Das Gelübde ist eine spannende Erzählung von E. T. A. Hoffmann. Das Gelübde gehört zu den unbekannteren Werken von ihm.

Das Gelübde

Die 1817 erschienene Erzählung »Das Majorat« von E. T. A. Hoffmann behandelt die tragische Geschichte einer alten Adelsfamilie, und den Spuk, der sie über Generationen hinweg heimsucht.

»Die Gegend ist rauh und öde, kaum entsprießt hin und wieder ein Grashalm dem bodenlosen Triebsande, und statt des Gartens, wie er sonst das Herrenhaus zu zieren pflegt, schließt sich an die nackten Mauern nach der Landseite hin ein dürftiger Föhrenwald, dessen ewige, düstre Trauer den bunten Schmuck des Frühlings verschmäht, und in dem statt des fröhlichen Jauchzens der zu neuer Lust erwachten Vögelein nur das schaurige Gekrächze der Raben, das schwirrende Kreischen der sturmverkündenden Möwen widerhallt.«

Das Majorat

E. T. A. Hoffmann beschreibt in seiner 1817 erschienenen Erzählung vom Hofrat Reutlinger, der geplagt wird von Ängsten und Vorahnungen und in allem etwas Schlechtes zu erkennen glaubt. Nach und nach verschließt er immer mehr sein Herz, sogar denen gegenüber, die ihm nahestehen.

Das steinerne Herz

Die Jesuiterkirche in G. ist eine Erzählung von E. T. A. Hoffmann, die Ende 1816 im ersten Teil der Sammlung »Nachtstücke« bei Reimer in Berlin erschien. In diesem Nachtstück »aus den Papieren eines reisenden Enthusiasten« geht es um eine kostbare, ach so flüchtige Gabe: die Schaffenskraft des bildenden Künstlers Berthold.

»In eine elende Postchaise gepackt, die die Motten, wie die Ratten Prosperos Fahrzeug, aus Instinkt verlassen hatten, hielt ich endlich, nach halsbrechender Fahrt, halbgerädert, vor dem Wirtshause auf dem Markte in G. Alles Unglück, das mir selbst begegnen können, war auf meinen Wagen gefallen, der zerbrochen bei dem Postmeister der letzten Station lag.«

Die Jesuitenkirche in G.

Retiré depuis quelques années dans un couvent, le frère Médard devient responsable des reliques du couvent. Parmi ces reliques, figure une particulière que Cyrille, prédécesseur de Médard à ce poste, ne peut manipuler lui-même sans effroi. Selon la légende, il s'agit d'un des flacons abandonnés dans le désert par le démon et ramassés par Saint Antoine pour en protéger les humains. Médard cède à la tentation et boit le mystérieux élixir. Il devient incapable de résister à l'appel de ses sens, sa volonté est brisée. Aussi, le prieur du couvent décide de l'envoyer en ambassade à Rome. Médard s'engage alors dans des aventures mystérieuses, écartelé entre son aspiration au salut de son âme et sa recherche des plaisirs charnels. Moine vertueux ou homme lubrique, Médard ne sait plus quel personnage l'habite. Ce roman, qui fait bien entendu penser au « Moine » de Lewis, est un des plus aboutis d'E. T. A. Hoffmann. 

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Les Élixirs du diable- Histoire du capucin Médard

Der Gesang der talentierten Donna Anna löst eine solche Bewunderung im reisenden Enthusiasten aus, dass die Grenzen zwischen Alltag und Fiktion, Realität und Phantastik, in E. T. A. Hoffmanns 1813 erschienenen Künstlernovelle verwischen. Zum Schluss bleibt nur die Frage - hat der Enthusiast diesen Abend wirklich erlebt?

»Ein durchdringendes Läuten, der gellende Ruf: Das Theater fängt an! weckte mich aus dem sanften Schlaf, in den ich versunken war; Bässe brummen durcheinander -ein Paukenschlag -Trompetenstöße - ein klares A, von der Hoboe ausgehalten -Violinen stimmen ein: ich reibe mir die Augen.«

Don Juan

Hoffmann rêva toute sa vie du ciel doré de l'Italie : un ciel qu'il ne put jamais apercevoir qu'en songe. Raison pour quoi, sans doute, il logea dans Princesse Brambilla, récit qui se passe à Rome au temps du Carnaval, le plus vibrant appel qu'il ait adressé de sa vie à la fuyante beauté, sa fantaisie la moins retenue - et le meilleur de cette ironie acide et mélancolique qui est son élixir secret. Baudelaire, qui voyait dans cette brève fiction la quintessence de l'imaginaire romantique, en fit sa vie durant l'un de ses livres de chevet : « Il faut lire Hoffmann, et surtout, avant tout, Princesse Brambilla, qui est comme un catéchisme de haute esthétique. »

Princesse brambila

E. T. A. Hoffmann (1776-1822) 

"Il était une fois, - quel auteur ose maintenant commencer ainsi une histoire ? - passée de mode, ennuyeuse ! - s'écrie le bienveillant, ou plutôt le malveillant lecteur, qui, suivant le conseil d'un ancien poète romain, veut de suite être amené médias in des. Il lui semble qu'un hôte, conteur filandreux, entre, prend une large place et tousse pour commencer un sermon sans fin, et il ferme, de mauvaise humeur, le livre qu'il avait à peine ouvert. 

Le présent éditeur des Merveilleuses aventures de maître Floch est pourtant convaincu que ce commencement est très bon, et même précisément le meilleur pour son histoire, attendu que les plus excellentes conteuses de fables, comme, par exemple, les vieilles femmes et les nourrices, s'en sont servies de tout temps. 

Toutefois, comme chaque auteur écrit principalement pour être lu, il ne veut pas (l'éditeur déjà nommé) ôter au lecteur bien disposé l'envie de devenir pour lui un lecteur sérieux. Et alors, sans plus de détours, il raconte que le cour de Peregrinus Tyss, dont les singulières aventures vont faire le sujet de ce volume, n'avait jamais senti à un jour de Noël son cour battre si violemment d'une joyeuse et inquiète attente que le jour même où commence notre récit." 

Recueil de 6 contes :

"Maître Froh" - "L'homme au sable" - La cour d'Artus" - "Don Juan" - "Gluck" - "Agafia".

Contes fantastiques - Tome III

Die Erzählung spielt während des polnischen Unabhängigkeitskampfes, 20 Jahre nach der ersten Teilung Polens, etwa 1792. Dem Bürgermeister des kleinen polnischen Grenzstädtchens L. wird im Auftrag des Fürsten Z. eine verschleierte schwangere Nonne namens Cölestine anvertraut. Nach der Niederkunft fühlt sich die Familie des Bürgermeisters mit ihren beiden Gästen emotional verbunden, der endgültigen Vertrautheit steht aber die geheimnisvolle Verschleierung im Wege.

Das Gelübde

Résumé

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