Cool, fiable et efficace, John Keller est le tueur à gages préféré de tous. L'épouse qui gêne, la star du sport vieillissante, l'associé en affaires véreux, aucune victime ne le fait reculer. Pour lui, il ne s'agit pas de liquider tel ou tel, mais de résoudre un problème, qui, évidemment, n'a rien de personnel. Un contrat après l'autre, Keller sillonne les États-Unis et travaille avec honneur. Mais, aussi bon soit-il, il n'en est pas moins homme et se sent parfois bien seul et en proie au doute. Tuer le psychologue, le chien, la femme... à la longue, c'est un peu lassant et la retraite semble attrayante. Jusqu'au jour où, hélas, il doit se faire une raison : la retraite coûtant cher, il faut gagner de l'argent... et donc recommencer à tuer, tuer et tuer. Intelligence des histoires, écriture d'une malicieuse férocité et humour à la hache, ce nouvel épisode de la saga Keller est tuant d'humanité.

Le blues du tueur à gage

DER EINBRECHER, DER WIE MONDRIAN MALTE »Der umtriebige Lawrence Block jongliert fast gleichzeitig mehrere Serien und wendet sich inDer Einbrecher, der wie Mondrian malte einmal mehr Bernie Rhodenbarr zu. Bernie ist derEinbrecher des Titels - und einer der geschicktesten in New York. Doch trotz seines Geschicksgerät er unverschuldet immer wieder in Schwierigkeiten. Es ist, als würden die wuchtigenSchläge des Golfers Jack Nicklaus ein ums andere Mal in einem Erdhörnchenloch auf demFairway landen. Der Kater von Bernies Freundin wird entführt und die Täter verlangen zunächst eineViertelmillion Dollar Lösegeld. Für einen Kater? Es stellt sich heraus, dass Bernie für dieBefreiung des Tiers einen Mondrian stehlen soll. Bevor ihm das gelingt, gerät er unterMordverdacht, und schließlich kommt es zu einer schönen, altmodischen Konfrontation, bei derBernie all die üblichen Verdächtigen und die Polizei versammelt, damit sie unserem Heldendabei zuzusehen, wie er etwas aus dem Nichts herbeizaubert. Versuchen Sie nicht, die Handlungim Detail nachzuverfolgen, das wird Sie nur verwirren. Aber der Schreibstil ist brillant undraffiniert, mit einem Hauch von Donald Westlake, und das Buch macht eine Menge Spaß.« ~ Newgate Callendar in The New York Times »Im fünften Bernie-Rhodenbarr-Krimi bekommen wir es mit seinem bisher kompliziertesten Fallzu tun. Bernie sucht einen Mr. Onderdonk auf, der ein abstraktes Gemälde von Mondrian imWert von einer Viertelmillion Dollar über dem Kamin hängen hat. Das ist aber zunächst ehernebensächlich, denn Bernies eigentlicher Grund für den Besuch war, in das Gebäude zukommen, um dort teure Briefmarken aus einer anderen Wohnung zu stehlen. Am nächsten Tagwird der Kater seiner Freundin Carolyn entführt und die mysteriöse Frau, die dafürverantwortlich ist, will, dass Bernie einen ähnlichen Mondrian aus einem New Yorker Museumstiehlt. Bernie findet keine Möglichkeit, dies zu tun, und beschließt, dass das Gemälde inOnderdonks Wohnung ein angemessener Ersatz wäre. Also bricht er dort ein, nur umfestzustellen, dass das Gemälde mittlerweile von jemand anderem gestohlen wurde. Verwirrend? Das ist nur der Anfang. In dieser verwickelten Geschichte gibt es ungefähr so vieleMondrians wie Carolyns unglückseliger Kater Leben hat. Dazu kommen noch eineBriefmarkensammlung, zwei Leichen, ein exzentrischer Maler, ein auf Bibliothekenspezialisierter Bücherdieb, ein korrupter Polizist, ein Versicherungsbetrug und drei attraktiveFrauen mit falschen Identitäten. Außerdem muss sich Bernie nicht weniger als viermal unerlaubt Zutritt zum uneinnehmbarstenWohngebäude von New York City verschaffen ... oder fünfmal? Ehrlich gesagt, mir ging derÜberblick verloren. Als ich das Ende las, dachte ich zuerst, ich hätte einige Lücken in der Handlung entdeckt, abernachdem ich einige der wichtigen Kapitel noch einmal durchgegangen war, wurde mir klar, dassBlock alle losen Enden perfekt zusammengefügt hat. Was ein ziemliches Kunststück darstellt.« ~ Craig Childs

Der Einbrecher, der wie Mondrian malte - Bernie Rhodenbarr, #5

A l'heure du numérique, difficile de gagner sa vie avec une modeste boutique de livres anciens et d'occasion sur la 11e Rue Est de New York... Heureusement, Bernie Rhodenbarr a d'autres atouts dans sa manche. Cambrioleur chevronné, on fait souvent plus volontiers appel à lui pour ses talents de crocheteur de serrures que pour ceux de bouquiniste. Mais lorsque u M. Smith n, un mystérieux collectionneur, lui propose une petite fortune pour plusieurs vols (incluant aussi bien le manuscrit de L'Etrange Histoire de Benjamin Button de F. Scott Fitzgerald que d'inestimables cuillères en argent), Bernie ignore dans quelle histoire improbable il met les pieds. Car, pendant ce temps, une riche vieille dame a été retrouvée morte à son domicile, apparemment terrassée par une attaque lors d'un cambriolage qui aurait mal tourné. Toutefois les raisons de son décès ne sont pas si évidentes, et l'expertise de Bernie est également requise par son meilleur ennemi, le policier Ray Kirschmann, afin de l'aider dans son enquête... Voleur rémunéré et détective amateur, notre (anti-)héros trouve en outre des messages rageurs sur la porte de la librairie qu'il est bien obligé de délaisser... Y aurait-il encore des gens qui lisent ?

Le voleur qui comptait les cuillères

A partire dagli anni Settanta, Lawrence Block ha scritto romanzi e brevi storie - più volte premiate - che hanno come protagonista Matthew Scudder. Ora che egli e il suo detective sono più vecchi di mezzo secolo, l'autore ha accettato di scrivere un libro sulla vita del suo personaggio. Ma ha deciso di non essere la persona adatta per quell'incarico. Come ha detto Block: "Com'era la famiglia di Matt? Come ha trascorso l'infanzia? Che cosa lo ha portato alla polizia di New York, e come è passato dalla Scuola reclute al distintivo dorato da detective? Chi lo ha influenzato e quali sono state le esperienze che l'hanno reso l'uomo che conosciamo? Erano domande importanti, e vi erano sicuramente storie da raccontare, ma non voleva dire che fossi io la persona adatta a farlo. Se serviva una biografia di Matt Scudder, se la sarebbe dovuta scrivere lui stesso". Così Block ha affidato l'incarico al suo personaggio di fantasia più duraturo, e il risultato - L'autobiografia di Matthew Scudder - è un documento straordinario, allo stesso tempo un convincente Bildungsroman e l'indispensabile coronamento di una serie eccezionale. Dal suo debutto nel 1976 in Le colpe dei padri, Matthew Scudder è invecchiato in tempo reale; così come, in modo  sorprendente, è invecchiato il suo creatore. Lawrence Block ha compiuto 84 anni il 24 giugno 2022, mentre Scudder ha raggiunto lo stesso traguardo il 7 settembre. L'Autobiografia di Matthew Scudder dimostra in modo chiaro e irresistibile che nessuno dei due ha perso neppure un colpo. Lawrence Block, nominato Grand Master dalla Mystery Writers of America, è stato più volte vincitore dei premi Edgar Allan Poe e Shamus; tra i riconoscimenti alla sua carriera, il Diamond Dagger della UK Crime Writers Association. "Essenziale per i lettori di Lawrence Block. Non solo questo libro amplifica il suo popolarissimo personaggio di investigatore privato, Matthew Scudder (oggetto di 17 romanzi, numerosi racconti e 2 adattamenti cinematografici); ma mette anche in mostra l'incredibile versatilità di Block, portando una nuova prospettiva alla narrativa poliziesca, quando Scudder riflette sul corso della sua vita e sulle sofferenze, oltre che sulle morti, che l'hanno costellata".                                                      ~David Morrell, autore del bestseller del New York Times MURDER AS A FINE ART

L'Autobiografia di Matthew Scudder - Matthew Scudder, #20

«Si j'avais dit à ma soeur que j'étais mourant, elle serait peut-être encore en vie.» L'homme qui parle à Matt Scudder est condamné par un virus. Il a l'intime conviction que son beau-frère a massacré sa femme et l'idée même qu'il puisse s'en sortir lui est inconcevable. Il est également sûr qu'il recommencera. Lui ou ses complices, ces autres fous à l'apparence si banale. Vertus publiques, vices cachés... Matt Scudder, lors de son enquête, croisera le geste d'un homme recoiffant tendrement les cheveux de son fils. Ce geste, il l'a déjà vu... Lorsque les circonstances de la scène lui reviendront brutalement en mémoire, il basculera vers l'indicible.

Une danse aux abattoirs : une enquête de Matt Scudder

L'infâme cambrioleur/bouquiniste Bernie Rhodenbarr a juré de ne plus pénétrer chez autrui. Lorsqu'il apprend que les Gilmartin se rendront au théâtre un soir de la semaine suivante... il lutte, essaie de penser à autre chose. La tentation revient lorsque la belle Gwendolyn Cooper l'informe que les Nugent sont partis en Europe et que donc... C'en est trop, Bernie capitule, Mais dans l'appartement, c'est un cadavre qu'il découvre. Son vieil ennemi, l'inspecteur Ray, l'attend chez lui et l'arrête. Bernie va devoir prouver son innocence... Après dix ans d'absence, Bernie est de retour, et Lawrence Block signe ici un chef-d'oeuvre d'humour et de savoir-faire romanesque.

Le Blues du libraire

Quand Kenan Khoury reçoit un coup de fil anonyme exigeant une rançon s'il veut revoir sa femme en vie, il n'hésite pas une seconde à payer. Mais c'est dans le coffre d'une voiture et sous forme de pièces détachées sanguinolentes que notre homme la retrouve. Le problème est que Khoury, dealer notoire de Brooklyn, veut rester loin du regard de la police. C'est donc tout naturellement qu'il fait appel au célèbre détective privé et ancien flic alcoolique Matt Scudder. A l'aide d'acolytes hauts en couleur comme Manhattan en regorge - un apprenti rappeur, de jeunes hackers, sans oublier la belle Elaine -, Matt se jette corps et âme dans une enquête qui fait rapidement surgir de nouvelles pièces d'un puzzle macabre, bien plus complexe que prévu. Et lorsqu'une autre femme disparaît, c'est une course contre la mort qui s'engage...

Balade entre les tombes

Pourquoi diable la belle Ilona décide-t-elle un jour d'entrer dans la librairie du bouquiniste-cambrioleur Bernie Rhodenbarr plutôt que dans une autre ? Et pourquoi l'invite-t-elle ensuite au cinéma où l'on passe une rétrospective Bogart ? Pour qu'il tombe amoureux d'elle ? Et si, plus prosaïquement, elle couvrait des opérations bancaires louches destinées à financer une cause nationaliste perdue d'avance ?

Tel est le dilemme auquel est confronté Bernie lorsqu'il fait le lien entre cet émoi qui le trouble et la visite d'un certain Hugo Canlemas qui, moyennant finances, l'a prié de voler un porte-documents frappé d'une couronne royale.

C'est alors que de bien sinistres personnages surgissent d'un passé, certes d'opérette, mais où l'assassinat et la corruption étaient monnaie courante...

Le Bogart de la cambriole

Sometime in 1953, I knew with unusual certainty what I intended to do with my life. I would become a writer. I was then 15 years old, and the next several years were to prove eventful. I went to college, I got a summer job at a literary agency and dropped out of college to keep it, I sold two dozen short stories and articles to national magazines, and I completed a novel. By the time I was 25, I had a wife and two daughters and a house in a suburb. I had published over fifty books. Most of these bore pen names, and for a time I resisted acknowledging my early pseudonymous work. Then, in one astonishing and feverish week in 1994, I recalled those early years in fifty thousand words of memoir. A publisher contracted to bring out my memoir once I'd completed it. Instead I put it on a shelf and never looked at it again, and after a few years I bought it back from the publisher. Early in 2020, I had a fresh look at A Writer Prepares. Then I went back to work. It would occupy me, off and on, for the balance of the year. By the time I was ready to stop, I'd written about my life as a writer well into 1966, when I'd completed The Thief Who Couldn't Sleep; it was the first of eight books I would write about a fellow named Evan Tanner. According to A Trawl Among the Shelves, Terry Zobeck's exhaustive bibliography of my work, 2020 also saw the publication of my 209th book, Dead Girl Blues. It has been a long life, and seems to have been a busy one. A Writer Prepares is, for better or for worse, an undeniably curious book. My wife, a casual student of hagiography, loves the story of the church officials who took a long-delayed inventory of their collection of relics. They were surprised to discover that they possessed not one but two heads of John the Baptist. How could this be? They considered the matter until the explanation became clear: one was John's head as a young man, the other his head as an old man. A Writer Prepares, an examination of the first quarter century of a writer's life, is the work of two writers. There's the middle-aged fellow who wrote about half of it at a blistering pace in 1994, and there's the octogenarian who finished the job another quarter century later. The older fellow brought less raw energy to the task, and his memory is a long way from infallible, but one can only hope he's offset these losses with a slight edge in judgment, in perspective, in maturity. (I was about to add wisdom, but that might be a bridge too far.) I suspect this book's natural audience consists largely of those of you who are already enthusiastic readers of my work. And it seems likely that the book will get a favorable reception from persons who are somewhere in the process of finding themselves as writers. But I'm happy to let the the book find its true audience.  A very comforting aspect of publishing A Writer Prepares now rather than twenty-five years ago is that I'm so much less invested in its reception.

Le blues du tueur à gage

Résumé

Plus de livres de Lawrence Block

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques