Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.

La classe du matin

L'écriture, miroir de l'âme - Méthode pratique de graphologie en 15 leçons. Nouvelle édition revue et augmentée avec de nombreuses illustrations et 8 reproductions d'autographes

Yododo

Le geste des hommes - Poèmes libres

« Au long de ce roman sensible, où les nuances entre l'amitié et l'amour sont aussi indécises qu'entre l'intoxication de l'ennemi et la trahison, l'absurde est sans cesse palpable et le sens de l'absurde n'est pas la caractéristique du « héros positif ». (Ce qui ne veut pas dire, mais pas du tout, qu'il ne peut pas y avoir quelque chose de positif dans un héros !) « Ainsi, ce roman rejoint, comme témoignage transposé, les chroniques les plus sensibles des années horribles et les transcende. Avec ses héros, qui ne sont plus des héros, ni héros de guerre, ni héros « littéraire », il débouche sur l'héroïsme majeur de la seule condition humaine. »

On l'appelait Tamerlan

La tulipe orageuse

Amours 1900 - L'amour et l'Histoire

1925 qui, hier, ne soulevait que sarcasmes, attendrit brusquement. On dit rétro, pour le cinquantenaires des Arts décos. Va pour le rétro !Joséphine Baker, Charlot, la Violettera, les pantalons à pattes d'éléphant, le franc quat'sous, Valentino reparaissent dans notre mythologie. Einstein le surréalisme, Picasso l'Auguste et Cocteau le clown blanc, Stravinski, Freud, ne l'ont pas quittée. Avec la robe-chemise lamée, la fille retrouve le maquillage de la paupière inférieure, ce cerne, de sa mère, la Garçonne. Van Dongen remonte à l'Hôtel Drouot." Nous descendions vers 1939 comme 1900 descendait vers 1914, glissant dans l'abîme comme dans un plaisir ", a écrit Paul Morand, le magicien de 1900. Nous ne savons pas encore vers quoi nous descendons et nous n'y descendons pas gaiement, ce sont les seules différences notables.A.L.

Paris 1925

Chronique de la Horde est son premier roman. Le style syncopé, cursif s'apparente au récit. Dialogues et images s'interpénètrent. Et lorsque l'auteur use du flash-back, et découpe ses chapitres comme on monte un film, on ne doit pas se formaliser, il s'agit d'une manière de faire qui convient parfaitement à l'histoire qu'il raconte. Il évoque une approche de la sauvagerie, un attouchement de nouveaux temps barbares. Une telle perspective ne pouvait être évoquée qu'avec excès, et à l'aide d'allégories. La violence ne peut être illustrée qu'avec violence. Deux mondes s'opposent, deux sociétés : la Horde, où les hommes renouent avec le sens tribal, et le Bunker, où ses membres cautionnent les restes de la civilisation. Pourquoi l'Étranger, le héros, cet homme redevenu sauvage à sa façon, éprouve-t-il le besoin de relater la fabuleuse errance, d'écrire la Chronique de la Horde ? Comment la folle équipée s'achèvera-t-elle ? Ce livre est l'histoire d'un temps suspendu au-dessus de nos têtes.

La classe du matin

Résumé

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