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Samedi, l'eveque a rate le bus
Publié par Terre de brume, le 12 avril 1999
Le très médiatique évêque Onésime Goyat a été retrouvé assassiné, au garrot, sur une place publique de la bonne ville bretonne de Guerlesquin. Voyez d'ici le tintouin dans le canton. L'enquête est confiée à Jules Bellec, adjudant de gendarmerie et socialiste, qui se fera aider par sa maîtresse, Maryvonne Le Brinsec, institutrice gaulliste qui marche au chouchenn. Et là, on croise des indépendantistes bretons, un curé façon intégriste, un corbeau, un vagabond qui publie, des piliers de pub et quelques farceurs. Qui est donc le coupable ? L'auteur le sait-il lui-même ? Ce roman n'est pas un roman à clefs mais pour le moins à trousseau. On y retrouve le ton et les humours du Pouchèle de l'Etoile et le Vagabond ou de Deux Vagabonds en Irlande. Parfois noir, parfois tendre, toujours décalé, le tout pimenté d'une bonne dose d'impertinence - voire d'inconscience - voilà le ton de Samedi, l'évêque a raté le bus...
Samedi, l'eveque a rate le bus
L'Étoile et le vagabond
La nostalgie est derriere le comptoir
Le bruit de fond de l'Histoire - Ces chansons qui ont fait la France
Pas De Garde-Fou Pour Le Garde Des Sceaux
Autres tombes ; memoires
Deux vagabonds en Bretagne
Les porcs de l'angoisse
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