L'étrangère

Leutnant Wilhelm Kasda wird frühmorgens von seinem ehemaligen Kameraden Bogner geweckt. Bogner hat Geld veruntreut und muss jederzeit damit rechnen, aufzufliegen. Er bittet Wilhelm Kasda um eine hohe Summe. Kasda ist bereit, durch eigenen Einsatz in der Badener Spielbank zu versuchen, die benötigte Summe zu beschaffen. Doch das Glück wendet sich gegen ihn. Statt eines Gewinnes häuft Kasda eine hohe Spielschuld auf, die kurzfristig zu begleichen ist. Kasda bittet nunmehr seinen reichen Onkel, ihm finanziell auszuhelfen.

In der Erzählung »Spiel im Morgengrauen« von 1926/27 zeigt Arthur Schnitzler die Rolle von Glück und Zufall, Schein und Sein, und die Erosion militärisches Ehrenvorstellungen durch die Macht des Geldes.

Spiel im Morgengrauen - Novelle

Mourir

In der Erzählung, die 1924 erschien, führt die Protagonistin, eine Wiener Anwaltstocher, einen inneren Monolog. 

Am italienischen Urlaubsort erreicht sie ein Brief und die Bitte ihrer Eltern, einen älteren Bekannten um finanzielle Unterstützung für den Vater zu bitten. Die Forderung nach Gegenleistung stürzt das Mädchen in einen schweren inneren Konflikt.

Fräulein Else - Band 87

Dès 1905, des bruits circulaient à Vienne sur une œuvre " licencieuse " qu'Arthur Schnizler, l'écrivain à la mode, avait dans ses tiroirs. Il s'agissait de La ronde qu'aucun théâtre n'osa alors monter et qui fut d'abord imprimé à compte d'auteur. Il fallut attendre 1921 pour que la pièce soit jouée à Vienne... Et le scandale fut incommensurable. Le lecteur aujourd'hui sera sans aucun doute beaucoup moins choqué mais tout autant séduit par cette ronde des sens et du cœur qui fait tournoyer le plus démocratiquement du monde demoiselles de petite vertu, soldats, soubrettes, fils de famille et belles aristocrates...

La Ronde

Le jeune Médard - Drame historique en un prologue et cinq actes

Ce Journal appartient pour l'essentiel aux années 1923-1926, durant lesquelles l'auteur travaille à ce petit chef-d'ceuvre qu'est La Nouvelle rêvée. Au premier plan, les problèmes du couple divorcé (Arthur Schnitzler et Olga se sont séparés en juin 1921), la relation aux enfants nés du mariage, les amitiés féminines de l'auteur sexagénaire. Soit une série de configurations psychologiques à caractère intime. En s'intéressant particulièrement au "demi-conscient". Arthur Schnitzler souligne sa différence avec un certain dogmatisme freudien, non sans rendre hommage, simultanément, à l'auteur de L'Interprétation des rêves. Le Journal lui-même porte les traces de la mélancolie, de la nervosité, du malaise clans la civilisation. Au-delà du noyau familial ou post-familial, il évoque, en pointillé, au fil des heures et des jours, la Vienne du défunt empire et de la République naissante. C'est ce qui donne à l'ensemble sa gravité historique, l'Histoire dont il s'agit là étant manifestement exposée, sous le regard de Schnitzler. à une incertitude combien moderne.

Journal (1923-1926) suivi de Lettres

"... Amour et mort sont les deux thèmes qui se marient dans ces nouvelles pour donner une musique enivrante, la musique de chambre des âmes baignées d'une indicible pénombre. La douleur y veille à côté de la joie, et la passion, presque toujours impure, y est secouée de fièvres mauvaises striées d'éclairs, en proie à des impulsions contradictoires. On s'aime et on se déchire à cause de la chair qui désobéit à la raison. Pour faire se rejoindre la raison, le sexe et la tendresse, il n'y a pas de solution, pas de sagesse pour Arthur Schnitzler, il n'y a que la mort [...], la mort très triste et très voluptueuse, enfin suivie du silence suprême. " F. B.

L'étrangère

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