Une synthèse de toutes les formes d'art de ce pays, y compris le cinéma et la photographie. Un ouvrage de référence avec de nombreux renseignements pratiques pour le visiteur.

L'art italien

Il n'est pas une place, pas une église, pas un coin de rue qui en Italie ne cache une ouvre d'art, d'un grand maître ou d'un obscur disciple. Qui aime à parcourir les ruelles de la péninsule a souvent l'impression de flâner dans un musée à ciel ouvert. André Chastel en fait ici une analyse fine et érudite, éclairée par l'hommage qu'il rend au père des historiens de l'art de la Renaissance italienne, Giorgio Vasari, digne précurseur qu'il s'employa à faire découvrir en France.

L'Italie, musée des musées - Suivi de la vie des peintres italiens

Tout l'art Histoire Livre III : «Fin du Moyen Age et Renaissance», «Pré-Renaissance (1420-1500)», «Première Renaissance (1490-1540)», «Haute Renaissance (1540-1570)», «Un temps de crise» Les quatre volumes de L'Art français d'André Chastel - des origines au début du XIXe siècle - sont aujourd'hui réédités sous la même forme que son célèbre Art italien, chaque volume augmenté de notices biographiques des artistes. Fruit de plus de dix années de recherche, L'Art français est de ces monuments que l'on rencontre exceptionnellement dans l'histoire de l'édition. Le parti retenu par André Chastel a été conçu, pensé et bâti comme le testament de sa carrière d'historien.
Chaque volume a fait l'objet d'un double regard : une vue cavalière, embrassant largement l'époque, les conditions économico-sociales, politiques et intellectuelles, introduit chaque ouvrage pour dégager l'esprit du temps et de l'identité française ; puis l'analyse, fondée sur l'étude des faits et des formes, vient inventorier dans le détail l'inépuisable puissance créatrice du sol français, «le plus divers, le plus allègre, le plus habitable des pays à vivre».
«Au cours de la Renaissance française se forment à la fois le grand dessein de la monarchie absolue et quelque chose qui ressemble à l'aspiration humaniste et laïque des Lumières. [...] A une époque aussi extravertie, la pierre de touche est dans les oeuvres autant que dans les idées.» (A. C.)

L'art francais - vol02 - temps modernes, 1430-1620

Le sac de Rome, 1527. Du premier maniérisme à la Contre-Réforme

Sanatçılar neden tablonun içinde başka bir tablo arama ihtiyacını hissetmişlerdir? Bir resmin içine başka bir resim yerleştirmenin anlamı nedir? Rembrandt, Vermeer, Velazquez ya da Magritte çerçeveyi kendi kompoziyonlarıyla bütünleştirmiş ve resimde devrim yaratmışlardır. André Chastel, bu “motif”ten hareketle bize tutkulu bir analiz ve resme bakmanın yeni bir tarzını sunuyor.Tablodaki Tablo André Chastel’in iki önemli metnini biraraya getiriyor. Resmin çerçevelenmesi üzerine bu iki metin, hem bir eserin varoluşunu hem de bir varlığın mevcudiyetini sınırlandıran bu çerçevenin bulunuşunu sanat tarihi üzerinden sorguluyor. Chastel bizi 15. yüzyılda başlayan ve 20. yüzyılda Braque ile sona eren gerçek bir soruşturmaya davet ediyor. Kitap yorumlanan eserlerin daha iyi somutlaşması için renkli illüstürasyonlar içeriyor.“niyetim ... tablodaki bir tablo, mekânın genişletilmiş ya da nesnel bir temsilinde yer bulduğu anda neler olup bittiğini incelemek, uyumlu bir ışık ve tiyatrocuların dediği gibi, hakiki bir yer birliği ihtiva eden zaten kurulu bir mekân ikiye bölündüğünde ya da küçültülüp indirgendiğinde ne olmaktadır? Bu, soruşturmanın 15. yüzyılla başlayıp 20. yüzyılda sonlanacağı anlamına geliyor... Tablo içinde resmedilen tablonun âdeta ikili bir yankılaması vardır: imge olarak, doğaya (biçime) gönderim yapar, bir imgenin imgesi olaraksa akla (fikre, ideaya) atıfta bulunur. Tablo-içinde-tablonun tefsiri, sanat üzerine incelemeye denk bir şey üretir.”

Le tableau dans le tableau

Renaissance méridionale et Le Grand Atelier d'Italie, publiés pour la première fois en 1965, dans la prestigieuse collection «L'Univers des Formes». Couvrant la même période, la fin du Quattrocento (XV? siècle), période d'élection d'André Chastel, ils ont été conçus par lui comme un tout dont la publication a marqué une révolution dans la connaissance que l'on avait jusque-là en France de la Renaissance italienne et continuent aujourd'hui à jouer leur rôle d'ouvrages de référence. André Chastel y fait découvrir une Italie qui s'impose à toute l'Europe comme le lieu où l'exigence artistique, poussée à son sommet, apparaît comme une authentique volonté de culture. En effet, l'Italie de la fin du Quattrocento est le grand atelier de l'Occident - ou plutôt une multitude d'ateliers (les botteghe), dispersés dans les grands foyers artistiques que sont alors Urbino, Florence, Rome... dominés par des personnalités aussi exceptionnelles que Laurent le Magnifique, Federico da Montefeltro, Ludovic le More ou le pape Sixte IV. De ces ateliers naissent, le plus souvent pour exécuter la commande du mécène, les chefs-d'oeuvre de Piero della Francesca, Botticelli, Bellini, Ghirlandaio, Verrocchio, Léonard de Vinci, le Pérugin... Tableau, fresque, palais, église, sculpture, marqueterie, éléments décoratifs : les plus grands talents mis en compétition ne délaissent aucun genre. André Chastel donne un panorama érudit et passionnant de ce foisonnement. Il y applique avec rigueur ses méthodes d'analyse qui devaient profondément marquer l'histoire de l'art : approche du détail, circonstances de la commande, textes qui ont nourri l'inspiration de l'artiste - les oeuvres les plus énigmatiques dévoilent leur sens dans leur extrême complexité. Les quelque 300 documents iconographiques de l'édition originale qui ont été retenus font ici l'objet, pour la publication en «Quarto», d'un commentaire inédit par une équipe d'historiens de l'art.

Renaissance italienne 1460-1500

Giorgione, l'insaisissable (French Edition)

Le Geste dans l'art

Charmant, généreux, fastueux, tel nous est décrit ce prince de la Renaissance membre de la famille royale de Naples, cardinal à vingt ans, proche collaborateur de deux grands papes : Jules II et Léon X. Louis Aragon se passionnait pour la chasse et la musique. Il avait aussi de grands desseins, dont celui d'obtenir de Charles de Hasbourg, le retour des Aragon sur le trône de Naples d'où les avait chassés Ferdinand le Catholique. C'est sans doute l'objectif de son voyage de dix mois en Europe pendant l'année 1517-1518, voyage dont il nous reste le journal rédigé par son secrétaire le chapelain Antoine de Beatis. C'est à partir de ce document exceptionnel qu'André Chastel nous invite à suivre ce voyageur princier, d'Italie en Allemagne, des Pays-Bas en France. On y visite les banquiers Fugger à Augsbourg, le futur Charles Quint à Middlebourg, François Ier à Rouen, Léonard de Vinci à Amboise. Les motivations des voyages sont les contacts avec les puissants, les plaisirs mondains, les pèlerinages et la visite des reliques, mais aussi l'observation précise des moeurs et des coutumes des peuples des pays traversés. André Chastel a dans ce livre, magnifiquement réussi le portrait d'un italien à la Renaissance, en même temps, qu'il nous donne en historien de l'art érudit, un état du développement de l'art européen au début du XVIème siècle, années qui vont marquer un changement complet du cours de la culture en Occident.

L'art italien

Résumé

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