Comment quelques saucisses en train de griller, une émission à la noix et un beau jour d'été peuvent nous amener à un constat d'une stridente évidence : il faut haïr le cinéma.

Je hais le cinéma

Alors que Maxime s'était rangé des casses et des voitures, et retiré à la campagne, voilà que, sous prétexte que ses voisins sont les parents du nouveau ministre de l'Intérieur, un dénoméXXXXXXXXXX les CRS viennent lui chatouiller les arpions, salir son entrée, déranger son sommeil et piétiner son potager. Mais on ne réveille pas impunément un ancien terroriste à la retraite ! Surtout un vendredi 13.

Samedi 14

En érudit du roman noir, Jean-Bernard Pouy n'a que faire des définitions et des catégories quand il s'agit de sa bibliothèque idéale. Il entend communiquer sa passion à tous, anecdotes pour les néophytes et pépites pour les connaisseurs. Avec générosité, il partage son adoration pour les nombreux auteurs emblématiques du genre : des aiguilleurs (Hammet, Chandler) aux contemporains (Garnier, Férey), en passant par les forcenés (Simenon, Westlake) ou les pessimistes (Goodis, Cook). Une ode parfois partiale, toujours facétieuse et dans l'esprit d'un de ses talentueux contributeurs.

Une brève histoire du roman noir

L'Homme à l'oreille croquée

Ce qui reste de l'Enfer et du Paradis : une plaine et une ligne de chemin de fer. Quand les angoisses et les obsessions d'un justicier parti venger l'honneur de son clan prennent aux tripes, vous le suivez dans sa quête implacable pour éliminer le " monstre " qui a osé bafouer ce qu'il y a de plus sacré dans cet univers de désolation : la féminité. Jean-Bernard Pouy, écrivain, créateur du " Poulpe ", réalise pour son premier scénario BD, un polar à la frontière des genres : aventure, SF et fresque sociale. Jürg, jeune prodige belge de 26 ans, au trait expressionniste, a su reconstituer cette implacable métaphore de notre société.

Noces de chiens

La Capture du tigre par les oreilles (Les Petits Polars du Monde, Saison 3)

Il n'était pas un de ces migrants naïfs croyant
rejoindre l'Eldorado, il n'était qu'un homme vieillissant, une dérisoire lame dans la poche, partant régler une dette aussi effacée par le temps
qu'un linge de deuil.

Fratelli - Occasion

Le jour de l'urubu

Lucie avait disparu un mois entier sans donner d'explication à Léonard. Et il n'avait pas eu le temps de la convaincre de parler puisqu'elle était morte peu après dans un accident de voiture. Alors, ce vide insupportable, Léonard entreprend de le combler. À l'aide du seul lien qui le rattache à ce mystère : une carte postale du pont du Gard.Mais dès qu'il franchit le pont, les fantômes viennent à sa rencontre...

Je hais le cinéma

Résumé

Plus de livres de Jean-Bernard Pouy

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques