"Das Gelübde" ist eine von E. T. A. Hoffmann verfasste Erzählung (den Begriff Novelle verwendete er nicht). Sie erschien erstmals 1817 und gehört zu den weniger bekannten Werken des spätromantischen Autors.

Das Gelübde

Le vase d'or

Peregrinus Tyss, homme timide au cœur enfantin, a beaucoup de mal à approcher les femmes. Non qu'il ne se sente porté vers elles, mais elles lui font peur. Et voilà qu'on l'accuse, contre toute évidence, d'avoir enlevé de force une donzelle, et qu'on le menace d'un procès qui ruinera pour jamais sa réputation... L'innocent s'en tirerait sans trop de dommages si le destin, farceur et cruel tour à tour, ne plaçait sur son chemin le fâcheux type, l'être le plus borné, le plus tracassier qui soit. De tous les récits d'Hoffmann, celui où il tourne le plus méchamment en ridicule la bourgeoisie philistine de son temps. " Maître Puce est une des plus bizarres créations d'Hoffmann... Telle est la puissance fascinatrice de son génie qu'on aime à voyager dans l'inconnu sur les ailes de sa fantaisie... " George Sand

Maître Puce - Conte en sept aventures survenues à deux amis

"Die Bergwerke zu Falun", eine Erzählung von E. T. A. Hoffmann aus dem Zyklus Die Serapionsbrüder von 1819, behandelt das Leben des jungen Elis Fröbom, der seinen Beruf als Seefahrer aufgibt, um Bergarbeiter zu werden. Die Erzählung ist nur ein Teil einer umfangreichen literarischen Tradition zum Bergwerk von Falun und die mit diesem Bergwerk in der damaligen Zeit verbundenen Tragödien.

Die Bergwerke zu Falun

Lorsqu'on évoque les " Contes d'Hoffmann ", c'est d'abord à ce livre que l'on se réfère. Quatre volumes d'une richesse fabuleuse (à tous les sens de la parole) : une manière de somme du Romantisme allemand, et l'un des sommets de la littérature fantastique. Et pourtant ce recueil géant n'avait jamais été publié en France dans son intégralité. Depuis plus d'un siècle et demi, les traducteurs l'amputaient systématiquement des " Entretiens " où Hoffmann et ses amis se livraient à leur merveilleux délire - soutenus par les vertus conjuguées de la musique et du punch. On découvrira donc ici les fameux " Entretiens " et la plus belle suite de contes qui se puisse rêver (dans ce premier volume : " Le Conseiller Krespel ", " Les mines de Falun ", " Casse-Noisette et le Roi des Rats ", etc.).

Les frères de Saint-Sérapion - Tome 1

"Prinzessin Brambilla" ist ein 1820 in Berlin von E. T. A. Hoffmann nach acht Kupferstichen von Jacques Callot geschriebenes literarisches Capriccio. In der ironischen Erzählung wird vom mäßig talentierten Schauspieler Giglio und der Giacinta erzählt, die anfangs in die kuriose Prinzessin Brambilla beziehungsweise den Prinzen Cornelio verliebt sind. Am Ende der turbulenten Geschichte erkennen Giglio und Giacinta, dass sie ineinander verliebt sind. Eine der Figuren der Erzählung, der Maler Reinhold, fasst den turbulenten Wirbel anschaulich zusammen: "Mich will es bedünken, als hetze das bunte Maskenspiel eines tollen, märchenhaften Spaßes allerlei Gestalten in immer schnelleren und schnelleren Kreisen dermaßen durcheinander, daß man sie gar nicht mehr zu erkennen, gar nicht mehr zu unterscheiden vermag."

Prinzessin Brambilla

Les Contes nocturnes de l'écrivain romantique allemand E.T.A. Hoffmann furent publiés en 1816-1817, après les Fantaisies à la manière de Callot. L'univers nocturne original de ces récits fantastiques a été accueilli en France avec enthousiasme dès les années 1830. La présente édition, accompagnée d'une introduction, de notes et d'annexes, redonne la traduction historique d'Henry Egmont de 1836, la plus fidèle de celles réalisées au xixe siècle.

Contes nocturnes

"Die Jesuiterkirche in G." ist eine Erzählung von E. T. A. Hoffmann, die Ende 1816 im ersten Teil der Sammlung "Nachtstücke" bei Reimer in Berlin erschien. Der Autor hatte die Niederschrift im August desselben Jahres beendet.

In diesem Nachtstück "aus den Papieren eines reisenden Enthusiasten" geht es um eine kostbare, ach so flüchtige Gabe: die Schaffenskraft des bildenden Künstlers Berthold.

Die Jesuiterkirche in G.

The first edition of the musical works of E. T. A. Hoffmann, begun in the 1920s, foundered as a result of adverse economical conditions and because it was an enterprise ahead of its time. In the intervening years the E. T. A. Hoffmann specialist Friedrich Schnapp has rediscovered several works previously unknown or believed lost ; his close collaborator Gerhard Allroggen documented the musical oeuvre of Hoffmann bibliographically in a ,Chronological Thematical Catalogue' . The present edition is based on this preparatory research and presents more than half of E. T. A. Hoffmann's musical works in a critical edition of 12 volumes. Most of the works omitted consist of his numerous stage compositions. But apart from his main dramatic work ,Undine'- published here for the first time in its original form - this section also contains ,Die lustigen Musikanten' (a particularly successful setting of Brentano's musical comedy), ,Liebe und Eifersucht' and his first work ,Die Maske' (1799), the only surviving large-scale dramatic work where Hoffmann himself adapted the libretto. The incidental music for Zacharias Werner's ,Kreuz an der Ostsee' is interesting because of the notoriety achieved by the play. ,Arlequin' is representative of Hoffmann's ballet music. Hoffmann's work in other genres, including sacred music, orchestral works, piano and chamber music, choral pieces, arias and lieder, are all published complete. In contrast to the stage works, they are much smaller, and their general importance as well as their use for practical music making are increasingly recognized. Each music volume contains a preface with the genesis and description of each work as well as a Critical Commentary listing the sources and necessary textual emendations.

Das Gelübde

Résumé

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