'These tales, although they are the kernel of a highly developed form of Jewish mysticism, have a basic human interest that transcends the dividing lines of religion.' -Albert H. Friedlander, Saturday Review

Célébrations: portraits et légendes

Aube (l')

Où puiser de l'espoir après Auschwitz ? Comment parler encore de Dieu après les tragédies du XXe siècle ? Qu'advient-il du christianisme - qui prend ses racines dans le judaïsme - après que le peuple juif a été assassiné dans les camps ? Voici quelques-unes des questions abordées successivement par chacun des deux éminents témoins qui dialoguent avec Ekkehard Schuster et Reinhold Boschert-Kimmig. Si toute vraie théologie doit prendre en compte la souffrance humaine, si la mémoire est essentielle, E. Wiesel et J-B. Metz partagent l'idée que la Shoah est une fracture dans l'histoire elle-même.

Espérer envers et contre tout - Un juif et un chrétien après Auschwitz

Qui, d'entre nous, n'a pas eu l'impression, un moment, de devenir fou ? Qui, d'ailleurs, ne l'est pas ? Le héros de cette histoire pense, pour sa part, qu'il souffre d'une folie due à un excès de mémoire.
L'histoire se déroule aujourd'hui à New York dans le huis clos du cabinet d'une psychanalyste : car le héros a décidé de se débarrasser de ses fantômes qui lui obscurcissent la mémoire et le rendent fou. Mais n'est pas fou celui que l'on désigne comme tel.
Roman historique dans lequel se déploie la mémoire d'Élie Wiesel sur le XXe siècle et son tourbillon de malheurs, roman d'apprentissage de la découverte de soi-même dans ses tréfonds les plus obscurs, Un désir fou de danser est aussi un livre d'aventure intérieure porté par la volonté de savoir et la certitude que seul l'amour peut guérir les blessures les plus intimes.

Un désir fou de danser

Werner Sonderberg, jeune Allemand résidant aux Etats-Unis, part se promener avec son vieil oncle, visiteur de passage, dans les montagnes des Adirondacks. Le premier revient seul. On retrouve plus tard le cadavre du second. Inculpé, Werner plaide " coupable... et non coupable ". Cette étrange affaire suscite chez Yedidyah, critique théâtral que son rédacteur en chef a chargé à titre exceptionnel de " couvrir " le procès, une fascination trouble qu'il peine à s'expliquer : comme si se jouait là son propre destin. Sentant qu'il se heurte à un secret de famille, il enquête sur son passé. La légèreté de la comédie new-yorkaise le cède à la mélancolie de la tragédie européenne. Guetté par la folie, il aura recours à l'hypnose pour retrouver les images de sa petite enfance et tenter de se réconcilier avec " une histoire qui, jusqu'à la fin des temps, fera honte à l'humanité ".

Le cas Sonderberg: roman

Per affrontare un'opera complessa e profonda come il Talmud si rende necessaria una guida sapiente che conosca bene la strada, una guida che sappia valorizzare le pagine più battute come quelle più inesplorate. In Maestri e leggende del Talmud Elie Wiesel riesce a restituirci tutta la ricchezza dell'universo talmudico attraverso le vicende di alcuni personaggi emblematici. Incontriamo Shammai e Hillel, con i loro allievi contrapposti in un dibattito eterno, rabbì Shim'on bar Yochai e suo figlio El'azar, rabbì 'Aqivà, rabbì Meìr e sua moglie Brurià, e tanti altri ancora. Con loro c'è la Storia: le persecuzioni, la rivolta di Bar Kokhbà, l'Impero romano, la caduta di Gerusalemme; ci sono i viaggi e i luoghi: Gerusalemme, ovviamente, e la Babilonia, ma anche Yavne, Roma e perfino il Pardès , il frutteto della conoscenza segreta; ci sono gli uomini, tutti: ebrei e pagani, vincitori e sconfitti, allievi e maestri, amabili o detestabili, scettici o mistici; e poi c'è Dio, onnipresente, a volte nascosto in un piccolo gesto quotidiano, altre volte nella gloria del miracolo, nella voce improvvisa del tuono o nella pioggia di rabbì Chiyà. Grazie a Wiesel, il Talmud, quest'opera maestosa, ci appare per quello che è in realtà: molto di più di un testo religioso. Una fucina inesauribile di saggezza, un laboratorio di forme espressive, un libro di avventure, uno scudo e un forziere, patrimonio dell'identità ebraica aperto al mondo. E soprattutto l'espressione « di una memoria collettiva che non si lascia mai sfuggire niente, perché niente ne resta al di fuori ».

Maestri e leggende del Talmud

The Trial of God (as it was held on February 25, 1649, in Shamgorod)"A Play by Elie WieselTranslated by Marion WieselIntroduction by Robert McAfee BrownAfterword by Matthew Fox "Where is God when innocent human beings suffer? This drama lays bare the most vexing questions confronting the moral imagination." Set in a Ukranian village in the year 1649, this haunting play takes place in the aftermath of a pogrom. Only two Jews, Berish the innkeeper and his daughter Hannah, have survived the brutal Cossack raids. When three itinerant actors arrive in town to perform a Purim play, Berish demands that they stage a mock trial of God instead, indicting Him for His silence in the face of evil. Berish, a latter-day Job, is ready to take on the role of prosecutor. But who will defend God? A mysterious stranger named Sam, who seems oddly familiar to everyone present, shows up just in time to volunteer. The idea for this play came from an event that Elie Wiesel witnessed as a boy in Auschwitz: "Three rabbis--all erudite and pious men--decided one evening to indict God for allowing His children to be massacred. I remember: I was there, and I felt like crying. But there nobody cried." Inspired and challenged by this play, Christian theologians Robert McAfee Brown and Matthew Fox, in a new Introduction and Afterword, join Elie Wiesel in the search for faith in a world where God is silent. "From the Trade Paperback edition.

Le procès de Shamgorod, tel qu'il se déroula le 25 Fevrier 1649: Pièce en trois actes.

Un soir d'été, le jeune résistant juif Elisha apprend qu'il est choisi pour commettre à l'aube un acte irrémédiable.
Il doit tuer. Sa victime John Dawson, un officier de l'armée d'occupation britannique en Palestine, qu'il n'a jamais rencontré auparavant et que l'on retient en otage.
Elisha a une nuit entière pour se préparer, pour assumer le rôle du bourreau. Et aussi pour défendre son acte vis-à-vis des morts qui, en juges ou en témoins, sont venus assister à l'exécution.
L'aube devient ainsi le couronnement de la nuit au lieu d'être l'annonciatrice du jour.
C'est l'heure où le bourreau et sa victime, se trouvant face à face, engagent un dialogue simple et tragique où étincelle l'aveuglante vérité de l'homme.

L'aube

Deux hommes aux destins incomparables, deux hautes figures de notre temps, Elie Wiesel et Jorge Semprun, s'étaient croisés sans se connaître en 1945 dans le camp de concentration nazi de Buchenwald.
En 1995, ils se retrouvent pour évoquer leur expérience commune et en même temps différente. Des réflexions et des questions fondamentales surgissent au cours de cette rencontre.

Célébrations: portraits et légendes

Résumé

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