Compiègne, ses rues, ses cantons

L'Ardèche, les 339 communes

Ce très beau livre de 144 pages, tout en couleurs, entremêle cartes postales anciennes et photographies actuelles.
La ville de Rouen est vue sous un oeil original, à travers ses monuments, ses activités économiques, ses rues.
L'ensemble est illustré par des cartes postales du début du 20ème siècle et des photographies de 2014.
L'auteur vous invite à découvrir une très belle ville, dans un très beau livre tout en couleurs.

Cette collection « Promenade dans le temps » présente des lieux visités par des voyageurs et promeneurs. Plusieurs mois sont nécessaires aux auteurs pour s'imprégner de l'histoire d'une ville et la raconter, avec l'aide de textes courts et de nombreuses images. Toutefois, l'histoire des villes de France, en particulier Rouen, est si riche que l'auteur en apporte que quelques éléments.

Ces cités admirables pour les visiteurs, ont souvent été décrites, mais nous ne parlerons jamais trop de tous ces lieux qui composent notre belle France.

D'après la base Mérimée, Rouen compte 228 édifices comportant au moins une inscription au titre des Monuments Historiques, ce qui place la ville au sixième rang national pour leur nombre.

Victor Hugo, dans quelques vers, qualifie Rouen de « ville aux cent clochers ». Avec 36 paroisses et 27 établissements religieux, présents avant la Révolution, Rouen en a peut-être compté bien plus. Hélas, l'usure du temps et surtout les conflits en ont fait disparaître un bon nombre.

Rouen

Ce livre tente de retracer une évolution des commerces, principalement au cours du XXe siècle, à Beauvais. C'est le siècle où les magasins de proximité connaissent leur apogée et un certain déclin. Nous verrons aussi que le petit commerce est une affaire de famille. Les regroupements de commerces imaginés dès le XIXe siècle, qui s'accentuent à la fin du siècle et au début du XXe siècle, ne lèsent pas trop le petit commerce. Ils répondent à une demande sans cesse croissante et de plus, les grandes enseignes (Félix Potin, Nouvelles Galeries...) restent dans les centres villes. Après la Seconde Guerre mondiale et surtout dès les années 1960, les petits commerces connaissent leur meilleure période. La société de consommation est en marche. Puis les espaces en ville deviennent trop petits, la circulation devient problématique. De plus grandes surfaces commencent à s'installer en périphérie de la ville. Les grands magasins se multiplient à l'extérieur et les difficultés commencent à se faire sentir en ville, pour les petits commerces. Des magasins ferment tour à tour. Beaucoup sont remplacés par des services, banques, assurances qui, tout en offrant des services, n'ont plus le même attrait. A Beauvais, malgré les difficultés, le petit commerce résiste. A l'aide de vieilles cartes postales, photos, anciennes publicités, voici l'évolution de quelques commerces beauvaisiens.

Beauvais, promenade dans le temps - Le commerce, hier et aujourd'hui

Retrouvez dans cet ouvrage les lignes SNCF (Près de 300 lieux concernés : gares, stations ou arrêts) traversant le département du Pas-de-Calais au début du siècle dernier. Les communes traversées, l'histoire de chaque ligne, les particularités de certaines... le tout agrémenté de plus de 600 cartes postales anciennes et documents divers. Le chemin de fer, grand moyen de transport à la fin du XIX°, doit faire face aux nouveaux modes de locomotion du début du siècle dernier. Il réussit à s'imposer grâce aux technologies de pointe, pour devenir l'un des moyens de transport les plus fiables et les plus modernes. En France, la première ligne est concédée en 1823, à la demande de Beaunier. Emile Pereire obtient la première concession d'une ligne aboutissant à Paris. Après une charte en 1842, les compagnies se développent et les grandes lignes se construisent, reliant la capitale aux grandes villes de France. Après un ralentissement en 1847 et 1848, la reprise est spectaculaire sous le Second empire. Après la guerre de 1870-1871, de nombreuses petites lignes se créent dont certaines ne paraissent pas très utiles ou ne sont pas rentables. Les principales compagnies sont à l'époque celles du Nord, de l'Est, de Paris - Lyon, de Méditerranée, de Paris - Orléans, du Midi, de l'Ouest et de l'Etat, auxquelles s'ajoutent les compagnies moins importantes. Elles doivent faire face et cohabiter avec les compagnies de canaux et les entreprises de diligences dont les représentants apprécient mal la concurrence du train. Certains n'hésitent pas à grossir ou à inventer des méfaits de l'utilisation de ce mode de transport. La reconstruction consécutive à la première Guerre Mondiale impose un énorme effort aux compagnies et rend difficile l'équilibre financier de certaines d'entre elles. Le déficit croissant, la nationalisation intervient le 1er janvier 1938. La concurrence du réseau routier brise l'essor des petites lignes de voies ferrées. Peu avant et après la dernière guerre, les lignes secondaires disparaissent peu à peu. Les gares, qui sont de solides constructions en briques, sont vendues aux particuliers. La plupart existe encore.

Les chemins de fer du Pas-de-Calais au début du XXe siècle

Ille et Vilaine, coups de coeur d'un peintre

Présentation des 545 communes du Jura, classées par ordre alphabétique et illustrées de photographies et cartes postales anciennes. Chacune est présentée par une fiche signalétique indiquant : le nom des habitants, les noms anciens des communes, les armoiries, le patrimoine architectural, l'industrie ou les principales activités, les personnages ayant marqué la vie de la localité, etc.

Compiègne, ses rues, ses cantons

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