Vingt ans apres

Le festin chez la comtesse Fritouille et autres nouvelles

Envoutes (les)

Yvonne, princesse de Bourgogne (Iwona, księżniczka Burgunda) est une pièce de théâtre de Witold Gombrowicz, publiée en 1938 et créée en 1957, à Varsovie. Définie comme une comédie par son auteur, elle conte l'histoire d'une jeune fille taciturne et apathique, Yvonne, que le fils du roi prend pour fiancée par défi et dont la passivité éveille les pulsions meurtrières de son entourage. Première pièce de Witold Gombrowicz, elle exprime déjà le problème de « l'anarchie illimitée de la forme », développé par l'écrivain dans la suite de son œuvre. Elle est la plus jouée et la plus populaire des pièces de son auteur. Plusieurs opéras en ont été tirés.

Yvonne princesse de Bourgogne

« Kismet è una parola turca che signifi ca "destino". Gombrowicz la scrisse, come fosse il sigillo posto a custodia della sua esistenza e insieme la sua inevitabile deriva, nelle pagine del diario privato: Kronos. Kronos come il dio del Tempo, Crono, che divorò i propri fi gli: un titolo in assonanza con il suo ultimo romanzo, Kosmos (Cosmo); l'Ordine e il Tempo, due elementi centrali della nostra esistenza: sfuggenti, indefi nibili, spesso in antitesi. Kronos è proprio un tentativo di puntellare il Tempo: di dare un Ordine al Caos. Il suo valore risiede nel fatto che ci permette di conoscere un Gombrowicz non "in posa", privo delle numerose maschere che amava indossare. L'autore registra il flusso della sua coscienza mescolando fatti privati e pubblici, un flusso spessodisordinato ma in cui, per esempio, gli elenchi deibrani musicali funzionano come una sorta di ossaturaalla quale si aggrappa tutto il resto. Nel "caotico" Kronos, Gombrowicz riesce a sorprendere senza risultare mai banale o scontato: è come se ci lasciasse un messaggio abbandonato in una bottiglia, consegnato in una forma non lavorata, essenziale. Il messaggio di uno scrittore geniale, a lungo non riconosciuto per il suo valore, tormentato dalle malattie e dalle ristrettezze, in lotta con il tempo che bruciava troppo rapidamente la sua vita sciupandone il desiderio dell'eterna giovinezza e frustrando le sue esuberanze; uno scrittore che seppe però trovare, oltre la disperazione, gli appigli per non affondare, regalandoci, anche con questo "diario privato", un bizzarro lascito e una testimonianza, dal profondo, della vita che ribolle e poi si spegne. » Francesco M. CataluccioIl Saggiatore prosegue la pubblicazione del corpus delle opere di Witold Gombrowicz avviata con Cosmoe presenta per la prima volta al lettore italianoKronos: selezionato ciò che è importante, creativo, dall'inutile e dallo sterile che c'è in ogni vita, Gombrowicz costruisce il suo passato, lo sublimaattraverso la sua arte, si assegna il futuro che spetta ai grandi.

Kronos

Le Journal de Gombrowicz a été publié pour la première fois en Pologne en 1986 dans son Oeuvre complète. Interdit pendant le régime communiste, il avait toutefois pénétré en Pologne sous le manteau, apportant à ses lecteurs l'oxygène de la liberté.Le Journal est l'oeuvre de Gombrowicz la plus personnelle, la plus polonaise mais aussi la plus universelle. La défense de son moi n'est autre que la défense de l'individu à une époque où l'on niait son existence.Démystificateur mais humaniste, iconoclaste mais moraliste, Gombrowicz a posé sur le monde un regard neuf : la peinture, la musique, la littérature, la philosophie, le communisme, le catholicisme, la jeunesse, les femmes, les Juifs, les Argentins, la douleur, l'agonie, la mort. On y trouve aussi des récits de voyage, des textes lyriques ou humoristiques. D'une richesse incomparable - autobiographie en mouvement, essai et oeuvre d'art -, le Journal de Gombrowicz occupe une place unique dans la littérature contemporaine.

Journal (t.1) : 1953-1958

Lexi - Textes 2

Waltchak, jeune professeur de tennis, se rend au coeur de la campagne polonaise près du château de Myslotch pour y entraîner Maya, une joueuse très prometteuse. Dans le train, il rencontre Skolinski, un historien d’art à la recherche des oeuvres oubliées du château. À peine arrivés, les deux hommes sont confrontés à des phénomènes très intrigants. Dans une atmosphère pesante, Waltchak et Maya entament une étrange histoire d’amour et de haine. De son côté, Skolinski découvre les secrets du château où habite un vieux prince prisonnier de sa folie et effrayé par une pièce prétendument hantée

Les envoutés

Gombrowicz's strange, bracing final novel probes the divide between young and old while providing a grotesque evocation of obsession. While recuperating from wartime Warsaw in the Polish countryside, the unnamed narrator and his friend, Fryderyk, attempt to force amour between two local youths, Karol and Henia, as a kind of a lewd entertainment. They become increasingly frustrated as they discover that the two have no interest in one another, and the games are momentarily stopped by a local murder and a directive to assassinate a rogue member of the Polish resistance. Gombrowicz connects these threads magnificently in a tense climax that imbues his novel with a deep sense of the absurd and multiplies its complexity. Gombrowicz is a relentless psychoanalyzer and a consummate stylist; his prose is precise and forceful, and the narrator's strained attempts to elucidate why he takes such pleasure at soiling youth creepily evoke authentic pride and disgust. Borchardt's translation (the first into English from the original Polish) is a model of consistency, maintaining a manic tone as it navigates between lengthy, comma-spliced sentences and sharp, declarative thrusts. - Publishers Weekly

Vingt ans apres

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