Grand-pere mystere...- lot de 5 romans

L'odeur de la mer

"  - Ce soir on fête l'anniversaire de Maman ! Papa lui offrait un cadeau mais nous, on n'a jamais pu. Ce sera la première fois.
- Et tu crois qu'on va pouvoir aujourd'hui plus qu'avant ? Tu lui donnes toute ta paye.
- Pas tout à fait.
Eliane récupérera les pièces dans le trou du parquet.
- C'est pas énorme, dit-elle en les montrant, mais 
 Ça devrait suffire pour lui payer un petit quelque chose. "
La guerre d'Eliane se déroulait pendant la guerre de 1914-1918, Eliane a maintenant dix ans. Sa mère, veuve, de guerre, a trouvé un emploi au bateau-lavoir de Blois et vit avec un ouvrier chez le maréchal-ferrant, et son fils. Eliane va encore connaître de nouvelles épreuves, mais finira par croiser une promesse de bonheur.

Le bonheur d'Éliane - Occasion

« Le nouvel instituteur s'est campé devant la porte. À cet instant, chacun de nous pensait:Toi, mon poulet, tu veux nous faire travailler. Eh bien! tu vas en voir des vertes et des pas mûres! » Vermillon et ses copains comptent bien décourager leur nouveau maître comme ils ont découragé tous les autres. Seulement, la Taupe, comme ils le surnomment, n'est pas un professeur ordinaire:non seulement il ne crie pas, mais il aime plaisanter... et même jouer au foot avec eux! Plus aucun élève n'a envie de chahuter, d'autant que la Taupe leur propose de réaliser leur rêve:découvrir la mer...

L'odeur de la mer + un cahier pour aller plus loin

L’album présente un journal intime, le narrateur est animé de pulsions de violence à l’égard d’un homme de la rue. Ce « type » ne lui a rien fait de spécial. Juste, il ne sait pas sourire, ni rêver, ni aimer. Le narrateur lui jette la pierre, au sens propre. C’est une vieille dame qui la reçoit. Une dame qui raconte des histoires et saura, par son sourire et son regard, transformer la haine en tolérance.

Le type : pages arrachées au journal intime de Philippe Barbeau

Blois, septembre 1967. Philippe entre en troisième, 2 ans après avoir redoublé sa cinquième, année du décès de son père, ouvrier maçon. Témoin obligé de la souffrance d’Éliane, sa mère, il ne fait aucun effort pour l’aider. Mais celle-ci s’accroche, tenue par la promesse faite à son mari de donner un bon métier au dernier de leurs neuf enfants. Par chance, des enseignants s’intéressent à Philippe. Ces derniers alors vont lui dispenser gratuitement des cours particuliers puis décider de le présenter au concours d’entrée à l’École normale. Éliane, consciente de la médiocrité scolaire de son fils, accepte finalement l’aide sans y croire, presque à contrecoeur. Un roman autobiographique qui met en avant d’une part les qualités humaines et professionnelles de certains enseignants et d’autre part "l’ascenseur social" à travers le concours d’entrée à l’école normale.

Je lui ai promis

En replaçant le lecteur au coeur des périodes difficiles de notre Histoire, les Romans de la Mémoire, fondés sur une information historique rigoureuse, proposés par la direction de la mémoire, du patrimoine et des archives du ministère de la défense, en partenariat avec les éditions Nathan, se veulent une contribution à son approche de la citoyenneté.

Dans la France de la Première Guerre mondiale, l'histoire d'une amitié entre deux jeunes hommes, l'un français, l'autre américain, confrontés aux deuils de la guerre. 


Fin 1917 à Noyers-sur-Cher. Charles est parti à la guerre et son jeune frère, Jules, quatorze ans s'inquiète de ne jamais le voir revenir. Il se lie d'amitié avec un jeune infirmier américain, John, membre du camp américain qui s'est installé dans la ville. Alors que Jules apprend, écrasé de douleur, la mort de son frère au combat, John part lui aussi pour le front. Jours et semaines passent. Jules guette des nouvelles de son ami, tandis qu'il tombe peu à peu amoureux d'une jeune voisine un peu plus âgée, Anne...

1917-1919 ; un frère d'Amérique

Qui a volé le cahier de doléances ? : Mars 1789, c'est la panique à la maison des Garnier : le cahier de doléances de la paroisse a disparu ! Bien décidée à aider son père, qui doit le transmettre en vue des états généraux, Antoinette entreprend de mener l'enquête. Puisque le cahier n'a pas pu se volatiliser, il a surement été volé... Mais qui donc aurait intérêt à garder secrètes les réclamations des villageois ? L'homme qui criait : Octobre 1831, à Arbois, petite ville du Jura, Louis n'est pas tranquille. Alors qu'il se rendait au collège avec son ami Jules, il a entendu d'épouvantables cris de douleur, à faire dresser les cheveux sur la tête. Si ce n'est pas une bête, alors qui donc a pu crier de la sorte ? II s'est passé quelque chose, Louis en est sûr...

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