L'inconscient travaille sans cesse, infatigablement. Freud dessine dans cet ouvrage de 1901 d'autres chemins vers cette part qui échappe à notre contrôle et qui, par ses manifestations, traduit nos désirs.

Psychopathologie de la vie quotidienne

"Woe to you, my Princess...I will kiss you quite red & feed you until you are plump. & if you are froward, you shall see who is stronger, a gentle little girl who doesn't eat enough or a big wild man who has cocaine in his body. In my last severe depression I took coca again & a small dose lifted me to the heights." This lurid encomium to cocaine wasn't penned by an immature drug addict. It was written by Sigmund Freud, father of psychoanalysis, to his fiancee Martha Bernays. He frequently got kicks from cocaine. But as is clear from his newly compiled Cocaine Papers, his interest in the drug was scientific, not sensual. He sought for a miracle drug to benefit patients & make his reputation. He thought he'd found it in cocaine.  Freud's study of cocaine has been shrouded in myths, half-truths & speculation. Cocaine Papers sets the facts straight. Annotated by his daughter Anna, it presents the complete authoritative versions of his own writings on the drug, including several pieces never before published, along with the work of other early experimenters. He's revealed as not only a driven &, ultimately, tragic seeker for a panacea, but also as one of the pioneers of psychopharmacology, the science of using drugs to treat mental illness. In 1884, before beginning studies leading to the development of psychoanalysis, Freud was 28, a fledgling physician with a fiancee but without funds to wed. He'd been searching for a way to establish himself & gain the respect of colleagues. A paper by German physician Theodor Aschenbrandt seemed to provide the way. Conquistadores had noted the stimulant effect of coca leaves on Andean Indians. Aschenbrandt tried the drug on Bavarian soldiers & reported that it suppressed their hunger while increasing mental powers & capacity to endure strain.  Aschenbrandt's paper triggered Freud's studies. He obtained samples & tried it. It gave him an emotional lift, producing what he described as "normal euphoria." After that he used cocaine frequently with the same results. He coolly summarized his experiences in his notes: "You perceive an increase of self-control, possess more vitality & capacity for work. This result is enjoyed without any of the unpleasant aftermaths which accompany exhilaration thru alcoholic means." Freud continued to study cocaine's effects on himself & patients. He found it not only useful in overcoming depression but effective against some purely physiological complaints. He used it to treat stomach disorders & persistent coughing. He didn't administer it indiscriminately. Tho he initially believed it wasn't habit-forming, he found its effects on patients too unpredictable to justify widespread use. Tho he & some American physicians reported initial successes in treating morphine addicts, fellow physician Adolf Albrecht Erlenmeyer warned that cocaine was itself addictive, the "3rd scourge of mankind"—after morphine & alcohol. Freud realized Erlenmeyer was correct. His friend & patient, Ernst von Fleischl-Marxow, became the 1st morphine addict in Europe to be cured by cocaine. He was also one of the 1st to become dependent on it. This development dampened Freud's interest & helped turn his attention to the psychological theories that eventually won him fame.  Freud's studies are considered basic to psychopharmacology. But they didn't lead to the discovery of its most effective clinical use. He abandoned his interest in cocaine just after he suggested that a colleague, Karl "Coca" Roller, experiment with its use in easing the pain of eye surgery. It was Koller & not Freud who invented local anesthesia.--Time (edited)

Un Peu de Cocaïne pour me délier la langue

1927. Après avoir écœuré la morale bourgeoise en fouillant l'inconscient et en mettant à nu le rôle de la sexualité, Freud revient à la charge avec ­L'Avenir d'une illusion, saccageant le dernier bastion sacré : la religion - qui ne serait, selon lui, que la projection des névroses individuelles sur le monde extérieur, en une grande névrose collective. La société en ressort exaspérée, tourmentée, vexée. Pourtant, au-delà de l'outrage, c'est à une étude très fine du développement des religions et des civilisations que se livre le père de la psychanalyse dans ce texte, qui conserve aujourd'hui toute son impertinence.Texte intégralprésenté par Raymond BonhommeLES LIVRES QUI ONT CHANGÉ LE MONDEManifeste, traités ou déclarations, ils ont changé le cours de l'Histoire. Scandaleux ou visionnaires, ils ont transformé les consciences, suscité des controverses, fondé des disciplines, déclenché des révolutions. Points de rupture en leur temps, ils sont aujourd'hui des points de repère essentiels : Le Monde et les éditions Flammarion sont heureux de vous faire découvrir ou redécouvrir ces textes fondateurs.

L'avenir d'une illusion

Les textes concernant la psychanalyse écrits par S. Freud entre 1937 et 1939, en particulier le célèbre texte : L'homme Moïse, dans une nouvelle traduction des Ouvres complètes - Psychanalyse de S. Freud.

Oeuvres complètes - Psychanalyse - Volume 20, 1937-1939, L'homme Moïse ; Abrégé de psychanalyse ; Autres textes

Pourquoi certaines personnes ont-elles des fantasmes masochistes, et d'autres non ? D'où vient que l'on ait du plaisir à souffrir ? Quel sens donner au masochisme ?

Du masochisme

Trois essais sur l'identité juive, les racines de l'antisémitisme et ce qui fait un "grand homme". Le dernier livre de Freud, publié en 1939. Certains y voient son ouvrage le plus important, celui qui contient la clé de toute son oeuvre.

L'homme Moïse et la religion monothéiste - Trois essais suivi de Amenhotep IV

Sous le terme de "métapsychologie", proposé par Freud vers 1895, aux débuts de la psychanalyse, se trouve désignée "la psychologie qui mène au-delà (méta) du conscient". En 1915, l'heure est venue pour le créateur de la psychanalyse de présenter une synthèse de ses acquis. S 'il n'acheva jamais le grand traité qu'il projetait, sont demeurés les essais précieux que l'on trouve ici retraduits et présentés de façon à en montrer la genèse, la thématique et l'héritage. La pulsion et ses destins, le refoulement, l'inconscient : les concepts fondamentaux de la psychanalyse y sont définis et explorés avec rigueur et souplesse, tandis que le rêve et la mélancolie sont revisités de manière révolutionnaire. Le lecteur soucieux de s'introduire, un siècle plus tard, dans les arcanes de la psychanalyse fera ici la connaissance de la "sorcière métapsychologie". La pulsion et ses destins, le refoulement, l'inconscient : les concepts fondamentaux de la psychanalyse y sont définis et explorés avec rigueur et souplesse, tandis que le rêve et la mélancolie sont revisités de manière révolutionnaire. Le lecteur soucieux de s'introduire, un siècle plus tard, dans les arcanes de la psychanalyse fera ici la connaissance de la "sorcière métapsychologie".

Métapsychologie (1915)

Sigmund Freud gesammelte Werke Band 9: Das Ich und das Es. Der österreichische Arzt, Neurophysiologe, Tiefenpsychologe, Kulturtheoretiker und Religionskritiker war Begründer der Psychoanalyse und gilt als einer der einflussreichsten Denker des 20. Jahrhunderts. Seine Theorien und Methoden werden bis heute diskutiert und angewendet, aber auch kritisiert. In 'Das Ich und das Es' entwickelte Freud ein Modell der Psyche und ihrer Funktionsweise. Das Seelenleben wird nach diesem genetischen Strukturmodell durch die Beziehungen zwischen drei Instanzen bestimmt, die schrittweise auseinander hervorgehen: dem Es, dem Ich und dem Über-Ich.

Das Ich und das Es

En 1925, la princesse Marie Bonaparte se rend à Vienne pour consulter le Pr Sigmund Freud. Cette rencontre sera « le plus grand événement de ma vie », note l'arrière-petite-nièce de Napoléon Ier, princesse de Grèce et de Danemark. 

Durant quatorze années, ils échangeront près de neuf cents lettres jusqu'à la mort du fondateur de la psychanalyse, en 1939. Conservé à la bibliothèque du Congrès à Washington, cet ensemble de lettres est le dernier grand corpus de correspondance freudienne encore inédit. 

Passionnante de bout en bout, foisonnant d'informations sur l'introduction de la psychanalyse en France, cette correspondance raconte un monde appelé à disparaître au cour duquel deux protagonistes des plus étonnants évoluent. Car entre la princesse venue pour soigner sa dépression et l'un des savants les plus influents de son siècle, une amitié naît, qui dépasse bientôt le cadre de l'analyse. Leurs échanges donnent à voir un Freud tour à tour séduit, amusé, parfois lassé de cette patiente qui n'a de cesse de vouloir vivre pleinement sa vie amoureuse et questionne les conceptions freudiennes sur la femme à une époque où la quête du plaisir féminin reste profondément subversive. 

« La dernière des Bonaparte », comme elle aimait à se qualifier, loin d'être la disciple dévote que l'on a parfois décrite, témoigne au fil des pages d'une

liberté de pensée audacieuse. Quels que soient leurs désaccords, Freud verra en elle une élève loyale. De fait, elle ne le trahira jamais et mettra sa fortune au service de la Société psychanalytique de Paris (SPP), qu'elle contribua à créer et, avec l'aide de nombreux soutiens, se portera à son secours pour l'aider à quitter l'Autriche nazie en 1938.

Psychopathologie de la vie quotidienne

Résumé

Plus de livres de Sigmund Freud

Critiques

Ce livre n'a pas encore de critiques