La fille du magnat américain Theodore Racksole veut un steak et une bière, mais un palace d'un si haut standing que le Grand Hôtel Babylon ne saurait s'abaisser à des mets aussi vulgaires. Qu'à cela ne tienne : Racksole rachète donc l'hôtel.
Mais le milliardaire ne s'attendait pas à ce que la gestion hôtelière soit semée de tant d'embûches : la réceptionniste disparaît, le maître d'hôtel démissionne, un jeune diplomate est trouvé mort et son corps est subtilisé. Et que devient donc le prince Eugène, qui devait descendre au Grand Hôtel Babylon et dont personne n'a de nouvelles ? Les énigmes s'accumulent et des machinations internationales semblent s'ourdir dans les corridors chics du palace.

Le grand hôtel Babylon

Tout a commencé près des marches de Riceyman à Londres, dans la librairie de M. Earlsforward. Au moment où Mme Arb a poussé la porte pour acheter un livre, le cour du libraire s'est mis à battre intensément. Quelques jours plus tard, ils se sont mariés.

Mais l'amour-éclair d'un libraire trop avare s'est mué en peur du manque. Mme Arb est dépensière. Elle a engagé une bonne qui mange trop et qui laisse les chandelles se consumer toute la nuit. Vêtements, chauffage, lumière, nourriture : chaque sous dépensé est pour M. Earlsforward aussi douloureux qu'un coup de poignard en plein cour...

Passion froide et vice destructeur, ce roman dévoile un homme en proie à l'avarice extrême. Il s'agit d'une peinture du Londres du début du XXe, d'une satire des mours, et d'un thriller sombre et sanglant d'un grand écrivain.

Arnold Bennett (1867-1931) est un écrivain britannique. D'abord journaliste, son premier livre « L'Homme du Nord » connaît un succès retentissant. Il devient éditeur en chef de son magazine, et rédige lui-même les feuilletons qu'il y propose : ainsi paraît « The Grand Babylon Hotel ». Il décide alors de se consacrer à la littérature. Il s'installe à Paris où il est influencé par Maupassant. Il deviendra connu pour « Enterré vivant ».

L'Escalier de Riceyman

Henry Earlforward, a shabby Clerkenwell bookseller, has retired from life to devote himself (and his wife Violet) to a consuming passion for money. Miserliness, long disguised as procrastination, can become a fatal illness. Bennett's bleak story is saved, however, by the Earlforwards' maid Elsie: buxom, warm, ignorant, and sublime in her spontaneous greed for life. Riceyman Steps is a modernist masterpiece; a profound psychological and symbolic exploration of the forces of love and death.

L'escalier de Riceyman

S'il se contentait de nous narrer la destinée heureuse-malheureuse, tragique et commune d'Anna Tellwright, ce roman aurait déjà la valeur d'un document à la fois historique, sociologique et psychologique exceptionnel. D'une dureté impitoyable sous les apparences de la charité religieuse et de la respectabilité, une société puritaine s'organise autour de l'accumulation des richesses, avec son cortège de perversions et de névroses. Dans ce haut-lieu de la céramique que sont les "Potteries" du Staffordshire, Anna, tyrannisée par un père digne de l'Harpagon de Molière, mène une vie de soumission et de compromis. Les injustices de la condition féminine et les souffrances personnelles ont rarement été perçues et dénoncées avec autant d'acuité. Cette fiction romanesque allie le singulier à l'universel au travers de personnages vrais parce que faux, ambivalents, contradictoires.

Anna, malgré tout

La fille du magnat américain Theodore Racksole veut un steak et une bière, mais un palace d'un si haut standing que le Grand Hôtel Babylon ne saurait s'abaisser à des mets aussi vulgaires. Qu'à cela ne tienne : Racksole rachète donc l'hôtel. Mais le milliardaire ne s'attendait pas à ce que la gestion hôtelière soit semée de tant d'embûches : la réceptionniste disparaît, le maître d'hôtel démissionne, un jeune diplomate est trouvé mort et son corps est subtilisé.Et que devient donc le prince Eugène, qui devait descendre au Grand Hôtel Babylon et dont personne n'a de nouvelles ? Les énigmes s'accumulent et des machinations internationales semblent s'ourdir dans les corridors chics du palace.

Le Grand hôtel Babylon

Priam Farll est un peintre de génie qui a choisi la solitude pour échapper au fardeau de la gloire. Quand il revient à Londres, c'est dans un meublé obscur qu'il se réfugie en compagnie de son majordome. La mort inopinée de ce dernier lui offre une occasion de s'effacer pour toujours : il endosse l'identité de celui-ci et livre la dépouille du domestique aux pompes et circonstances d'un enterrement grandiose. Mais le voilà condamné à supporter le passé d'un homme dont il ne savait rien et à improviser son futur. Le jeune cinquantenaire ("l'âge le plus romanesque et le plus tendre de tous les âges pour un homme"), plutôt innocent dans le domaine des sentiments, va devoir se rendre au rendez-vous galant prévu par son domestique et en assumer les conséquences... Comédie de moeurs aux merveilleux ressorts dramatiques, satire acide sur le monde de l'art, Enterré vivant est aussi une formidable démonstration des qualités d'observation, de style et d'humour d'un auteur britannique trop peu connu des Français. Son personnage, divin naïf à sa façon, est une réjouissante figure de la prose anglaise du début XXe siècle. Il est urgent de la redécouvrir et de se laisser séduire par son charme et ses subtiles analyses.

Enterré vivant - Occasion

La fille du magnat américain Theodore Racksole veut un steak et une bière, mais un palace d'un si haut standing que le Grand hôtel Babylon ne saurait s'abaisser à des mets aussi vulgaires. Qu'à cela ne tienne : Racksole rachète donc l'hôtel.

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This book is the final volume in the Clayhanger trilogy, following   Clayhanger and Hilda Lessways. In many ways this is the most accomplished of the three novels.  
Enoch Arnold Bennett  (1867-1931) was a British novelist, playwright, critic, and essayist whose major works form an   important link between the English novel and the mainstream European   realism.

These Twain (Unabridged)

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Content :
A beautiful young girl, was a typist, though not a contented typist. She yearned after a high, impossible ideal, which involved all the more vulgar   luxuries so easily obtainable in exchange for cash.
The typewriting office at which she was employed had been started by Felix   Grig, a middle-aged man of means, as a hobby for his spinster sister. Miss   Grig suspected that Felix was more interested in Lilian than he ought to be ;   therefore, she gave Lilian the sack. But this ruse was unsuccessful, for   Felix invited Lilian to dine at the expensive restaurant of her dreams and   suggested a little trip to the Continent. Lilian accepted with alacrity and   off they went. Thereafter, chapters celebrating the delights of prosperous   indolence on the Riviera. Unhappily, after a few days of this delicious   existence Felix catches a cold and Lilian discovers that she is going to have   a baby. Felix's cold becomes pneu- monia ; but pneumonia or not, he gets up,   marries Lilian, makes a will leaving her everything, and dies. Lilian, having   assisted at the usual ceremonies, returns to England and lives happily or   unhappily ever afterwards in Felix's town house.
Arnold Bennett (1867-1931) was an English journalist, novelist, and writer.   After working as a rent collector and solicitor's clerk, Bennett won a   writing contest which convinced him to become a journalist. He later turned   to the writing of novels, including his most famous Clayhanger and Anna of   the five towns.

Le grand hôtel Babylon

Résumé

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