Pain qui nous fait vivre

Chacun des quatre évangélistes a son propre style, ses propres sources, les accents qu'il met personnellement, et les récits qu'il est parfois seul à relater. C'est l'ensemble des quatre Evangiles qui nous délivre le portrait de Jésus dans toute sa globalité et son exclusivité. Quelle image aurions-nous de Jésus-Christ si nous n'avions pas le Bon Samaritain ? Comme notre connaissance de Jésus serait incomplète si nous n'avions pas l'Evangile de saint Luc ! Lui seul nous relate les trois paraboles sur l'amour miséricordieux de Dieu qui se met toujours patiemment à la recherche des hommes que nous sommes : la parabole de la brebis perdue, celle de la drachme perdue, et surtout celle du fils perdu, que nous appelons " l'enfant prodigue ". Tous ces " trésors " tirés de son Evangile témoignent du désir de l'auteur d'insister tout particulièrement sur la sollicitude de Jésus envers les pécheurs, les pauvres, les malades, les égarés. Le Christ, notre Sauveur ! Voilà en un mot, le message que nous délivre le médecin saint Luc.

Pensées sur l'évangile de Luc - Jésus, médecin des malades - Occasion

" Dans la conception chrétienne de la dignité de l'homme, toutes les œuvres de Dieu convergent vers Lui et trouvent en Lui leur but. Cet " anthropocentrisme " résonne comme une bonne nouvelle pour un monde qui a de la peine à croire en une providence spéciale et personnelle de Dieu pour l'homme. L'homme est créé par Dieu et pour Dieu ; il est d'une dignité incomparable parce que Dieu, en le créant, lui porte un amour infini, source du dessein même de la création et cause de l'œuvre rédemptrice.
Le monde est fait pour l'homme, mais l'homme est fait pour Dieu. Le véritable " lieu " de sa dignité est à chercher dans cette qualification unique de l'homme qui fait de lui, au milieu des autres créatures, l'image vivante de Dieu. "

L'homme et le Christ à l'image de Dieu - La création de l'homme comme Bonne Nouvelle

Le cardinal archevêque de Vienne identifie une relation paradoxale entre l'Europe et le christianisme : tandis que le vieux continent a de moins en moins de croyants, les chrétiens sont invités à être encore plus fidèles à l'Evangile. Ce faisant, que peut offrir le christianisme à une Europe laïque en pleine croissance ? Selon le cardinal, la chrétienté offre la possibilité d'une liberté vraie et réelle, et réciproquement, elle peut recevoir de la culture laïque un appel à la crédibilité, l'un des besoins les plus pressants du monde d'aujourd'hui. Le cardinal Christoph Schönborn est l'un des cardinaux les plus renommés et respectés de par le monde, un homme ouvert à la modernité.

Le Christ en Europe : une étonnante fécondité

"Les cinquante-deux brefs chapitres de cet ouvrage n'ont nullement pour but de remplacer la lecture du Catéchisme de l'Eglise catholique, ils doivent au contraire susciter l'envie de le lire, en proposant des aides pour le faire.
Mais surtout, leur objectif est d'inviter et d'encourager à prier personnellement. Si importantes que soient les initiations à la prière, rien ni personne ne pourra jamais égaler "le Maître intérieur de notre âme". Il nous parle au fond de notre coeur, et suscite en nous le désir d'aller à Sa rencontre ; par Sa Parole et par Sa grâce, il ouvre les yeux et les oreilles de notre coeur, pour que nous apprenions à Le connaître, que nous entrions dans un rapport de familiarité et d'intimité avec Lui, que nous soyons dociles à Ses conseils et à Sa conduite".

Les chemins de la prière

L'amour espère tout

"Le message du christianisme est le message de la miséricorde divine et l'Eglise a pour mission urgente de l'annoncer car le monde en a besoin aujourd'hui plus que jamais. En même temps, la notion de miséricorde soulève bien des questions. Qu'est-ce que la miséricorde exactement ? N'est-ce pas un signe de faiblesse que de dépendre de la miséricorde de Dieu ? Que devient alors notre liberté ? Envers qui Dieu se montre-t-il miséricordieux ? Comment est-ce compatible avec la justice divine ? Devons-nous nous aussi être miséricordieux ? Comment Jésus a-t-il compris son enseignement sur le père miséricordieux ? Comment l'a-t-il vécu ? Comment pouvons-nous, aujourd'hui, vivre concrètement ce que Jésus nous a dit et montré par sa propre vie ? L'annonce de notre foi implique que l'on réfléchisse à toutes ces questions." Cardinal Christoph Schönborn

Nous avons obtenu miséricorde - Occasion

L'objectif de ce petit est de rappeler que nous sommes rejoint par "la Parole qui est Dieu, la Parole qui vient de Dieu » à travers tout un chemin de purification de nos pensées et de nos paroles (Benoît XVI), une conversion pastorale (François)... Le sujet de notre discours sur Dieu, théo-logie, c'est Dieu lui-même qui parle, une Parole indissolublement adressée et écoutée dans l'Esprit à travers les paroles d'une communauté de frères rassemblée dans le partage du pain & de la Parole et du pain Eucharistique.
Beaucoup de propos théologique derrière leur piété sont sous le règne de l'abstraction logique au détriment de la « réalité du mystère » (actus crédentis non terminatur ad enuntiabile, sed ad rem) et de l'Écriture (la doctrine sacra n'est plus la scriptural sacra !!). Ils sont la manifestation d'une théologie qui se fait en dehors de la présence du Ressuscité au monde et à son Eglise (je suis avec vous tous les jours) au profit d'un jugement individualiste et abstrait sur ce qui est conforme à la tradition. Une manière de faire de la théologie qui finalement est athée. Repliée sur ses propres idées elle se situe en dehors de la lumière qui est donnée au coeur de l'histoire : et le Verbe s'est fait chair ...
Il y a des choses très simples à remettre en place autour du formalisme et du réalisme dans l'acte de foi dont l'unité est garantie dans l'Église à la fois sacrement du salut et peuple de Dieu en marche vers celui qui vient.

Il faut que j'aille demeurer dans ta maison

Jamais homme n'a parlé comme cet homme. Lorsque Jésus parlait à ses compatriotes, c'est l'impression qu'il donnait. Quelque chose sortait de lui, une force, un rayonnement qui faisait dire aux gens étonnés : Qu'est-ce que cela ? Un enseignement nouveau, plein de force. Jésus ne parlait ni n'enseignait comme les scribes, les spécialistes de la Bible, mais comme ayant autorité. Les brefs commentaires des évangiles des dimanches et des fêtes qui composent ce livre se proposent de conduire à une rencontre personnelle avec la parole et la personne de Jésus. Ils offrent aux lecteurs la parole de la Bonne Nouvelle et apportent quelques impulsions afin qu'elle devienne réellement "Parole de vie" au cœur de notre quotidien. Que ce livre, qui médite les évangiles de la première des trois années liturgiques, "l'année de Matthieu", soit au service de cette intention.

Pain qui nous fait vivre

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