Les quatre soeurs March sont devenues de vraies jeunes femmes ! Le Docteur March est enfin rentré, et trouve ses filles transformées. Il va devoir ré-apprendre à les connaître... ce qui n’est pas une mince affaire !

Le Dr March marie ses filles

L’histoire de Meg, Jo, Beth et Amy a traversé le siècle sous des titres divers, Les Quatre Filles du docteur March étant le plus célèbre et sans doute le moins exact, puisque leur père n’est pas médecin, mais bien pasteur. Cette chronique d’une année dans la vie d’une famille américaine pendant la guerre de Sécession est bien autobiographique, mais, à l’image de la famille de l’auteur, celle des March n’est ni aussi conventionnelle ni aussi ordinaire qu’on a bien voulu le faire croire au lecteur. Car, de ce livre, ressort la figure forte de Josephine, dite Jo : alter ego affiché de Louisa May Alcott, elle est la rebelle en conflit avec le modèle féminin en vigueur dans la société puritaine de l’Amérique du XIXe siècle. Elle dit qu’on peut être mal dans la peau d’une fille dans le Boston des années 1860, avoir envie de prendre des airs de garçon et nourrir de farouches ambitions littéraires, être pieuse sans être soumise – bref, qu’on peut vivre en 1868 et être progressiste. Alors, ces Quatre Filles, roman mièvre, féminin et bien pensant ? Rien n’est moins sûr. C’est ce que cette nouvelle traduction, abrégée par l’auteur d’autres soeurs inoubliables, s’efforce de montrer.

Les quatre filles du docteur March

Meg, Jo, Beth et Amy sont quatre soeurs qui s'entendent bien. En pleine guerre de Sécession, leur père part sur le front. Alors, tout le monde doit se mettre au travail. Entre Meg la raisonnable, Jo l'impétueuse, Amy la raffinée et Beth la délicate, les discussions sont passionnées et la maison rarement silencieuse.

Les filles du docteur March

Trois ans ont passé depuis l'épilogue des Quatre filles du docteur March. Les quatre sours sont aujourd'hui des jeunes femmes. Meg épouse « son » John et s'épanouit dans son rôle de mère au foyer, Jo continue à écrire et à publier ses nouvelles dans des journaux, Beth toujours aussi discrète et de santé fragile puise dans le quotidien et l'affection des siens la force de vivre tandis qu'Amy, la charmeuse, virevolte tel un papillon et fait battre les cours.

Les Quatre Filles du docteur March Tome 2

"Clear the lulla!" was the general cry on a bright December afternoon, when all the boys and girls of Harmony Village were out enjoying the first good snow of the season. Up and down three long coasts they went as fast as legs and sleds could carry them. One smooth path led into the meadow, and here the little folk congregated; one swept across the pond, where skaters were darting about like water-bugs; and the third, from the very top of the steep hill, ended abruptly at a rail fence on the high bank above the road. There was a group of lads and lasses sitting or leaning on this fence to rest after an exciting race, and, as they reposed, they amused themselves with criticising their mates, still absorbed in this most delightful of out-door sports.

"Here comes Frank Minot, looking as solemn as a judge, " cried one, as a tall fellow of sixteen spun by, with a set look about the mouth and a keen sparkle of the eyes, fixed on the distant goal with a do-or-die expression.

"Here's Molly Loo

And little Boo!"

sang out another; and down came a girl with flying hair, carrying a small boy behind her, so fat that his short legs stuck out from the sides, and his round face looked over her shoulder like a full moon.

"There's Gus Burton; doesn't he go it?" and such a very long boy whizzed by, that it looked almost as if his heels were at the top of the hill when his head was at the bottom!

"Hurrah for Ed Devlin!" and a general shout greeted a sweet-faced lad, with a laugh on his lips, a fine color on his brown cheek, and a gay word for every girl he passed.

Jack and Jill

This is a series of vignettes by Louisa May Alcott that illustrate the idea by Sir Philip Sidney that "They are never alone that are accompanied with noble thoughts." The reader is introduced to several young women who discover great satisfaction when they do what each can do and still have a renewed desire to be of more assistance while also witnessing the more somber parts of life. In "Pansies" Mrs. Warburton assures others that "hearts don't break if they know where to go for strength." Ruth asks in "Water-lilies" if she can be forgiven her modesty, courage, and faithfulness. Rosamund of "Little Button Rose" declares "you've made my troubles go, can't I make yours?" Finally in "Mountain-Laurel" Becky realizes that she can become a more useful and honored woman by putting the directives of her poetry into her life than by singing for her fame. For the characters of Alcott's Garland, "When everything seemed darkest, good luck came."

A Garland for Girls

Generations of readers young and old, male and female, have fallen in love with the March sisters of Louisa May Alcott’s most popular and enduring novel, Little Women. Here are talented tomboy and author-to-be Jo, tragically frail Beth, beautiful Meg, and romantic, spoiled Amy, united in their devotion to each other and their struggles to survive in New England during the Civil War.It is no secret that Alcott based Little Women on her own early life. While her father, the freethinking reformer and abolitionist Bronson Alcott, hobnobbed with such eminent male authors as Emerson, Thoreau, and Hawthorne, Louisa supported herself and her sisters with "woman’s work,” including sewing, doing laundry, and acting as a domestic servant. But she soon discovered she could make more money writing. Little Women brought her lasting fame and fortune, and far from being the "girl’s book” her publisher requested, it explores such timeless themes as love and death, war and peace, the conflict between personal ambition and family responsibilities, and the clash of cultures between Europe and America.

Les quatre filles du docteur Marsch

Un grand classique indémodable de la littérature américaine. 
Ecrit à la fin du 19eme siècle, ce texte maintes fois traduit et maintes fois repris au cinéma, a été écrit par Louisa May Alcott. C?est l'histoire de quatre jeunes filles, la raisonnable Margaret (Meg), l'intrépide Joséphine (Jo), la charitable Elisabeth (Beth) et la douce Amélie (Amy). Elles vivent dans le Nord des USA avec leur mère et leur fidèle domestique appelée Hannah. Elles appartiennent à la classe moyenne de la société. L'histoire se passe pendant la Guerre de Sécession. Leur père, pasteur et nordiste est à la guerre. Autrefois, la famille March était une famille riche mais aujourd?hui la vie est dure pour les 4 s?urs.
Dans ce roman indémodable Louisa May Alcott s?est probablement peinte sous les trais de Jo, jeune fille non conventionnelle, aspirant à son indépendance et à une autre condition que celle d?une jeune fille résignée.
La traduction-adaptation proposée ici est celle de P.J Stahl, pseudonyme de Pierre-Jules Hetzel le célèbre éditeur de Jules Verne.

Le Dr March marie ses filles

Résumé

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