Alors que Walter, le patriarche, vient de s'éteindre, le clan Langdon est réuni dans l'Iowa. Joe, le fils cadet, a décidé de reprendre la ferme de ses parents, mais ses frères et soeurs veulent conquérir leur liberté aux quatre coins des États-Unis. Couvrant trente ans de vie américaine, de 1953 à 1986, Jane Smiley, conteuse de génie, nous fait renouer avec le plaisir de la saga familiale. 
Après le succès de Nos premiers jours, Nos révolutions est le deuxième tome de la trilogie Un siècle américain.

Nos révolutions

" Le mariage est un tel mystère pour moi". Une longue nouvelle et cinq histoires courtes suffisent-elles à comprendre l'opiniâtreté de l'amour ?
Après Un appartement à New York et avant Portraits d'après nature et L'Exploitation, Chagrins reflète la partie intimiste de l'oeuvre de Jane Smiley.

Chagrins

Written with the grace and quiet beauty of her Pulitzer Prize-winning novel, Barn Blind is a spellbinding story on the classic American themes of work, love, and duty, and the lengths we will go to achieve success. The verdant pastures of a farm in Illinois have the placid charms of a landscape painting, but the horses that graze there have become the obsession of a woman who sees them as the fulfilment of every wish: to win, to be honoured, to be the best. Her ambition is the galvanizing force in Jane Smiley's first novel, a force that will drive a wedge between her and her family, and bring them all to tragedy .

Barn Blind

Un appartement à New York

Larry Cook possède une ferme prospère dans l'Iowa. Fruit du dur labeur de plusieurs générations, cette ferme est la fierté, le ciment, le coeur vivant de la famille. C'est en tout cas ainsi que la perçoit le fermier qui décide de transmettre à ses trois filles le flambeau de l'exploitation familiale. Chacune d'entre elles réagit alors différemment. Sur fond de modernisation de l'agriculture, la famille se déchire, les règlements de compte s'accumulent. L'héritage paternel se transforme en cadeau empoisonné, lourd des vieilles rancunes et des petites mesquineries, démultipliant les fêlures bien cachées en conflits irréconciliables. Et, comme le roi Lear, autre père de trois filles se défaisant de son royaume, Larry sombrera dans la folie.
Derrière la figure du père, contesté ouvertement pour la première fois, c'est le crépuscule d'un monde qui s'annonce.
Ce qui distingue cette histoire, c'est la manière dont l'auteur nous fait pénétrer l'intimité - au point de rendre le lecteur gêné de son indiscrétion - de ces pionniers en ce moment de crise, crise plus privée encore qu'économique. Avec cet art tout simple en apparence, de s'insinuer au plus profond des désespoirs secrets et des hontes cachées.

L'exploitation

En 1920, Walter et Rosanna Langdon rêvaient de bâtir une ferme prospère dans l'Iowa Et une famille. En cette fin de XXe siècle, que reste-t-il de leurs ambitions ? Les joies et les peines ont accompli leur oeuvre. Les guerres et la lame de fond de l'Histoire aussi. Ultime volet d'une prodigieuse épopée moderne, Notre tige d'or donne à voir tous les paradoxes de l'Amérique, de 1986 à 2019. Jane Smiley explore avec une formidable empathie les réverbérations de l'histoire sur l'âme humaine. Le lecteur referme le livre, ébloui par cette traversée aux côtés d'une famille ordinaire, si attachante.

Un siècle américain Tome 3

La nuit des groenlandais

Troisième volume de la trilogie de Jane Smiley, Un siècle américain, best-seller en Amérique et dans toute l'Europe. Dans ce dernier épisode avec la famille Landgon, les membres du clan doivent faire face à des changements sociaux, économiques et personnels profonds. On traverse alors main dans la main avec ces personnages attachants les années 80, les scandales des années 90, la montée du cynisme et la prise de pouvoir de Wall Street. Mais pour Jane Smiley, il ne s'agit jamais de se livrer à une rétrospective historique ou politique. Son prisme est celui de l'intime, de l'émotion, de la bouleversante fragilité de l'âme humaine face au monde.

Notre âge d'or (Un siècle américain : tome 3)

1981 : Ronald Reagan accède à la présidence des États-Unis, et son administration donne le coup d'envoi d'une véritable folie spéculative. Quelque temps après, dans un comté tranquille à quelques heures de route de New York, débarque Marcus Burns, ex-agent du fisc qui a senti le vent tourner et n'a qu'une idée en tête : s'enrichir au maximum, même, et surtout, aux dépens des autres. Souriant, beau parleur et manipulateur en diable, il va lentement tisser sa toile pour parvenir à ses fins. À lui tout seul, il incarne cette période de mirages, où le rêve américain semble à portée de tous, qui
va séduire Joe Stratford, le narrateur de l'histoire.
Fils unique de parents très puritains avec lesquels il entretient des relations cordiales mais superficielles, Joe est un homme sympathique, au physique avantageux et à la personnalité malléable, qui s'est toujours laissé porter par la vie.
Une dizaine d'années après les événements qui ont modifié le cours tranquille de son existence, il se souvient de l'escroquerie monumentale dont il a été la victime : alors divorcé proche de la quarantaine, agent immobilier consciencieux, il s'est embarqué dans des histoires qui lui ont totalement échappé.
Il franchit une première étape en cédant à la tentation d'une liaison avec une femme mariée, Felicity, soeur de sa défunte petite amie de lycée et fille de son père d'élection, Gordon Baldwin. Elle l'attire par son audace, et il s'engage
dans cette aventure sans prévoir qu'il y perdra forcément des plumes et quelques illusions.
À la même époque, il est séduit par Marcus Burns, qui joue sur tous les registres, de l'amitié complice au chantage affectif, et qui lui fait miroiter une fortune, symbole de la réussite ultime : la réalisation de tous les possibles. Avec lui, il se lance dans ce qu'il croit être une opération immobilière de grande envergure destinée à le rendre milliardaire. Dindon de la farce, bafoué, trahi, il retombera brutalement sur terre et sera obligé de repartir à zéro.
À travers cette histoire d'escroquerie de haut vol et de manipulation, Jane Smiley nous montre le triomphe des années 80, années fric, années de la poudre aux yeux et des coups financiers fumeux.

Nos révolutions

Résumé

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