« Nous n'en finissons pas d'aimer le monde, et rien ne nous console d'avoir à le perdre. Car le monde est beau pour qui l'observe avec gourmandise, et chaque regard est alors une naissance ; mais aussi, le monde est beau pour qui n'oublie pas qu'il faudra bientôt tout quitter, et chaque regard devient un adieu. »

Où commence la Terre

La Franc-Maçonnerie, qui existe depuis environ trois cents ans, sous sa forme sociale, a suscité un grand nombre de livres et de brochures, qui se bornent le plus souvent à relater des faits et à préciser des dates. En revanche, le livre de Fernand Tourret explique pourquoi et comment s'est constituée la Maçonnerie, comment elle a duré, résisté à tant de traverses et avec une si grande force tant en Europe qu'en Amérique. Il cherche surtout à saisir les raisons de sa permanence. Les origines, l'histoire, l'idéologie, les rites maçonniques, autant de points que Fernand Tourret aborde, plus en sociologue qu'en historien.

Clefs pour la franc-maçonnerie

Luc Decaunes. Né à Marseille, 1913. Origines très modestes. Études à Toulouse. Venu à Paris en 1931. Aucun contact avec les milieux littéraires jusqu'en 1935. Parti soldat en 1938, ne quittera le triste uniforme qu'en 1945, à son retour de captivité. A publié plusieurs recueils de poèmes : L'Indicatif présent, A l'oil nu, L'air natal. Poèmes militants, Le Droit de regard, etc... ; deux romans : Les Idées Noires, Je ne regrette rien, et un essai : Charles Baudelaire. En 1935, fonde, avec de jeunes camarades, la revue de Culture Révolutionnaire Soutes qui paraîtra jusqu'à son départ au régiment. Reprend aujourd'hui cette revue dont il estime qu'elle est une nécessité dans la confusion et le mensonge des temps présents. Collaboration régulière aux « Cahiers du Sud ». S'intéresse beaucoup aux problèmes de la Radio. A donné de nombreuses émissions à la R. D. F., de 1945 à 1950. N'a jamais séparé le combat poétique et critique de la cause du prolétariat et de son émancipation matérielle et morale.

L'amour lui-même

Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

Le feu défendu

Le Club de Rome et le Chef de l'État l'ont affirmé : nous entrons dans l'ère du "mondialisme", ou plutôt de la "mondialisation" des problèmes. Mais cette prise de conscience, loin d'annoncer le temps des "conciliations idylliques", éclaire de nouvelles formes de contradictions et de conflits. Aux manifestations classiques de la puissance, les modernes nations de proie préfèrent des actions plus discrètes dans les arènes politiques nationales ou les confrontations économiques internationales. Le but de ce livre est donc de montrer comment et pourquoi les impérialistes demeurent, et qu'il appartient aux citoyens des temps nouveaux de rejeter les combinaisons de l'équilibre et la diplomatie du "réalisme". C'est de nous que dépend, finalement, l'approfondissement, par-delà les frontières, de l'exigence démocratique.

Impérialismes et démocratie

Clefs pour la Publicité a pour ambition de faire découvrir la publicité de l'intérieur ; c'est-à-dire à la lumière du comportement et des soucis de ceux qui la font : les publicitaires. C'est une approche à la fois didactique (il faut classer les "objets humains" à analyser) et qui récuse le didactisme (il ne s'agit pas de faire un cours sur la publicité). La publicité et sa clef se trouvent dans la langue. Charles Autrand a voulu exprimer le meilleur sans cacher les excès ; sachant bien que l'un et les autres ont pour limite une certaine liberté d'examen, dont on ne dira jamais assez qu'elle règne ou peut régner si elle ne gouverne pas !

La publicité

Il y a trente ans mourait Paul Éluard grand poète surréaliste rallié, par le biais de la Résistance, au communisme le plus orthodoxe. Du sanatorium de Clavadel aux tranchées de 1914, du Paris dadaïste au Paris de l'Occupation, de l'exaltante intransigeance surréaliste aux tournées de propagande du Combattant de la Paix épuisé et abusé, la vie d'Eluard trace une ligne ardente et douloureuse, mais brisée, dont l'érotisme le plus charnel et l'attrait de l'anéantissement sont les deux pôles convulsifs. Utilisant abondamment lettres, témoignages, articles critiques, mais également des fragments de l'oeuvre poétique toujours cités en situation, le livre de Luc Decaunes entend n'éviter aucun des problèmes posés par cette existence. C'est à la fois un poète de génie et un homme de notre temps qui sont ici mis en question.

Paul Éluard : l'amour, la révolte, le rêve

Luc Decaunes. Né à Marseille, 1913. Origines très modestes. Études à Toulouse. Venu à Paris en 1931. Aucun contact avec les milieux littéraires jusqu'en 1935. Parti soldat en 1938, ne quittera le triste uniforme qu'en 1945, à son retour de captivité. A publié plusieurs recueils de poèmes : L'Indicatif présent, A l'oeil nu, L'air natal. Poèmes militants, Le Droit de regard, etc... ; deux romans : Les Idées Noires, Je ne regrette rien, et un essai : Charles Baudelaire. En 1935, fonde, avec de jeunes camarades, la revue de Culture Révolutionnaire Soutes qui paraîtra jusqu'à son départ au régiment. Reprend aujourd'hui cette revue dont il estime qu'elle est une nécessité dans la confusion et le mensonge des temps présents. Collaboration régulière aux « Cahiers du Sud ». S'intéresse beaucoup aux problèmes de la Radio. A donné de nombreuses émissions à la R.D.F., de 1945 à 1950. N'a jamais séparé le combat poétique et critique de la cause du prolétariat et de son émancipation matérielle et morale.

Où commence la Terre

Résumé

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