Le poivre noir constitue un bon observatoire de dynamiques historiques de vaste portée. S'il a longtemps été absent du champ des études anciennes, la découverte du « papyrus de Muziris » a complètement changé la donne. Il est temps aujourd'hui de comparer et d'intégrer les résultats des recherches conduites sur les différentes périodes, de l'Antiquité jusqu'à l'époque de l'empire portugais et des grandes « Compagnies des Indes ». Cet ouvrage se concentre sur trois questions : la question de l'articulation, en Inde du Sud, entre les hauteurs de l'arrière-pays et les sociétés commerçantes du littoral qui cherchent à capter la production ; les structures du commerce, ainsi que ses grands circuits, l'un centré sur l'océan Indien occidental et connecté à la Méditerranée, l'autre reliant le golfe du Bengale à la Chine et à l'Asie du Sud-Est ; l'histoire sociale de la consommation du poivre, dans ses rapports avec les pratiques médicales et culinaires des sociétés importatrices.

Le poivre, fragments d'histoire globale - Circulations et consommations, de l'Antiquité à l'époque moderne

Cet ouvrage présente les peintures lumineuses et les dessins que Matisse réalisa à un moment décisif de sa carrière, lors de ses deux séjours à Tanger au début 1912 et pendant l'hiver 1912-1913. Le cadre exotique de l'Afrique du Nord se révéla extrêmement fécond et lui inspira vingt-trois peintures, pour la plupart des chefs-d'œuvre, ainsi que plus de soixante-cinq remarquables dessins à l'encre et à la plume. Le Maroc était pour Matisse un paradis terrestre. Il était fasciné par l'intensité de la lumière et l'architecture audacieuse de l'Afrique du Nord qui l'incitèrent à simplifier ses compositions par des aplats et juxtapositions de couleurs chaudes. Il représenta les Marocains et leurs paysages, des natures mortes et la casbah animée de Tanger. Les motifs et les techniques qu'il explora alors ont influencé toutes ses œuvres à venir. Les collectionneurs français, allemands, danois, suisses et russes s'intéressèrent aussitôt à ces peintures marocaines. Deux d'entre eux, Ivan A. Morosov et Serguei I. Chtchoukine, achetèrent plus de la moitié de ces tableaux. Aujourd'hui, ceux-ci font partie des collections du musée de l'Ermitage de Saint-Pétersbourg et du musée Pouchkine à Moscou. Cet ouvrage a été réalisé par des équipes de chercheurs occidentaux et soviétiques sous la direction de Jack Cowart, conservateur de l'art contemporain à la National Gallery de Washington, et Pierre Schneider, essayiste, critique d'art et auteur du magistral Matisse, publié en 1984. Ils ont été entourés par John Elderfield, directeur du département des dessins du Museum of Modern Art, Albert Kostenevitch, directeur en chef de la peinture moderne européenne au musée de l'Ermitage et Marina Bessenova, conservateur de la peinture contemporaine au musée Pouchkine. Laura Coyle, chercheur associé de la National Gallery, et Beatrice Kernan, conservateur associé du département des dessins au Museum of Modern Art, ont également contribué à cette publication. Ce livre offre une description détaillée des tableaux et des dessins marocains, ainsi que des voyages du peintre et de ses écrits marocains, pour la plupart inédits. Il contient également un grand nombre de photographies d'archives et une chronologie des séjours au Maroc.

Matisse Au Maroc. Peintures Et Dessins, 1912-1913

Un voyage de l'hrone  travers des territoires divers de Schhrazade  Jeanne d'Arc, de Boccace  Beckett, du Nouveau-Mexique au mont Sina.

Plaisir extreme

Pierre SCHNEIDER, historien de l'art reconnu (cf. sa monographie sur Matisse, et de très nombreux ouvrages et articles sur l'art, et les artistes de son temps : Sam Francis, Bram van Velde, Brancusi, etc.) a une quinzaine d'année lorsque sa famille en 1942, comme tant d'autres, tente de fuir le nazisme et la France pour se réfugier au Etats-Unis. C'est une partie de ce long périple que l'adolescent raconte dans VIVRE. Ce texte enfoui dans la mémoire, et les archives de Pierre Schneider (conservées à l'IMEC), voit le jour ici pour la première fois. Sa publication est redevable au travail de retranscription et d'établissement effectué par ses deux filles, Tamara Préaud et Pamela Roberts. Qu'elles en soient ici remerciées.

Vivre

Les aspects peu connus du peintre de La Danse, qui fut aussi aquarelliste, pastelliste, céramiste et architecte. Jusqu'au 30.06.93 : 499 F.

Matisse

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