General Books publication date: 2009 Original publication date: 1908 Original Publisher: J.M. Dent

La République, livres 1-10

The "Parmenides" is often described as one of the most complex and problematic of the Platonic dialogues. In it a group of characters, including Parmenides, an eccentric teacher and poet from Elea, Zeno, the student and lover of Plato, and the young Socrates and Aristotle, engage in a series of conversations on some of the most abstract philosophical concepts: the nature of Forms, and the meaning of the One. Forms are the principles or sources of explanation of all the parts of the Whole in the world: earth, fire, man and even mortal qualities such as justice and prudence. The One, is the source of our knowledge of the Whole itself - the underlying principles of experience. Despite its structural complexity, the "Parmenides" gives us the clearest insight into the working of the mind of Socrates. It is the only surviving example of a conversation between Socrates and another philosopher. By studying this dialogue, the reader can gain some insight to the source of Socratic philosophy, and about the development of early Greek philosophy in general.

Parménide

Référence obligée en philosophie politique, La République constitue à la fois une forme d'utopie, décrivant une cité idéale gouvernée par les sages, et une critique sans appel de la démocratie grecque. Le lecteur contemporain ne peut s'empêcher d'établir un rapprochement entre la représentation platonicienne du gouvernement des hommes, réservé aux plus savants, et la conception républicaine du recrutement des élites, exerçant des fonctions publiques dans le cadre de structures technocratiques. Bien que les plus compétents ne soient pas aujourd'hui nécessairement les plus sages, la captation du pouvoir par les meilleurs procède encore d'un même principe aristocratique. Parce qu'il pose des questions que nous n'avons pas résolues, ce texte continue de nous intéresser. En effet, entre la tentation démagogique et l'écueil technocratique, les démocraties modernes ne sont toujours pas parvenues à trouver un juste équilibre. Un classique des études de philosophie, à lire par devoir ou pour se laisser aller aux délices de l'analogie. --Paul Klein

La République

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Le Premier Alcibiade

Le Banquet de Platon

After an interval of some months or years, and at Phlius, a town of Peloponnesus, the tale of the last hours of Socrates is narrated to Echecrates and other Phliasians by Phaedo the 'beloved disciple.' The Dialogue necessarily takes the form of a narrative, because Socrates has to be described acting as well as speaking. The minutest particulars of the event are interesting to distant friends, and the narrator has an equal interest in them. During the voyage of the sacred ship to and from Delos, which has occupied thirty days, the execution of Socrates has been deferred. (Compare Xen. Mem.) The time has been passed by him in conversation with a select company of disciples. But now the holy season is over, and the disciples meet earlier than usual in order that they may converse with Socrates for the last time. Those who were present, and those who might have been expected to be present, are mentioned by name.

Phédon

Le Ménexène (en grec ancien Μενέξενος) est un dialogue de Platon contemporain du Gorgias. Il a été probablement écrit un peu après -387, date de la Paix d'Antalcidas, dernier événement historique décrit dans son discours. Un ouvrage homonyme fait partie du Catalogue des œuvres d'Aristote par Diogène Laërce. Tout comme dans La République et le Critias, Platon montre dans le Ménéxène une hostilité pour la représentation anthropomorphique qui accepte la querelle entre les dieux.Socrate récite lui-même une oraison funèbre, qui lui vient de sa maîtresse en rhétorique et en musique, l’hétaïre Aspasie, amante de Périclès. L’oraison forme l’essentiel du dialogue. Ce dialogue est authentique - Aristote l’évoque à plusieurs reprises, et il complète le Gorgias, qui traite d'éloquence politique et judiciaire ; Cicéron cite textuellement un extrait5 du dialogue dans son Traité des devoirs. Dans ce texte, Socrate s’attaque à la rhétorique. Le dialogue commence par une conversation entre Socrate et le jeune Ménexène qui s’apprête à faire ses débuts dans la vie publique. Socrate fait un éloge ironique de l’éloquence d’apparat, et en particulier des épitaphioi6, discours en l’honneur des soldats morts à la guerre.

Ménexène

L'Alcibiade Majeur

Le ton du Gorgias est particulièrement violent, et pas seulement à l'égard de la rhétorique. Le dialogue formule une des critiques les plus radicales qui aient été adressées à la démocratie athénienne, à ses valeurs dominantes et à sa politique de prestige. En effet, Socrate s'en prend à tous les aspects de cette politique, du plus concret au plus idéologique. Mais l'essentiel de la critique vise la condition qui donne à la démocratie athénienne ses principaux caractères. Or cette condition est la même que celle qui assurait l'influence de la rhétorique. Il s'agit de la foule comme sujet dominant de la scène politique. Le gouvernement de la liberté est un gouvernement de la foule, c'est-à-dire de l'illusion, du faux-semblant et de la séduction. La critique de la rhétorique débouche donc directement sur la critique la démocratie.

La République, livres 1-10

Résumé

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